Cas Pratique Technique Bancaire International

propres (Minimum Capital Requirements) II.1.1.1. Approche standard II.1.1.2. Approches IRB (Internal Ratings-Based Approch): simple et avancée II.1.2. Pilier 2 : Supervision bancaire II.1.2.1. Le rôle de la supervision bancaire II.1.2.2. Les quatre principes essentiels de la surveillance prudentielle II.1.3. Pilier 3 : Discipline de marché II.1.3.1. Principes directeurs II.2. Les principales

[pic] Introduction Générale  1ere partie : I - Présentation du secteur bancaire II - Présentation d’AttijariWafa Bank 1 – AttijariWafa en chiffre 2 – Les valeurs d’AttijariWafa Bank 3 – Les filiales du groupe 4 – Organisation d’AttijariWafa Bank (organigramme)

Introduction Chapitre I : Présentation d’Attijariwafa Bank I- Historique ; II- Fiche technique ; III- Filiales ; IV- Actionnariat ; V- Présentation de l’agence Azrou ; VI- Produits et services. Chapitre II : Tâches effectuées I- Le chargé de compte ; II- Le chargé de compte principal ; III- Le chargé de clientèle. Conclusion Liste des figures : Figure 1 : Fiche technique ; Figure 2 : liste des filiales ; Figure 3 : Répartition du capital ; Figure 4 : Organigramme

ont-elles été contraintes ou s'y sont-elles mises d'elles-mêmes ? Notre communication portera sur les démarches de la qualité totale et les expériences vécues avec cette mise en œuvre au niveau des réformes bancaires entamées par les autorités monétaires au sein du secteur bancaire libanais et permettra de déduire l’impact de ce concept sur la relation banque-entreprise. Elle s’articulera autour des trois axes suivants : • Dans un premier temps , nous rappellerons le concept

fin d’études O LI THEME E U EQ TH L’ANALYSE DE LA GESTION DU RISQUE DANS L’OCTROI DU CREDIT : CAS DE LA BANQUE CONGOLAISE DE L’HABITAT (BCH) Dirigé par : Présenté par : M. Waly Clémént FAYE Enseignant associé au CESAG, Responsable S-E à la Direction Nationale de la Microfinance IBAKOMBO INGANDZA Durel Gorden Avril 2014 « L’analyse de la gestion du risque dans l’octroi du crédit : cas de la BCH » Dédicaces Le présent mémoire est dédié à ma très chère mère Célestine INGANDZA, à mon père

financier islamique –tel que l’AAOIFI et l’IFSB-, ont pris des dispositions susceptibles de protéger le système bancaire islamique allant même à la création des normes spécifiques à ce système. Introduction Les banques islamiques sont des institutions financières, dont l’activité est ancrée sur les principes économiques de la loi islamique ; la charia’, qui interdit les pratiques qui relèvent pas de l’éthique et la solidarité aussi bien dans le gain que dans le risque, en prohibant notamment

…………5 Intérêt et objectif du stage Le choix de l’entreprise Présentation du plan Problématique…………………………………………………..……………………………7 Partie 1 :Généralités Chapitre1 : Système bancaire marocain…………………………………………………….8 I. Historique de la profession bancaire au Maroc II. Système bancaire marocain III. Organisation du système bancaire au Maroc Chapitre2 : Présentation et description de l’entreprise…………...……………………10 I- Données générales sur la CDG Capital A - Présentation du groupe CDG B- Présentation

banque Section 2 : La direction des marchés et de la trésorerie Chapitre II : Déroulement du stage Section 1 : Tâches effectuées Section 2 : Apports de stage Conclusion première partie Deuxième partie : Les mécanismes de gestion de la trésorerie : cas de BGFIBank Gabon Chapitre I : Suivi et mouvements de trésorerie Section 1 : Gestion des excédents et déficits de trésorerie Section 2 : Sources de financement Chapitre II : Difficultés rencontrées, remarques, suggestions Section 1 : Difficultés

Banque Populaire jouit de sa place monopolistique au sein du marché marocain. D'une part, elle est exonérée de tout impôt, ce qui n'est pas le cas pour les autres banques. Et d'autre part, elle a la volonté d'attirer un maximum de capitaux étrangers. • La phase de compétitivité : Cette phase est caractérisée par la libéralisation du secteur bancaire, le désencadrement des crédits et une ouverture massive des banques sur le marché. Tout cela rend la concurrence de plus en plus acharnée

repose par conséquent sur le couple « sécurité / Rentabilité ». Pour parer au risque d’illiquidité ou d’insolvabilité (rupture du service de caisse, cessation de paiement, etc.), l’entreprise doit maintenir un certain niveau de trésorerie, car en pratique il est très difficile d’assurer une parfaite synchronisation entre les encaissements et les décaissements. Dans le même temps, elle doit viser à réduire l’impact négatif de cette la rentabilité des disponibilités oisives en leur assurant de bons