Cas Pratique Inexécution Du Contrat

Droit des contrats Bibliographie : Les obligations LEGIER, Dalloz, collection mémento, 19e édition, 2008 La théorie générale du contrat est la théorie applicable à tous les contrats. On l’appelle aussi le droit commun du contrat. 2005 : Avant-projet CATALA qui a été abandonné sous la pression des professionnels Le gouvernement est entrain d’élaborer un nouveau projet qui devrait être adopté début 2009 et notre cours risque de ne plus être adapté. À prendre en compte pour DSCG en 2010.

juridictions répressives Peut être saisie de deux manières : Par la victime elle même. Elle se constitue partie civile Par le procureur de la République. La victime se constitue partie civile pour pouvoir intervenirà l'instance. Dans les deux cas, lorsqu'elle se constitue partie civile elle peut demander : L'indemnisation de son préjudice  devant la juridiction pénale. Le juge répressif peut prononcer l'indemnisation même dans l'hypothèse d'un acquittement ou d'une relaxe. L'infraction n'est

l’assureur et l’assuré mais aussi les intermédiaires, les tiers, bénéficiaires et les victimes d’accidents. L’assurance est l’opération par laquelle une partie l’assuré se fait promettre moyennant une rémunération « la prime » pour lui ou pour un tiers en cas de réalisation d’un risque, prestation par une autre partie. L’assureur qui prenant en charge un ensemble de risque, il est composé conformément aux lois de statistique. De façon étrange, l’assurance n’est apparu que très tardivement et encore n’est

obligation de donner a une existence brève et éphémère, au moment où elle nait, elle disparaît aussitôt. En droit français, le transfert de propriété se réalise par le seul accord de volonté, dès que les parties sont d'accord sur la chose et le prix, le contrat se forme, on en déduit une obligation de donner, le seul accord permet le transfert de la chose. Aussitôt apparue l'obligation disparaît. Il y a des hypothèses dans lesquelles cette obligation de donner n'est pas effectué automatiquement avec l'accord

multitude des contrats. En d’autres terme « nous vivons de plus en plus contractuellement ». C’est pour sécuriser ces actes juridiques que le législateur est venu encadrer les contrats les plus importants. Aussi , en plus de l’arsenal juridique consacré à la théorie générale des obligations , valable pour l’ensemble des actes juridiques (consentement, objet , cause , exécution , résolution, responsabilité ..) viennent s’ajouter une réglementation spécifique applicable à des contrats en particulier

pontifes et les formules. Section 1 : Le formalisme dans les actes créateurs de droits §1. Les actes créateurs de droits réels : Mancipatio, Traditio, In jure cessio. § 1. Les actes créateurs de droit « personnel » : le formalisme dans les anciens contrats : paroles solennelles, écrits, remise d’une chose, acte de transfert de droits réels. Section 2 : Le formalisme dans les actes sanctionnant des droits : le procès dans le cadre des actions de la loi. § 1. Les Actions de la Loi §2. Le déroulement

temporaire (max. viager), cessible • Intransmissible, sauf usufruit successif ou réversible • Exclusif dans sa totalité, mais divisible intellectuellement Création : • Par la loi (conjoint survivant, descendants) • Par un contrat (à titre onéreux ou gratuit) • Par un testament Droit de l’usufruitier : • Droit à l’usage de la chose usufructuaire • Droit à la perception des fruits produits par la chose o Fruits civils (loyers, rentes) o

professionnel. – Vérifier la légalité des formalités et des conditions d’accès à une profession et d’une procédure de recrutement. Plan du chapitre Éléments de droit positif 1. Le droit du travail salarié Régime juridique du salarié de droit privé : contrat de travail, droit du recrutement, droits et obligations du salarié de droit privé (121-2) 2. Le droit de la fonction publique Régime juridique du fonctionnaire : statut, conditions d’accès, droits et obligations du fonctionnaire (121-3) Cours

des réparations en nature. En cas de préjudice, la réponse de base c’est la responsabilité civile, mais certains textes prévoient des sanctions spécifiques. Par ex : en cas de vice caché, la sanction est prévue dans les textes du code civil, elle peut être des dommages et intérêts mais il peut s’agir également de la résolution de la vente. Quand le législateur n’a pas prévu de sanction spécifique, dans ce cas on agit sur le fondement de la responsabilité. (c’est le cas la plupart du temps). Responsabilité

d’exécution de l’obligation La vente est selon le droit commun7(*) a pour effet principal l'automaticité du transfert de propriété du vendeur à l'acquéreur dès l'échange de consentements des parties. Cet effet juridique lié à la nature de ce contrat fait obstacle à la volonté des parties de faire crédit au moyen de la vente à crédit, ce d'autant plus que les sûretés classiques présentent une efficacité relative. Dès lors les acteurs juridiques se trouvent devant un double problème : pour le vendeur