Civilisation universelle

objectivable et soumise au jugement de tous. Objectivement: de manière telle que le jugement soit objectivable, universel, partagé par tous. Pour cela il faut qu'il échappe à toute partialité et en particulier qu'il ne prenne pas sa propre culture comme critère de jugement. La difficulté: Elle tient à ce que l'on confond le concept de l'ethnographie (diversité des civilisations) et le risque de l'ethnocentrisme (voir tout en référence à sa propre culture que l'on considère comme référence)

voir, tout percevoir –> obstacle. Exposé : La globalisation Jean Loup Amselle Amselle : anthropologue. Inventeur de l’anthropologie de branchement. Il lie la globalisation avec la libéralisation. La crainte est d’avoir une société globale et universelle. La globalisation fait naître une guerre identitaire. Elle intervient à la fin de la guerre froide. Créolisation –> métissage. La globalisation menace l’objet de l’anthropologie –> cause : dispersion des cultures. Anthropologie fermé : peuple

plus qu'il n'est pas respecté) et le non sens du "vœu de stérilité", contraire à la nature, prononcé par les religieux catholiques. Chapitre 5 : Suite du dialogue entre A et B A et B approuvent les mœurs tahitiennes et remettent en cause la civilisation qui assujettit les hommes à des lois artificielles, arbitraires et contradictoires. Puis ils revisitent les conventions de la vie amoureuse instituées par le code civil et le code religieux au regard du code de la nature : le mariage, la galanterie

aujourd'hui ? Parce que cette idéologie, fondée sur des réalités physiques et spirituelles, a soutenu bien des peuples, je dis : toute une race depuis la fin de la première guerre mondiale. Parce que, depuis le début de ce siècle, s'élabore une civilisation planétaire, qui doit beaucoup, si paradoxal que cela puisse être, à la négritude. Commençons par rendre, à Césaire, ce qui est à Césaire. Car c'est le poète et dramaturge martiniquais qui a forgé le mot dans les années 1932-1934. Mais la réalité

Athènes. André Malraux évoque la beauté et la richesse de la civilisation grecque. La culture désigne l'ensemble des créations de l'art et de l'esprit. Le problème culturel majeur est de rendre les plus grandes œuvres accessibles au plus grand nombre. C’est ainsi qu’il apparaît que « la culture ne s'hérite pas, elle se conquiert ». Un art, pour s’exprimer, a besoin de langage et de valeurs partagées. Il doit être intelligible et universel, même s’il appartient à un contexte et à un mode de pensée.

signes d’une vocation » b) L'éducation empêche le développement naturel de l'enfant. Freud : chaque individu est « un ennemi en puissance de la civilisation ». l’éducation arrive à refoulée les pulsions de nature violente naturelles pour permettre la vie en société. c) Car il lui donne accès à la culture. Levi-strauss : « tout ce qui est universel, chez l’homme relève de l’ordre de la nature et se caractérise par la spontanéité ; tout ce qui est astreint à une norme appartient à la culture »

narrateur est étranger à la culture présentée. En effet il emploie la troisième personne du pluriel pour qualifier les indiens : « il faut voir les hôtels qu’il y a chez eux ». Ici l’emploi de « eux » montre bien la distance entre narrateur et civilisation autochtone. Un autre élément que nos pouvons apprendre de cet extrait est l’appartenance du narrateur à la culture européenne. Pour comprendre cet aspect il est nécessaire de savoir que cette œuvre était destinée à des lecteurs européens. Or le

planète Terre. La barbarie humaine est loin d’avoir reculé. Le choc de l’après guerre, quand le monde découvrait que des nations dites civilisées avaient commis « des actes de barbarie qui révoltent la conscience humaine » (Préambule Déclaration universelle des droits de l’homme, DUDH, 1948) avait été renouvelé par les attentats du 11 septembre 2001 et par les réponses guerrières qui ont suivi. Mais 2011, malgré les espoirs du « printemps arabe », restera l’année massacres ( Côte d’Ivoire, Lybie, Syrie)S’ajoute

Destruction des inégalités entre les nations : La distance qui sépare les peuples civilisés des peuples barbares va-t-elle s’amoindrir ? * Progrès de l’égalité dans un même peuple : l’inégalité de richesse, de moyens et de Lumières tient-elle à la civilisation elle-même ou aux imperfections de l’art social ? L’inégalité doit-elle s’ affaiblir pour laisser place à une égalité de fait qui diminue même les différences de faculté ? * Perfectionnement réel de l’Homme : les Hommes s’approcheront-ils de

la culture de la terre, l'agriculture. Et elle est aussi la culture de l'esprit. De la même façon, il existe un sens commun qui est celui d'une transformation du réel. Et la culture est aussi le résultat de ce travail de transformation. C'est la civilisation, c'est-à-dire les oeuvres de l'esprit et les coutumes. Dans ces conditions, la tradition scientifique et, par suite, philosophique estime qu'il n'y a de culture qu'humaine. L'homme serait un être de culture et l'animal un être de nature. En fait