Cas Pratique Evolution Du Role Des Banques

* a) De la « monnaie voile » aux politiques volontaires issues de la théorie keynésienne * b) Le retour au monétarisme  * (1) Monétaristes et « Nouveaux classiques », * (2) Des banques centrales indépendantes visant principalement la stabilité des prix  * (3) L'inflexion des objectifs intermédiaires libellés en termes de masse monétaire * 2. Une politique adjacente : le change  * 3. Le

et présenter les principes généraux de gestion de ce risque. Dans un deuxième temps, nous tenteront d’analyser les principaux instruments de couverture afin de déceler leur insuffisance. Les politiques de couvertures dans l’entreprise et la pratique de gestion du risque de change au Maroc feront l’objet de la troisième partie. Et enfin, nous finirons par jeter un regard critique sur les aspects généraux des instruments de la gestion du risque de change à travers un bilan récapitulatif.

LES SUJETS D’EXPOSE L’ENVIRONNEMENT RÉGLEMENTAIRE DES ACTIVITÉS DE BANQUE DE DÉTAIL Question n° 1 : Quelles sont les conséquences pour les banques de l’application de la troisième Directive sur la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme ? Question n° 2 : La troisième Directive sur la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme fait-elle évoluer son champ d’application ? Question n° 3 : Les autorités de tutelle du secteur bancaire sont chargées

FINANCEMENT DE L’ECONOMIE DANS L’UEMOA Mémoire présenté et soutenu en vue de l’obtention du Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées-Hautes Etudes en Gestion de Politique Economique (D.E.S.S-H.E-GPE) Par Alpha Ousmane Sawa Déme AW Titulaire d’un Master en Banque et Finance Option : Gestion des risques Sous la direction du Professeur Mama OUATTARA Professeur agrégé de l’UFR des Sciences Economiques de l’Université Cocody-Abidjan Directeur du CIRES Et de M. KONAN Hyppolite Chef de Service des Etudes et des

d'ensemble économique réels. C'est un ensemble structuré et cohérent dont les éléments sont organisés. Ces éléments sont : les institutions, les moyens techniques, les représentations économique et sociale. Un régime économique renvoie à l'application pratique du système. Les composantes du capitalisme  : l'idéologie : Le libéralisme économique, qui dresse le principe fondamental de la liberté individuelle, il défend l'autonomie et la libre initiative des indivdus dans l'organisation de leur

Introduction générale……………………………………………………A Chapitre I : le benchmarking Introduction du chapitre……………………………………………………1 Section I : Généralité sur le benchmarking I.1 Bref Historique…………………………………………………………2 I.2 Définitions………………………………………………………………3 I.3 évolution du benchmarking…………………………………………...5 I.4 Objectifs du benchmarking …………………………………………...7 Section II : Typologie du benchmarking II.1 Le benchmarking interne……………………………………………...9 II.2 Le benchmarking concurrentiel…………………………………........10 II.3Le benchmarking

Parents, A ma s ur et à mes frères, A toute ma famille, A tout mes amis, Je dédie ce travail. 3 Nous tenons à adresser nos vifs remerciements à tous ceux qui ont contribué à l élaboration du présent mémoire et au bon déroulement de notre stage pratique. Nos remerciements sont adressés tout particulièrement à notre tuteur de stage Mr. BOUIDER Lokmane pour sa disponibilité, sa très grande aide et ses conseils, ainsi que le personnel de la direction des risques de BNP Paribas Nous tenons à remercier

d’inflation augmente et inversement, soit sur un taux de référence du marché monétaire ou du marché obligataire. Le taux d’intérêt créditeur : correspond au coût des ressources des banques et permet de rémunérer les dépôts (on parle également de taux acheteur ou taux offert). Le taux d’intérêt débiteur : Taux d'intérêt que les banques appliquent aux emprunteurs (appelé également taux vendeur ou taux demandé). Le taux d’intérêt à court terme : Le taux court correspond aux opérations dont l’échéance peut

monde (HERSTATT (1974), BARINGS (1995), YAMAICHI SECURITIES (1996)) et l’effondrement du système financier mondial a davantage montré les lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance du comité de Bâle en 1974. Dans notre contexte, le Cameroun, nous avons assisté à la fermeture de nombreux EMF

entreprises bancaires et non bancaires, mais les banques présentent des spécificités qui justifient et nécessitent des approches et analyses adaptées. L’activité bancaire est une industrie en rapide évolution, les attentes des clients changent et évoluent, les pratiques financières s’alignent sur les meilleures pratiques internationales, et l’on constate la nécessité pour les banques de s’adapter rapidement. Plus que jamais, le discours des banques, essentiellement celles des pays industrialisées