Clericis laicos

va prélever une taxe sur le clergé français qu’on appel la décime sans l’autorisation du pape mais obtient l’autorisation du clergé français. Le pape est informé de cette mesure et n’est pas content et il va répondre au roi par une bulle nommé Clericis Laïcos qui condamne l’acte du roi et affirme sa supériorité sur le capétien. Le roi va répondre par un manifeste rédigé par son chancelier qui estime qu’il est juste que le clergé participe aux charges du royaume en se sens qui profite des avantages

le pape. En février 1296 Boniface VIII va protester dans une bulle « cléricis laicos ». A cette protestation, les légistes du roi vont riposter en invoquant le droit romain (roi empereur en son royaume, en tant qu’empereur il a l’ « autoritas » et la « potestas », rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu…) Ils vont affirmer que le pouvoir temporel est antérieur au pouvoir spirituel. « antequam essent clerici »  avant qu’il y eut des clercs il y eut des rois. Ce manifeste politique

subsides (taxes) sur le clergé en 1296. Or normalement le clergé est exempté de toute taxe sauf autorisation pontificale exceptionnelle. Le pape réagit et interdit à Philippe IV de lever cet argent et interdit aux clercs de payer. C’est la bulle « clericis laïcos » (1297). Le roi répond et interdit tout envoie de fond à Rome. Face à ce manque d’argent, le pape admet que le roi peut lever l’argent si le clergé de France est d’accord. L’affaire démarre en 1300-1301 : Philippe IV cite à comparaître devant

cas de nécessité. En 1295, Philippe le bel obtient d’une assemblée de prélat, le prélèvement de l’impôt sur les biens du clergé, mais vu que boniface VIII n’a pas été consulter il va montrer son mécontentement en publiant une bulle papale « clericis laicos » dans laquelle il va condamner la procédure suivie par le roi, interdire aux clercs de payer celui-ci et en même temps rappeler à Philippe le bel que son autorisation préalable est indispensable pour décider de toute contribution imposée au clergé

celle ci) lequel devait faire face au départ des croisades. Mais Philippe le Bel veut lever la décime à son profit (car besoin d'argent) pour alimenter les caisses du trésor royale. Le pape s'oppose à cette initiative. Il adopte un acte : Bulle clericis laicos : obligation de consulter le pape. Et l'obligation est sanctionné. Le pape menace le roi d'être excommunié (d'être mis en dehors de la sphère des chrétiens) s'il ne respecte pas l'autorité pontificale. Les légistes royaux vont distingué le temporel

taxes sur les ecclésiastiques sans autorisation du Pape car le clergé paye déjà l’impôt, la dîme de la prière (prière sur l’ensemble du royaume). Boniface VIII interdit alors aux clerc de payer cette taxe à travers une bulle pontificale de 1296 : Clericis Laicos = menace d’excommunication du roi s’il ne renonce pas à cette taxe. Philippe le Bel prend aussi une mesure, interdiction d’envoyer des fonds à Rome. Le pape face à ca fait semblant de transiger et déclare « qu’en cas de nécessité, le roi peut

Bel décide de lever des taxes sur les biens de l'Eglise sans l'autorisation du pape, mais le demande toutefois au prêtre du royaume. Aussitôt Boniface réplique en rappelant avec vigueur la nécessité de cette autorisation dans une bulle appelé "clericis laicos" ; sous entendant la supériorité politique du pape à l'égard du roi. Philippe le Bel va pas se laisser faire et va répliquer en empêchant tout envoie de finance à Rome. En 1297, le pape va transiger et reconnait dans une autre bulle "etsi de

en communauté, les Chrétiens se dotent de meneurs qui sont qualifiés à l’origine de docteur, de prophète, d’évangéliste ou de pasteur. À la fin du 1er siècle, un terme apparaît et se dégage dans les textes chrétiens : « laïc », qui vient du grec « laicos », signifiant « peuple ». Très vite, dans toutes les communautés chrétiennes, ce terme est utilisé pour désigner le commun, l’ordinaire, l’homme ordinaire, par opposition à tout ce qui relève du sacré. Au 2e siècle, un deuxième terme apparaît qui

lever cet impôt à son profit pour les caisses de l’Etat. Le pape s’oppose à cette initiative royale au motif qu’il est le supérieur du roi et le roi doit relever de son autorité pour lever un impôt sur els ecclésiastiques. Le pape prend la Bulle Clericis Laicos en février 1296. Le pape prévoit la peine d’excommunication pour tous els laïques qui demanderaient au clergé de l’argent. En réponse, le roi interdit toute sortie d’or et d’argent de son royaume, de façon à paralyser la fiscalité pontificale

et d'un conflit d juridiction. La décime est une contribution financière du clergé aux charges du royaume, contribution souvent perçue à la demande du Roi. (impôt pour participer à la gestions e l'état). Or en 1296, Boniface dans une bulle Clericis Laicos, rappelle la nécessité d'un consentement préalable du Pape à toute levée de la décime. La sanction prévue en cas en cas de non respect est l'excommunication.Ce conflit finit par s'apaiser, car les 2 parties vont des concessions. Mais une fait