Cas Pratique Sur La Preuve Des Actes Et Faits Juridiques

celle-ci afin que le juge la dise bien ou mal fondée. Pour l’adversaire l’action est le droit de discuter le bien fondé de cette prétention ». Plus simplement on peut définir l’action comme un pouvoir de contrainte sanctionnant un D ou une situation juridique qui s’exerce par le recours à la justice. I. Conditions d’ouverture de l’action. Pour intenter une action en justice il faut avoir intérêt et qualité. L’intérêt : celui qui agit en justice doit pouvoir justifier d’un intérêt en vertu de

des affaires Le droit commercial a un champ d’application plus restreint que celui du droit des affaires. Le droit commercial a un droit particulier : les actes de commerce et les commerçants. Ces notions sont essentielles en droit commercial. Elles sont au cœur de cette matière. Les actes de commerce sont des opérations juridiques qui sont déterminées par la loi dans le code du commerce en particulier à l’article L.110-1, les commerçants sont définis dans le code de commerce dans l’article

dans deux sens différents. · Tantôt ce terme désigne l’ ensemble des règles sociales qui gouvernent le rapport des individus entrepris entre eux ou avec la puissance publique. On parle alors de droit objectif qui désigne l’ ensemble des règles juridiques dans un domaine particulier. Dans cette hypothèse, la règle de droit est envisagée elle-même traditionnellement, on distingue deux branches principales du droit: Public qui régit les rapports des individus avec l’ État et aussi des État entre

décisions. Le droit est une matière très étendue et donc de plus en plus spécialisée. Pour accéder à la spécialité juridique, il faut avant tout posséder un minimum de culture juridique, donc connaître les notions fondamentales de la matière et les terminologies dans lesquelles on s’exprime. L’accent est mis sur le langage du droit car pour toutes les matières techniques, le vocabulaire juridique comprend de nombreux mots et expressions qui ne peuvent pas être forcément compris par des profanes. Souvent

un effet, un phénomène social. Toute société ayant besoin d’une organisation et de règles. Les règles juridiques nécessaires à cette organisation peuvent être des interdictions (de tuer, de stationner), des obligations (de réparer le dommage causé à autrui, d’entretenir ses enfants) ou des sanctions imposées (en cas de non respect des interdictions ou obligations précédentes). Les règles juridiques peuvent être aussi des droits accordés aux individus. La seconde correspond au droit subjectif qui

en plusieurs branches. La branche principale est le droit civil, qui s’occupe des personnes, des biens et des obligations contractuelles et délictuelles. A côté, on trouve le droit commercial qui s’occupe des relations entre commerçants et des actes de commerce, le droit du travail qui régit les relations entre employeurs et salariés. Il y a des tribunaux particuliers pour le droit commercial (tribunaux de commerce) et pour le droit du travail (conseils de prud’hommes). Lorsqu’il n’existe pas

subjectifs. Première partie: Les droits subjectifs Se sont les pouvoirs dont dispose une personne et la vie juridique crée des rapports de droit entre les personnes. La diversité de ces droits va imposer une classification. Chapitre I: la classification des droits subjectifs On va établir des catégories juridiques, c'est à dire des ensembles de droits, de personnes, de faits ayant entre eux des traits communs. Les doctrines proposent plusieurs classifications tout en disant qu'elles sont

marché et de se rapprocher ainsi des règlements communautaires. Est donc créer le conseil de la concurrence, autorité administrative indépendante, qui reçoit compétence, au lieu et place du ministre chargé de l'économie, pour statuer à l'égard des pratiques anticoncurrentiel. Toute foie le contrôle des concentrations reste de la compétence du pouvoir règlementaire c'est a dire des ministres. Vient la réforme du 3 janvier et 4 aout 2008, la loi de modernisation de l'économie. C'est loi créer l'autorité

 Cas Pratique Q1- Définissez les notions d’acte juridique et de fait juridique. Acte juridique C’est une action volontaire - elle ne nous est pas imposée (je peux choisir, ou non, d’acheter tel ou tel produit) - qui a pour objet et pour effet de créer des conséquences juridiques. Exemple : si je décide d’acheter un produit quelconque, je pourrai en disposer (c’est mon objectif), et j’aurai l’obligation de payer le prix de ce produit au vendeur, ce que j’ai voulu. Fait juridique C’est un événement

VIII : La preuve des droits subjectifs. Celui qui entend se prévaloir d’un droit doit justifier qu’il en est effectivement titulaire. Il doit fournir la preuve de l’existence du droit qu’il invoque. Cette exigence est de portée très générale, mais elle prend une importance particulière en cas de litige. La preuve doit alors être faite devant le juge et c’est ce dernier qu’il faut convaincre de la réalité du droit. On parle donc de preuve en justice ou de preuve judiciaire