Cas Pratique Responsabilité Civile

FICHE 14 : La responsabilité civile La responsabilité civile désigne l’ensemble des règles qui obligent l’auteur d’un dommage causé à autrui à réparer ce préjudice en offrant à la victime une compensation (G. Viney). La responsabilité civile s’oppose à la responsabilité pénale qui vise à sanctionner l’auteur d’une infraction pénale portant atteinte à l’ordre social. Cependant, certains dommages sont constitutifs d’une infraction pénale et peuvent aussi entraîner la responsabilité civile de leur auteur

Chapitre 1 : La responsabilité et le dommage >>> En droit, on distingue la responsabilité civile qui peut être contractuelle ou délictuelle, et la responsabilité pénale. : - La responsabilité pénale est engagée lorsqu’une infraction (contravention, délit ou crime) est commise. Elle vise à sanctionner l’auteur de cette infraction en l’obligeant à supporter une peine. - La responsabilité civile est mise en œuvre en cas de dommage causé à autrui et oblige l’auteur de ce dommage à le réparer. Si

Droit Civil Le fait juridique Ils désignent des évènements qui vont avoir des conséquences de droit que n'ont pas voulu les parties. Exemple : la mort, la naissance, la maladie, bruler un stop, vivre en concubinage, gérer les affaires du voisin. Il y a les faits de l'homme, et les faits de la nature. Dans le droit des obligations, le fait juridique n'est pas neutre, il va faire naitre une obligation a la charge d'une personne. Obligation que cette personne n'a pas souhaité être liée. Le code

faute précontractuelle doit-elle être intentionnelle ? § 2 La faute doit-elle être grave ? Partie 2 la responsabilité précontractuelle. Section I : le fondement controversé de la responsabilité précontractuelle. § 1 la théorie d’Ihreing § 2 la théorie de l’abus de droit Section 2 la sanction de la faute précontractuelle. § 1 en cas d’échec de la négociation. § 2 en cas de succès de la négociation. Conclusion Introduction : Traditionnellement, le contrat se forme

| | |· Assurances des risques techniques | | |· Responsabilité civile générale | | |· Vol |

LE PRINCIPE DE LA RESPONSABILITÉ DE PROTÉGER : AVANCÉE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE OU ULTIME AVATAR DE L’IMPÉRIALISME ? Jean-Marie Crouzatier, Faculté de droit, université de sciences sociales, Toulouse-I Courriel : jmcrouzatier@wanadoo.fr Revue ASPECTS, n° 2 - 2008, pages 13-32 Résumé : L'intervention humanitaire qui consiste à secourir des personnes sans tenir compte de leur nationalité ou de leur appartenance politique ou religieuse est souvent présentée comme antinomique de l'activité

TD4 OBLIGSÉANCE 4 : LES FAITS GÉNÉRATEURS DE RESPONSABILITÉ CIVILE (I) : LE FAIT PERSONNEL Commenter l’arrêt rendu par la deuxième Chambre civile de la Cour de cassation le 20 novembre 2014. En l’espèce, un joueur de football subit, au cours d’un match, un tacle de la part de son adversaire qui est une action de jeu autorisé au football et destinée à capter le ballon, et devant, en principe, éviter le contact avec le joueur ayant la balle. Le tacle en question a occasionné une fracture

groupées autour du même foyer, sous la même autorité domestique », et c’est cette « autorité qui créée la responsabilité ». Le 19 novembre 2008, la 3ème Chambre civile de la Cour de cassation, réunie en formation plénière, a rendu une décision de rejet surprenante au regard de l’évolution de la notion susmentionnée de « personnes de la maison » du preneur, visée à l’article 1735 du Code civil, disposant que : « le preneur est tenu des dégradations et des pertes qui arrivent par le fait des personnes

d’abord, d’introduire ces quelques conseils méthodologiques en vous rappelant que le droit doit se concevoir avant tout comme une argumentation. Si les règles de droit étaient claires et absolues, il n’y aurait plus de juristes. Comme ce n’est pas le cas, les juristes ont un rôle important à jouer. Leur travail est d’identifier les problèmes juridiques (étape 1), de rechercher quelles règles sont applicables parmi les différentes sources (étape 2) puis de proposer une réponse argumentée et structurée

d’œuvre et l’entreprenariat du bâtiment ont une histoire commune, dont le Code civil de 1804 n’a pas réussi à s’extraire totalement pour encadrer leurs émancipations individuelles. En ce sens, l’organigramme des relations existant entre le noyau dur des intervenants à l’acte de construire que sont les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’œuvre et les entreprises, résulte de nombreux atermoiements. Mais, depuis le Code civil de 1804, une différenciation des professions de la construction s’est imposée