Charte Du Consulat D Arles

glorifient la renaissance du printemps. C’est une grande fête annuelle des masques et des chars qui, avec ses batailles de fleurs et de confetti, son feu d’artifice, attire chaque année de nombreux touristes. Arles. Cité romaine, préfecture des Gaules et résidence impériale vers 400, Arles devient la capitale du royaume de Bourgogne -Provence en 879, dit “royaume d’Arles”. Réunie à la Couronne en 1535, la ville fut au XIXe siècle, un des centres d’activité du félibrige. La ville conserve de magnifiques

glorifient la renaissance du printemps. C’est une grande fête annuelle des masques et des chars qui, avec ses batailles de fleurs et de confetti, son feu d’artifice, attire chaque année de nombreux touristes. Arles. Cité romaine, préfecture des Gaules et résidence impériale vers 400, Arles devient la capitale du royaume de Bourgogne -Provence en 879, dit “royaume d’Arles”. Réunie à la Couronne en 1535, la ville fut au XIXe siècle, un des centres d’activité du félibrige. La ville conserve de magnifiques

vont s'organiser. Ils vont s'organiser, elles vont se sentir suffisamment force pour entrer dans un rapport de force avec les seigneurs et vont négocier avec pour obtenir des exemptions au Consuetudines. Ces exemptions on va les trouver dans des chartes de franchises ou liberté ou des coutumes. Dans un grand nombre de ces actes on prévoit que les serfs en tout ou partie sont affranchis. Ces grâces a ses franchises qui se multiplies fin 11, 12eme siècle que l'on fait disparaître le servage. Ainsi

soulignent-ils ? – Quelle est la signification politique de ces monuments ?  Quel chemin d’accès à la citoyenneté le mausolée de Gla– num met-il en évidence ? Doc. 1 et 2 : L’arc de triomphe d’Orange Orange, comme d’autres cités de Provence (Arles, colonie romaine fondée à l’emplacement d’une ville gallo-grecque qui prit le parti de César dans la guerre civile entre César et Pompée), devint, par la volonté de César, colonie romaine sous le nom de Colonia Jiulia Arelate, et accueillit les

et V. Carrière, 1915, 600 pp. VI Pouillés de la province ecclésiastique de Reims, par A. Longnon, 1908, 1066 pp. VII Pouillés de la province ecclésiastique de Besançon, par E. Clouzot, 1940, 2 vol. VIII Pouillés de la province ecclésiastique d'Aix, Arles et Embrun, par E. Clouzot, 1923, 556 pp. IX Pouillés de la province ecclésiastique de Bourges, par J. de Font-Réaulx, 1961-1962, 2 vol. X Pouillés de la province ecclésiastique d'Auch, Narbonne, Toulouse, par CH.-E. Perrin et J. de Font-Réaulx, 1972

publics au nom de l’Etat c'est-à-dire qu’ils procédaient à l’abjudication des travaux publics, ils géraient aussi l’ager publicus (les terres qui appartiennent à l’Etat) et enfin, ils affermaient les impôts aux publicains et aussi les mines. 2) Le consulat : C’est une magistrature collégiale, annuelle et ouverte aux plébéiens depuis -367. Les consuls exercent l’imperium a tour de rôle un mois chacun ou bien l’un exerce son imperium dans la ville et l’autre à l’extérieure. A l’origine, ils gèrent la

toponymie conserve cette mémoire ; ainsi le lieu-dit La Pastelerie à Lautrec et le lieu-dit Moulin Pastelier à Saint- Félix Lauragais. Représentation du moulin pastelier (Bernet Gabriel, « L’économie d’un village du Lauragais au XVII° siècle : le consulat de Pugnères de 1593 à 1715 », Les Annales du Sud, 1966). On peut également voir des soleilhous, greniers ouverts, où séchaient le pastel dans le vieil Albi (Maison du Vieil Alby) et dans les villes de Caraman, Pompertusat, Auzeville Tolosan en

apparaissaient alors comme des ennemis de l’Etat. Se dissocier du culte civique, c’était se mettre au ban de l’Empire et se livrer à la vindicte populaire. Le premier document à donner une image synthétique du christianisme en Gaule émane du concile tenu à Arles en 314. Seize communautés chrétiennes étaient alors attestées, pour la plupart à l’Est et dans la vallée du Rhône. Seules quelques villes étaient touchées par la nouvelle religion. Les paysans habitant la campagne restaient attachés aux cultes anciens

coutume de prendre forme. C'est ce qui permet à la coutume d'être dite. On a besoin d’éclaircir la disposition coutumière. Dans la 2ème moitié du XIIe siècle, on procède à un vaste mouvement de statuts des villes, on écrit les coutumes de la ville (Arles, Montpellier …). Il ne reste que très peu de textes, de documents écrits du 10ème, 11ème et début du 12ème siècle. Dans l'histoire la coutume est orale, puis peu à peu écrite. Xème siècle : déclin du pouvoir public, faiblesse politique, apparition

Les arabes pénètrent à Avignon et arrivent aux portes de Lyon, Ambiza trouve la mort à son tour. Ils traversent la Bourgogne ou ils assiègent Autun le 22 août 725 et pillent Luxeuil[14]. En 735 avec l'aide de Mauronte, duc de Marseille., il prend Arles. Il est difficile d'apprécier l'importance du peuplement musulman au nord des Pyrénées. Les musulmans se sont-ils établis comme en Andalus, avec un véritable projet de peuplement ou bien leur présence s'est elle limitée au stationnement de contingents