Cas Pratique Majeur Sous Tutelle

personnes qui conviennent par un contrat d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie en vue de partager le bénéfice ou le profit de l’économie qui pourra en résulter. (Loi du 11 juillet 1985) La société peut être instituée dans les cas prévus par la loi par l’acte de volonté d’une seule personne. Les associés s’engagent à contribuer aux pertes. » Remarque : Cette définition énonce la nature de la société. Elle fait, dans une première approche de la société un contrat. Mais pas

physique désigne tout être humain. Tout individu depuis sa naissance acquiert la personnalité. Cette exclusivité, a une double signification : 1) Tout individu est doté de la personnalité. Il faut remonter le cours de l’histoire, pour trouver le cas d’être humain, auquel des êtres humains n’étaient pas considérés comme personne (exemple : les esclaves, la mort civile : elle était une personne condamnée à une peine criminelle et à une peine civile. Ces personnes ne pouvaient pas être titulaires

vertes et des Négociations sur le climat Ministère du Travail, de la Solidarité et de la Fonction Publique Ministère de la jeunesse et des solidarités actives Direction Générale de la Cohésion Sociale Service des politiques d’appui Sous-direction des professions sociales, de l’emploi et des territoires Bureau des professions sociales (4A) Dossier suivi par : Dominique Terrasson Tél. : 01 40 56 85 85 Courriel : dominique.terrasson@social.gouv.fr Le ministre du

réfléchi •Minorité •Majeur protégé •Précis •Licite La capacité L ’objet La cause •Licite Pour former valablement un contrat quatre (4) conditions de fond sont nécessaires : Il arrive quelquefois que le législateur •Existant exige une forme particulière pour la •Intègre Le consentement formation du contrat. •Informé (Ex : un écrit sous seing privé ou notarié •Quelque fois réfléchi ou un acte matériel de délivrance •Minorité La capacité ou de livraison). •Majeur protégé •Réfléchi Mais

par le droit objectif. En d’autres termes, la personne est un sujet de droit (titulaire de droit), qualité qui lui est conférée par l’attribution de la personnalité juridique. * Opposition fondamentale entre l’être humain & la personne Sous un aspect théorique, il est possible d’opposer la notion de personne & d’être humain. Cette distinction a eu & a encore des applications concrètes. Dans le passé, 2 principales : -il s’agit de l’esclavage. Jusqu’au fameux décret

entre un enfant et le conjoint de son parent (beau parents) ce lien d’alliance ne marche que pour le mariage (pas pour le pax ou concubinage). La parenté et l’alliance sont donc les deux piliers de la famille. La famille dans tous les cas présente une particularité. C’est un phénomène social avant d’être un phénomène juridique, la famille existe, elle évolue et ce développe généralement avant que la loi ne l’ai prévue. Par exemple on a mit très longtemps a reconnaitre le divorce,

certes peuvent être punit pénalement (1ere classe) mais l’officier de l’état civil est obligé de prendre une déclaration même si elle est tardive. Si le défunt ne peut être identifié l’acte de décès doit signaler sa description la plus complète. En cas d’identification ultérieur, l’acte de décès est rectifié par ordonnance du président de TGI. L’acte de l’enfant sans vie est l’article 79_1 alinéa 2 du code civil. Il y a deux décret et deux arrêtés qui sont parus au journal officiel du 22 aout 2008

survivant. Dps 1970 ce n’est plus le cas ; la Ccass considère que le survivant subis bien un préjudice du fait du décès du futur époux. §2. Le concubinage. Le concubinage est présenté comme un phénomène récent mais ça a toujours existé. Ex : refus du mariage catholique lors de la Réforme. Concubinage vient de cum cubare qui veut dire coucher ensemble. Quelques chiffres : En 1970, 1 couple sur 10 débutait son union par une phase de concubinage. Aujourd’hui, c’est le cas de 9 couples sur 10. Le concubinage

L’administration légale sous contrôle judiciaire 3) La tutelle II. L’incapacité générale d’exercice du mineur A Le mineur non émancipé B – Le mineur émancipé 1) Les causes de l’émancipation 2) Les effets de l’émancipation § 2 : LES MAJEURS INCAPABLES I. Les majeurs protégés II. Les régimes de protection A – La tutelle 1) Organisation de la tutelle 2) Incapacité du majeur placé sous tutelle B – La curatelle 1) Organisation de la curatelle 2) Incapacité du majeur placé sous curatelle C –

support informatique et leurs transmissions par voie électronique entre professionnels sont soumises à des règles du conseil d’état. Si une personne tente d’obtenir ces informations il est passible d’un an d’emprisonnement et 15000 euros d’amende. En cas de diagnostic ou pronostic grave, le secret médical ne s’impose pas pour prévenir son entourage défini à l’article L.1111-6, pour apporter un soutien à la personne, sauf si celui-ci refuse. Le secret médical ne s’impose pas non plus pour une personne