Cas Pratique Filiation Hors Mariage

de cette règle est connue, c'est la fonction du patrimoine, il s'agit de protéger le créancier et par conséquent le crédit puisque les biens se sont substitués à la personne comme garantie de remboursement, il faut qu'il soit engagé dans tous les cas sans autres limites que celle du montant de la dette. Si celui qui doit n'a pas actuellement des bien suffisant pour répondre de ces engagements ses biens futures en répondront en tant que de besoins, les biens acquis en remplacement d'autres valeurs

Droit international privé (DIP), cours de Mlle Pardoel INTRODUCTION Chapitre 1- Les intérêts du DIP Section 1- Un intérêt pratique Section 2- Un double intérêt intellectuel (affiner l’esprit juridique et approfondir la connaissance juridique interne) Chapitre 2- Les sources du DIP Section 1- Les sources internes (pas de Code et peu de lois, la jurisprudence, la doctrine) Section 2- Les sources internationales §1- La coutume internationale §2- La jurisprudence internationale

1. Le mariage 17 § 1 introduction 17 a. Evolution familiale 17 1. L'évolution de la notion de famille 17 2. Les nouveaux problèmes 17 b. Retour vers l'indivudualisme 17 c. Les Familles monoparentales et recomposées 18 d. Reformes 18 e. Notion de mariage 18 1. Définition 18 1. Une union 18 2. La loi civile 18 3. Entre 2 personnes physiques 18 4. De sexes différents 18 2. Le mariage dans le CC 19 1. Laïcité 19 2. La liberté du mariage (Cst 54) 19 4. Les dispositions positives de protection du mariage

soustraire une partie de son actif à la corrélation avec le passif, ie. à l’emprise de ses créanciers. Cette indivisibilité du patrimoine n’est qu’assez rarement battue en brèche. Dans quelques cas, on en soumets certains à un régime particulier et les affectent au paiement de certaines dettes. C’est par exemple le cas des biens communs. Pdt la communauté le paiement des dettes de chaque époux est tenu, pourra tj etre poursuivi sur ses biens communs. (art 1413 du code civil), mais il n’y à la qu’un simple

ancien droit connaissait des conflits de droit de façon extrêmement marginale. Les conflits étaient souvent des conflits de coutumes = conflits internes => le critère ne nationalité ne servait à rien puisque la personne était française dans tous les cas. Le domicile était le domicile d’origine = domicile du lieu de naissance. Il s’agissait donc d’une notion proche de la nationalité. L’article 3 s’est fondé sur une idée de souveraineté selon laquelle l’Etat doit conserver sous son contrôle ses citoyens

personne. Il y a un délai pour déclarer la naissance : 3 jours à compter de l’accouchement. (R654-4 du Code Pénal) Mais il y a une dérogation à ce principe, la naissance n’est pas toujours la condition nécessaire de la personnalité. Dans certains cas, un enfant simplement conçu est sujet de droit. Paragraphe 2 - Exception : La conception La personnalité juridique peut rétroagir à la date de la conception. Le fait est de déroger au principe selon lequel la personnalité juridique s’acquiert par

jouissance c'est à dire l'aptitude à être titulaire de droit. Et cette capacité de jouissance est très largement entendue par le droit. La capacité d'exercice, c'est à dire l'aptitude à exercer ses droits va pouvoir subir des restrictions. Ce sera le cas pour l'enfant mineur ou pour les personnes placées sous tutelles. La personnalité juridique c'est ce qui permet à un être humain d'être considérer comme une personne par le droit. Sans cela elle n'est rien. . Cette évidence n'a pas été toujours

civil est mis a jour chaque année. Le Droit civil règlemente deux domaines : les personnes (droit de la personne et de la famille) et le patrimoine. Les personnes sont considérées sous un angle familial (essentiellement du mariage, du concubinage, du divorce et de la filiation) et sous un angle individuel : droit des personnes, qui fait la distinction entre les personnes physique (être humain) et les personnes morales (groupement de personnes physiques : une société). Pour les personnes physiques

La personnalité juridique ne se perd qu’avec la mort. La personne juridique cesse d’exister à la mort de la personne humaine. Les droits et obligations de cette personne cesse à sa mort. Le patrimoine est figé au moment du décès est distribué le cas échéant entre les héritiers. Sur le plan des actions judiciaire, le mort saisi le vif, c.-à-d. que les actions patrimoniales qui étaient attenté par le mort ou à l’encontre du mort, sont repris par les héritiers. Si l’on ne sait pas si la personne est

valeurs qui fondent la famille musulmane et qui font sa spécificité, traduit la volonté du législateur d'inscrire l'institution familiale dans son cadre originel. Ceci ressort clairement à travers l'importance qu'il accorde au mariage, à la protection de la filiation patrilinéaire, à la consécration du devoir d'assistance entre les membres de la famille et à la conservation du patrimoine familial. (3) Bien que la Moudouana constitue l'Ordre dominant en matière de Droit de la FAMILLE au