Clement Marot L Enfer

considéraient la poésie comme un art imposant des règles rigoureuses mais fécondes Cependant, cette poésie garde les marques du Moyen-Âge par : Ses structures répétitives Son recours fasciné à l’abondance et à l’excès verbal La nouveauté vient avec Marot (introduction du sonnet, en France ; et cela même s’il continue les efforts des ces prédecesseurs en faveur des formes fixes telles que rondeau, ballade, …). En effet : Il est concepteur et patricien d’une poésie simple Au vocabulaire correct mais

catholique ou Les Tragiques du poète protestant Théodore Agrippa d'Aubigné (1552-1630). Autres personnalités [modifier] Des poètes de moindre importance ont également participé à ce renouveau de l’expression poétique au XVIe siècle, à commencer par Clément Marot (1496-1544) qui s’inspire de la tradition du Moyen Âge avant de développe un art plus personnel, fait de lyrisme et de religiosité. Les poèmes de Maurice Scève (1510-1564) et Louise Labé (1524-1566) chantent quant à eux les sentiments amoureux

« Les cents nouvelles nouvelles ». Ce recueil a été rendu célèbre par « le décaméron » de Boccace. On y retrouve la satire des grands idéaux du Moyen-âge (anti-amour courtois). Les grands rhétoriqueurs de la prose au 15e siècle sont Jean et Clément Marot, le Normand Alain Chartier (1385 – 1435), Christine de Pisan (1365 – 1430) et Charles d’Orléans (1394 – 1465). Ils montrent tous que l’idéal courtois n’est pas mort. • Poésie Elle est surtout représentée par François Villon (1431 – 1463)

d'Orléans ou les ballades de François Villon. Le Moyen Âge se clôt sur le des Grands Rhétoriqueurs, poètes de cour qui exploitent les ressources du langage pour émerveiller leur mécène. ▶ LE XVIE SIECLE. Au début de la renaissance, le poète Clément Marot perpétue des formes fixes comme le rondeau et la ballade. Mais il est aussi celui qui introduit en France le sonnet, forme moderne héritée de l’italien Pétrarque (XIVe siècle). Il y a deux écoles poétiques au XVIe siècle : - L’Ecole lyonnaise

partisan catholique ou Les Tragiques du poète protestant Théodore Agrippa d'Aubigné (1552-1630). Autres personnalités Des poètes de moindre importance ont également participé à ce renouveau de l’expression poétique au XVIe siècle, à commencer par Clément Marot (1496-1544) qui s’inspire de la tradition du Moyen Âge avant de développe un art plus personnel, fait de lyrisme et de religiosité. Les poèmes de Maurice Scève (1510-1564) et Louise Labé (1524-1566) chantent quant à eux les sentiments amoureux

 parce qu'il rira mieux que les autres. » 34. CLEESE John : « Si je vous fais rire, vous m'aimez plus, ce qui vous rend plus réceptif à mes idées. Et si je peux vous faire rire d'une chose que j'ai dite, comme vous en riez, vous en reconnaissez la vérité. » 35. CLEMENT D’ALEXANDRIE, Lettre à son disciple Origène : «  Rire et faire rire ne convient guère à des chrétiens. » 36. COLUCHE, L'Horreur est humaine : « La mort... Si on est touché soi-même, on a intérêt à en rire ; et si on n'est pas touché, on n'a pas de

elle est adressée lève les yeux sur celui qui la lui adresse, elle apercevra la plus adorable tête d’adolescent qu’elle ait jamais rêvée en lisant ces belles fables mythologiques si fort à la mode à cette époque, grâce aux belles poésies de maître Marot, et dans lesquelles sont racontées les amours de Psyché et la mort de Narcisse. En effet, et comme nous l’avons dit, sous son costume simple et de couleur sombre, le jeune homme que nous venons de mettre en scène est d’une beauté remarquable 6

Tragiques du poète protestant Théodore Agrippa d'Aubigné (1552-1630). Autres personnalités[modifier | modifier le code] Des poètes de moindre importance ont également participé à ce renouveau de l’expression poétique au xvie siècle, à commencer par Clément Marot (1496-1544) qui s’inspire de la tradition du Moyen Âge avant de développer un art plus personnel, fait de lyrisme et de religiosité. Les poèmes de Maurice Scève (1510-1564) et Louise Labé (1524-1566) chantent quant à eux les sentiments amoureux

de Ficin, érudit italien de Florence de la fin du XV°s. Les modèles italiens : Dante : 1° grand poète de langue italienne, il écrit en toscan le Divine Comédie qui relate le voyage imaginaire du poète guidé par Virgile puis par sa muse Béatrice en enfer, au purgatoire et au paradis. Il est l’auteur de plusieurs traités en latin, dans De vulgari eloquentia, il propose une réflexion sur l’origine des langues et une analyse des différents dialectes italiens, dans De Monarchia, il fait l’éloge de la monarchie

repose sur ce passage du huitain à une strophe plus courte (tradition qui remonte au XIIIème siècle) respectant une alternance des rimes masculines et féminines propre aux schémas à l'italienne (poètes de la Pléiade comme Ronsard, Du Bellay, ou Clément Marot). Le sonetto italien désignait une sorte de chanson (mot dérivé de son), en ancien français, il s'agissait toujours d'une chanson d'amour. Dans les « Fleurs du Mal », Baudelaire a toujours cherché à varier le schéma classique du sonnet : il n'a