Cas Pratique Clause Léonine

expressions ou notions se sont substituées au terme droit commercial. Ainsi on parle volontiers de droit des affaires, voire de droit économique ou de droit de l’entreprise. Mais en réalité ces controverses terminologiques ont très peu d’intérêt pratique car le domaine du droit des affaires est si vaste aujourd’hui qu’il englobe le champ d’intervention d’autres matières du droit. Ainsi il couvre notamment des questions qui relève du droit public ( intervention de l’Etat dans l’économie), du droit

marché. B. Les stratégies de prix → Lors d’un lancement d’un produit (1ère hypothèse) La stratégie d’écrémage : Le prix du produit est plus élevée que celui ou ceux de la concurrence. La stratégie d’alignement : Le prix est aligné sur celui pratiqué par le principal concurrent du marché. La stratégie de pénétration : Le prix est moins élevé que celui ou ceux de la concurrence. (Grande surface, MDD : marque de distributeur). La stratégie différenciée : (réel ou illusoire) Le prix est différent

en général deux, mais parfois certaines formes de sociétés exigent un nombre supérieur comme la société anonyme doit comporter 7 actionnaires (ici ce sont des associés). Il n'y a, à priori, pas de nombre maximum sauf si la loi le prévoit. C'est le cas dans la SARL (société à responsabilité limitée) qui a 100 associés maximum. Dans certaines sociétés il y a un nombre très important d'associés, souvent dans les sociétés cotées en bourse. Pour la qualité c'est un groupement de personnes physiques ou

Didier, Droit commercial, tome 2, L’entreprise en société, les groupes de sociétés, Thémis, 3ème édition, 1999. · Mémento pratique Sociétés commerciales, Francis Lefebvre, 2003-2004. · Juris-classeur Sociétés · Dictionnaire permanent de droit des affaires · Dictionnaire Joly des SA et des SARL INTRODUCTION GENERALE D’emblée, un constat doit être dressé: l’importance pratique des sociétés, tant du point de vue de leur nombre que du point de vue de leur diversité et de la variété des secteurs qu’elles

dans le capital social, et la part de l’associé qui n’a apporté que son industrie est égale à celle de l’associé qui le moins apporté (sauf clause statutaire). Cependant, une clause attribuant à un associé la totalité du profit procuré par la société ou l’exonérant de la totalité des pertes est réputée non écrite. On parle aussi de clause lénine. La clause étant réputée non écrite, le partage s’effectue proportionnellement aux apports. 5) La participation aux pertes A la liquidation de la société

commercial. Pourquoi faire la distinction entre l’acte civil et commercial ? Car le régime juridique (le droit) n’est pas le même. La 1e différence vient dans l’exécution des obligations : ex : une personne doit de l’argent à une autre. Dans le cas civil, on peut être débiteur et ne pas faire connaître sa situation pour être payé. La solidarité en droit = garanti octroyé à un créancier de demander la somme du tout. Ex : j’ai prêté à Paul et Virginie la somme de 100euros. Donc 50€ à Paul, 50€

étatique qui différencie l'obligation civile des devoir de bien séance, de moral voire de religion. L'obligation civile est donc celle qui produit un effet garantie par l’État et ses tribunaux. Cependant cet effet n'est pas toujours complet, dans ce cas on parle « d'obligation naturelle ». L'obligation naturelle n'est pas véritablement obligatoire, elle est sans sanctions mais elle n'est pas nécessairement sans effets. Il peut s'agir : d'une obligation naturelle pure (le devoir alimentaire entre

approche classique, le droit des groupements qui se proposent essentiellement droit des sociétés a été fractionné en deux parties. La première dédiée au droit commun, la seconde au droit spécial. Une telle partition peut a priori surprendre puisqu’en pratique, la matière semble se résumer au droit spécial c'est-à-dire à l’étude de chacune des formes de société. Elle était pourtant nécessaire car permettant de prendre conscience qu’en dépit des apparences, il existe des grands principes gouvernant le droit

organiser le réglement amiable de dettes trop abondantes Bénéficier de la pension de retraite spécialement aménagée pour cette profession Prévoir dans leur contrat entre commerçants l'insertion de clauses de compétences ou clauses compromissoires (prévoir devant quel tribunal se référer en cas de litige). B) Les obligations du commerçant Les obligations du commerçant sont définies par le code du commerce. Le commerçant est soumis aux obligations suivantes : Obligation comptable et

l'assurance. Dans ce cas, l'assurance peut obtenir la répétition de l'indu donc le remboursement de la somme versée. • L'enrichissement sans cause. Une personne s'enrichie au détriment d'une autre mais sans aucune décision juridique. C'est défendu par un arrêt de la CCass, l'arrêt Patureau du 15 juin 1892: "nul ne peut s'enrichir injustement au dépend d'autrui". EX: l'action de in rem verso de la concubine lors d'une rupture. • La fausse promesse. Ou le cas de loteries publicitaires