Chaus

a nous montrer l'évolution spirituelle de son personnage notamment dans sa façon de se vêtir. Le premier costume de Gargantua rappelle sa noblesse : c’est un costume tel qu’on peut le trouver à la cour de François Ier avec chemise, pourpoint, chausses, crevées. Le costume est de plus très riche p.99 : « grosse émeraude de la grosseur d’une orange », « fins diamants, de fins rubis, de fines turquoises, de fines émeraudes et d’unions du golfe Persique ». P.101 : « d’anneaux d’or, avec beaucoup de

effet, dans le texte A, on a peu d’information sur les costumes de deux personnages. On sait qu’Harpagon ne supporte pas de voir des jeunes hommes portés « des perruques d’étoupe » et des « hauts-de-chausses tout tombant » ligne 10/11. Toutefois, il en porte également mais il est propret « haut de chausses, attaché au pourpoint avec des aiguillettes » ligne 35/36 et porte une « fraise à l’antique » ligne 34. Frosine le flatte sur son goût vestimentaire en lui faisant croire que grâce à cela, Marianne

de sa course » ligne 1 puis il corrige « il était entre cinq et six heure » ligne 7. C'est une remarque étonnante de l'heure de l'arrivé des comédiens. « soutenir une épée » ligne 22 montre que c'est un noble. « Son pourpoint » ligne 20 et « des chausses troussées » ligne 23 sont des vêtements habituels du XVII siècle. II _ Les personnages Avant de nous parler des personnages il y a des animaux. Le premier personnage est « une demoiselle habillé moitié ville, moitié campagne » ligne 12, elle

qui n'était encore qu'ébauché " (l.20-21) c'est l'ironie du baroque, le bonnet de nuit entortillé de jarretières fait totalement contraste avec le turban, qui est censé avec dedié au roi. Il porte de plus des chaussures du théatre classique "des chausses    troussées à bas d'attache, comme celles des comédiens quand ils représentent un héros de l'Antiquité,  " (l.24-26) avec " au lieu de souliers, des brodequins à l'antique (7) que les boues avaient gâtés    jusqu'à la cheville du pied. " (l.26-27)

faisant de lui un adulte en réduction (relative, puisqu'il s'agit d'un géant), condamné à l'immobilité : on le promène, et surtout : on lui attribue ses premiers habits. Gargantua semble appartenir à une lignée royale. Chemise, pourpoint, chausses et haut de chausse, casaque, ceinture, chapeau à panache, avec emblème en or, gants, épée, bagues, tout cela relève de la vêture normale d'un noble de très haut lignage, ou d'un prince. Mais son épée est en bois fait de lui un prince de carnaval. De plus

théâtre permet de déterminer une époque, d'indiquer le temps de l'intrigue. En effet, selon la manière dont sont accoutrés les personnages, on peut deviner à quel siècle se déroule la trame. On s'imagine donc dans le texte A, avec les « hauts de chausse » et les « perruques » que l'on se situe au 17 ème, aux temps de Louis XVI, ou il était banale de porter des perruques. Egalement, dans te texte C, avec les « cravates », on sait que l'on est dans un monde moderne . Le costume au théâtre est en quelque

Molière la description du costume nous fais savoir qu’il s’habille bien, chic donc qui fais parti d’un milieu noble par exemple a la ligne 40 “ votre haut-de-chausses attaché au pourpoint avec des aiguillette” alors que dans se même texte le jeune homme dont parle Frosine et Harpagon s’habille avec les même vêtement mais débrailler “haut de chausses tout tombant” à la ligne 12. Dans l’extrait de En attendant Godot de Beckett gràce au vetement des personnages il nous montre que les personnage vivent dans

spectateur sur le contexte historique le lieu ou se déroule l’histoire. En effet, selon la manière dont sont vêtues les personnages, on peut deviner à quel époque se déroule la pièce. On s'imagine donc que dans l’Avare de Molière avec les « hauts de chausse » et les « perruques » , que l'on se situe au 17 ème siècle , aux temps de Louis XVI, En outre il nous renseigne sur le personnage lui meme . Le costume est la première impression que nous nous faisons st du personnage , il nous aide à l’identifier

différents), la taille affinée, le col montant et les épaules toujours rembourrées par le mahoître.Les hauts de chausses sont bouffants. Les manches sont « crevées ». Les manches sont « en tonnelet » c’est – à – dire resserrées pour bouffer. Première moitié du XVIème siècle Louis XII Grand manteau crevée, chemise de dessous bouffante, contraste de volumes, de matière et de couleurs. Les chausses sont collantes et s’attachent au pourpoint avec les aiguillettes. Le style français : robe à V carré chez

La Toison d’or au cou. Par-dessus l’habillement noir, un riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir. Epée à grande coquille. Chapeau à plumes blanches. Gudiel est en noir, épée au côté. Ruy Blas est en livrée. Haut-de-chausses et justaucorps bruns. Surtout galonné, rouge et or. Tête nue. Sans épée. Cette didascalie met en place, au seuil de la pièce, le rapport hiérarchique maître-valet en opposant costume de cour et livrée, puis le port du chapeau et de l’épée pour