Civilisation universelle

puisqu’il nous montre, après avoir fait les louanges du " bon sauvage ", que le contrat social est un bienfait qu’il nous faut bénir. Ainsi1, la société est partout (nous naissons au sein d’une communauté, et, de plus, la société est un phénomène universel), et c’est elle qui nous détermine. On peut dire que de l’état de nature, l’homme passe naturellement à la société2. Mais à quelle Cité ? Celle des esclaves ou celle des hommes libres ?3 Lourd problème, qui nous fait soulever celui de la nature et

Comte : philosophe scientifique positiviste français, 1798-1857 → théorie scientifique ; le progrès scientifique constituera le bonheur des peuples : la doctrine d'Auguste Comte se veut l'accomplissement des sciences (connaissances objectives universelles de l'humanité) et qui fondera une nouvelle société voire une nouvelle religion → inventeur du mot sociologie : étude des sociétés en fonction de leur avancée scientifique (technique, découvertes théoriques de recherches fondamentales). → il est

cinématographique, les critiques adréssées aux films n´ont pas cessé de pleuvoir sur le Septième Art. On a parlé de “divertissement et d´abêtissement du public”.1 Pourtant on doit au cinéma quelques-uns des plus grands chefs-d´oeuvre de la civilisation universelle et il est hors de doute que Marcel Pagnol ou René Clair, tous deux, notons-le, de l´Académie Française, ont produit des films qui, souvent tirés de romans préexistants, ont toujours abouti à nous offrir des oeuvres originales et d´une très

mieux en raison des expériences que j'ai pu mener, soit dans l'Université, soit en dehors de l'Université. Si je jette les yeux, d'abord sur la masse des écrits, livres ou articles consacrés par des Français depuis la guerre aux problèmes de la civilisation et de sa destinée, je constate qu'il s'en trouve beaucoup - et non des moindres - pour s'alarmer des conséquences inattendues de ce qu'on appelle « le Progrès ». Ce fameux char écrase beaucoup de fleurs... On s'aperçoit que des valeurs spirituelles

nous révèle cette tendance. La vision du poète quant à la destinée humaine se caractérise, dans ce recueil en particulier, par un pessimisme absolu2. Par ailleurs, ce pessimisme n’est pas à caractère individuel dans le poème. C’est un sentiment universel et collectif qui accable toute l’humanité, un sentiment éprouvé par l’auteur au nom de ses semblables : Vers 260 : “C’est à toi qu’il convient d’ouïr les grandes plaintes 261 : Que l’humanité triste exhale sourdement” Essayons maintenant de

Autour de la culture. _ Qu-est-ce que la culture ? # approche collective de l’existence individuelle léguée aux générations suivantes ; vision du monde qui exprime l’originalité d’une civilisation. # Mais c’est une notion équivoque puisqu’il y a une hétérogénéité de culture au sein de la civilisation française. # D’un côté, elle désigne l’histoire des idées, des arts, des sciences, des lettres (histoire intellectuelle) ; de l’autre, elle définit les formes matérielles de l’existence, les

l’âme et elle permet de distinguer les hommes des animaux ou de la nature. La culture désigne aussi la somme des connaissances acquises (culture scientifique, culture philosophique...) ou les aspects intellectuels, artistiques, idéologiques d’une civilisation ou d’un groupe particulier (culture française, culture américaine, culture latine...). Pour les ethnologues et anthropologues, elle est souvent utilisée au pluriel (les cultures) pour désigner «l’ensemble des manières de dire, de faire ainsi

considère la barbarie à son état premier, ne désigne t'elle pas le chaos de la nature qui pousse les hommes à développer la culture? Selon la théorie du Big bang, c'est bien du chaos le plus total que serait née la vie, et par la suite donc, la civilisation. C'est bien La barbarie qui pousse les hommes à évoluer, à créer, à enrichir ses connaissances. Prenons l'exemple de la révolution française. D'un chaos infernal est né la première république française, soit un nouvel ensemble de règles, de normes

(de la fin du IVème au Ier siècle av JC). C’est l’époque du déclin des cités-Etat, absorbées par la monarchie macédonienne. Alexandre le Grand va fonder un immense empire et mettre fin à la cité-Etat indépendante, suivant l’idée d’une monarchie universelle. A la chute d’Alexandre son empire est démantelé, apparaissent alors des monarchies dites hellénistiques, absolues et personnelles comme en Egypte. A la suite de quoi le monde grec sera vaincu par Rome qui transformera ces monarchies en provinces

tel processus n'est autre chose que pécher contre la volonté de l'Éternel, notre Créateur. Evidemment, L'Aryen est le fondateur de la civilisation et l’état doit garantir le maintien de cette race pure. (p. 289) Ce serait une vaine entreprise que de discuter sur le point de savoir quelle race ou quelles races ont primitivement été dépositaires de la civilisation humaine et ont, par la suite, réellement fondé ce que nous entendons par humanité. Il est plus simple de se poser la question en ce qui