Champ libre

répandue sur le marché, car étant la plus économique. Elle a souvent quelques défauts, notamment une forte résonance acoustique, car elle doit respecter certaines contraintes. Du fait de la nature métallique du châssis des perturbations au niveau champ magnétique peuvent être observées. – Le châssis en alliage moulé est par contre plus cher mais offre donc en contrepartie de meilleurs caractéristiques. Il a l'avantage d'avoir notamment une plus longue durée de vie dû à sa robustesse, une résonance

possessifs « vos » et « votre » aux vers 2,20,21,23. De plus, il décrit une atmosphère paisible dans laquelle celui-ci vit par le champ lexical du confort « quiétude » v.1, « bien », « chaud », « maisons » v.2, « table » et « amis » v.3. Cependant, il vient contraster cette situation de sérénité avec la fin de son poème, où il s'adresse toujours au lecteur mais en utilisant le champ lexical du malheur « s'écroule » v.21, « maladie », « accable » v.22, « détournent » v.23. Enfin, le lecteur est interpellé

personajes ont une complicité extreme. Le lexique pathétique révele aussi les sentiments des personajes : « tendresse » « baisers ardents » « chaleur de mes soupirs » « chére maîtresse » « tendres consolations de l’amour ». Le passage est semmé d’un champ lexical qui exprime les passions des personajes. D’autre part Manon a été presentée dans tout le roman comme une jeune fille perdue, avaricieuse, prête a tout pour se couvrir de richesses et qui entraîne avec elle aux enfers DesGrieux mais ce

leur cabanes rustiques », on peut remarquer que le champ lexical du travail naturel est présent et que tous les verbes expriment un certain travail, « embellir leurs arc », « coudre leur habit », le travail évolue et devient plus précis. L’auteur nous montre des hommes qui se contentent de ce qu’ils ont pour être heureux, « se contentèrent », « se bornèrent », la nature apporte à l’homme une certaine liberté et une vie prospère, « ils vécurent libre […] nature », l’adjectif bons montre que les hommes

pour le juger. Calogrenant essaie de caricaturier le vilain en usant tous les éléments dans le champ lexical de l’animalité suivant : « […] tête plus grosse que celle d’un roncin ou d’une autre bête, […] des oreilles larges et velues comme celles d’un éléphant, […] des yeux de chouette, un nez de chat, une bouche fendue comme celle d’un loup, des dents de sangliers aigues et rousses […]. » p12 Ce champ lexical lui permet de considérer le vilain comme un animal. Il ne s’arrête pas là, il décrit le

Cohésion et transformations du noyau 15 2.1.4 Cohésion et transformations de la matière condensée 17 2.2 Champs et forces 25 2.2.1 Notion de champ 25 2.2.2 Champ magnétique 25 2.2.3 Champ électrostatique 26 2.2.4 Champ de pesanteur local 26 2.3 Formes et principe de conservation de l’énergie 27 2.3.1 Energie d’un point matériel en mouvement dans le champ de pesanteur uniforme 27 2.3.2 Formes d’énergie 28 2.3.3 Principe de conservation de l’énergie 28

malheur, il reste tout de même soumis par la nature et le temps. B. L’Impuissance de l’homme 1. L’impératif a) «suspends ton vol» (v.21) b) «suspendez votre cours» (v.22)  Nous indique l’intensification du désir d’être ``libre``, même s’il sait que sa demande est sans espoir. 2. Métaphore a) « Dans la nuit éternelle emportés sans retour»  La métaphore renforce le sentiment d’impuissance du poète C.B. : La pensée rêveuse du poète se fait ressentir malgré sa demande qui

autres. -pt de vue externe (l50/52): regard peu complaisant du narrateur sur les perso.: intensifs «si rouges» (l51) «barbouillé»(l50) comparaison l51-52 + termes pejo. b. Une scène sonorisée => Brides de conversation: style indir et indir libre + 3niveaux sonores voix indiv: - reflex int de Goujet (l10-11) – le juron de Coupeau (l 33) – réprimende de Poisson (l29/32) voix collective: - passage de la carcasse (l22-23) -(l43-43 «ah non de dieu» + «on») Voix du narrateur : juge perso. Métaphore

de l'Organisation Spéciale, du Front National pour la Libération de la France. Arrêtée, elle est d'abord internée à Caen puis à Fresnes. Ce poème de quatre strophes compte trente deux vers dont les mètres sont aléatoires. C'est un poème de forme libre basé sur la répétition des trois premiers vers. Ces anaphores donnent un rythme à ce poème qui pourrait s'apparenter à une lettre. On note la présence d'enjambements dans ce poème (vers 6-7). A travers les trois premières strophes de ce poème, Gisèle

un roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ". Métaphore préparée par les jeux de mots sur son nom " Georges Du Roy " - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est comparée à une masse. => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en