Champ chromatique

Les deux dernières phrases sont interrogatives mais sont-ce de vraies questions? Champ lexical du sentiment : Ô, âme, coeur, cinsolé, sensible.... nous sommes dans le pathos du poète (il reprend les motifs des élégies : la plainte de l'amant abandonné). Il faut aussi étudier le dialogue entre le coeur et l'âme, afin de montrer quelle définition de ces notions Verlaine nous donne. Il faut aussi travailler sur le champ lexical du mouvement de fuite : "s'en soit allée, exil". Le mot exil est très important

témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans "Le Lac". I L’obsession du temps Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du

en 1926 - «Capitale de la douleur» dédié à sa muse: Gala. - Le poème est l'avant dernier du recueil. Placé sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux. I) L'éloge des yeux a) Un blason éloge insolite>courbe des yeux et du regard, champ lexical très riche -dénotation claire de la courbe : courbe, rond, tour -connotation poétique : feuilles, gouttes de rosée, etc. b) Structure circulaire du poème: Tout dans ce poème est ondoyant. - vers 15 revient au vers 1. On remarque un chiasme

« la sinistre rue Cudier», « encore plus sinistre, la gare d'Austerlitz » et « la gare Montparnasse, la rue d'Assas, Saint-Sulpice, le Luxembourg », mais à part cela il y a le coeur de Paris où se situent les quartiers royaux « le Palais-Royal, le Champ de Mars, l'étoile, l'île Saint-Louis … ». Pour Jérôme et Sylvie ces derniers lieux sont devenus une perpétuelle tentation mais certains endroits les consolent, l'ancien jardin des rois, la rue Mouffetard. Ils vont souvent au marchés aux puces, une

Développement : 1. L'automne constitue une saison mentale pour le poète. Le poète nous peint un véritable tableau de la nature en pleine saison automnale. Le titre lui-même, L'Automne, annonce explicitement une saison. De plus, le champ lexical de la nature est très fourni, et ce dans presque toutes les strophes : "bois", "verdure" (v. 1), "feuillages", "gazons" (v. 2), "nature" (v.3), "soleil" (v. 7), "bois" (v. 8), "automne", "nature" (v. 9) en sont quelques exemples. Cette nature

supraconducteurs. L’avantage de ces derniers réside dans le fait qu’en dessous d’une température critique, ils offrent aucune résistance à la circulation du courant : ce sont des conducteurs parfaits du point de vue électrique. Ils peuvent donc créer des champs magnétiques très puissants (de l’ordre d’une dizaine de teslas) pour la sustentation. Ils présentent cependant un inconvénient majeur : ils doivent être refroidis à des températures de l’ordre de 90K avec de l’azote ou de l’hélium liquide, et ce,

courant traversait un conducteur placé dans un champ magnétique, ce conducteur était soumis à une force mécanique due au champ. L'autre principe est celui de l'induction, découverte en 1831 par le scientifique britannique Faraday : lorsque l'on fait passer un aimant à travers un conducteur, un courant est induit dans le conducteur. Léon Foucault, en 1850, montra également l'existence de courants induits dans une masse métallique en mouvement située dans un champ magnétique. Ces courants induits furent ensuite

peut aller parfois jusqu’à blesser. Pour mon 3ème texte j’ai choisi « Parfum exotique ». Dans ce texte nous pouvons voir une vision paradisiaque avec le champ lexical de l’accueil « chaleureux »,« heureux ». De plus les 5 sens y sont représenter: odorat, toucher, ouïe, vue et goût. Mais nous pouvons avoir aussi une vision érotique avec le champ lexical de la sensualité « charmant » mais aussi avec « ton sein ». Pour moi l’odeur est la pour accentuer le vision de paradis. Pour mon dernier texte

souvenirs. Victime de ce mal, Alphonse de Lamartine souhaite plus que tout suspendre le temps qui ne cesse d’avancer à chaque instant. Sa plainte est clairement illustrée dans le champ lexical de la première strophe du poème : «toujours poussés» (v. 1), «nouveaux rivages» (v. 1), «emportés» (v. 2) et «sans retour» (v. 2). Dans ce champ lexical formé à partir des mots de l’auteur, le fait que le temps ne cesse jamais de filer et qu’il est impossible de l’arrêter est explicitement exprimé. Aussi, la phrase

le vocabulaire est très précis et permet donc de disqualifier tous les éléments ayant trait à la guerre simplement en les nommant. La guerre est désignée par la périphrase « entreprise infernale » ligne un, les soldats sont des « meurtriers ». Le champ lexical de la violence et de la destruction est très utilisé « exterminer » ligne deux, « faire égorger » ligne quatre, « exterminés par le feu et par le fer » ligne quatre, « meurtres », « détruite » ligne cinq, « journées meurtrières », « déchire »