Capitalisme Orthodoxe

I – Les précurseurs de la pensée économique 1 – Les mercantilistes (COLBERT) A partir du 14ème siècle L’économie était définie sur le développement du commerce grâce aux colonies elle reposait sur l’accumulation de l’or qui était l’unique symbole de richesse. On distingue deux courants mercantilistes : le mercantiliste français (COLBERT) : Colbert qui était ministre d’état a favorisé la création de manufacture royale qui avait pour objectif d’exporter les biens afin de récupérer des volumes

revenu du capital par rapport à ceux du travail est restée relativement constante durant le XXe siècle. On a donc assisté non pas à une diminution mais à une déconcentration des patrimoines. Cette mutation a entrainé l'essor du capitalisme financier au détriment du capitalisme industriel. Les gens ne possédant plus un patrimoine suffisant pour que la gestion directe de leur capital soit rentable. Les instruments financiers permettent de dématérialiser la propriété pour pouvoir en confier la gestion

si ces boîtes de soupe sont légèrement différentes les unes des autres, elles se perdent et se confondent dans cette impression d’uniformité que l’on a, lorsque l’on regarde l’œuvre. Beaucoup s’accordent à dire qu’Andy Warhol voulait dénoncer le capitalisme américain qui pousse les entreprises à produire toujours plus. Le procédé utilisé par A. Warhol, la sérigraphie (procédé qui consiste à reporter mécaniquement une image sur une toile en la réduisant à ses traits essentiels, en la dépouillant de

de la fin du Second Empire avec la chute de Napoléon lll, en 1870 (défaite de Sedan face aux Prussiens). C’est une période d’instabilité où règne la corruption, et c’est pourquoi Zola critique la justice. * Révolution industrielle + essor capitalisme inégalités sociales, ouvriers exploités (mines) * Focalisation : La narrateur = externe – interne peut rentrer ds pensées de Denizet (ex. : l. 19-20 « sa conviction était faite … À quoi bon ruiner … » + l. 51-52 « Il était en train de

Sujet : quelle est la place de l'Afrique dans les relations internationales? Les questions d’économie et de relation internationale tiennent une place importante dans les débats publics, une place qui semble s’être accrue ces dernières années avec l’utilisation intensive du terme mondialisation dans de nombreux commentaires de la presse ou des hommes politiques et la question de la place du contient noire se pose avec ardeur. Pour certains, l’Afrique s’apparente davantage à un

Karl Marx (1818-1883), économiste, communiste ainsi que philosophe allemand, s'impose comme l'un des acteurs majeurs de l'époque du fait de ses initiatives dans la lutte des classes. Prenant le parti des organisations ouvrières, il dénonce le capitalisme et ses répercussions sur la société et prône le communisme à travers diverses œuvres comme celle étudiée. Il y livre son point de vue analytique des différences présentes entre classes sociales sur les besoins et envies des individus de la société

Dans sa conception philosophique, selon Marx, le travail est le prolongement de l'Homme, c'est une partie de son existence individuelle. Il aboutit à une reconnaissance par les autres hommes, et crée une solidarité entre individus. Il lie intimement le travailleur et celui qui bénéficie de ce travail. C'est aussi un moyen de subsistance, directe dans les systèmes pré-capitalistes (sociétés paysannes), indirecte dans le système capitaliste. Dans la société capitaliste, le travail a changé de nature:

combat politique, idéologique, d’éducation restera nécessaire. Pour autant, la lutte de classe conserve un aspect central. Partie 2 : Classe ouvrière et la conscience de classe a) La classe ouvrière sous le capitalisme : exploitation et aliénation Sous le capitalisme (propriété privée des moyens de production et d’échange, concurrence généralisée entre entrepreneurs, concurrence généralisée entre salariés sur le marché du travail, existence d’un état qui n’est pas neutre mais exprime

Sarraut, voyait en ce phénomène une étroite corrélation entre intérêt économique et devoir humanitaire : « nécessité de conserver et d’augmenter le capital humain pour pouvoir faire travailler et fructifier le capital argent ». Les prémices du capitalisme industriel international étaient donc visibles dès les années 1900. Pour finir, en termes de rémunération des dépenses que la métropole avait consenti à consacrer à la « pacification » et à la « civilisation » de ces territoires, cette dernière

transactions financières internationales ont progressé quatre fois plus rapidement que les flux commerciaux. Il en est résulté une totale dépendance des marchés et des taux de change par rapport aux flux financiers. Aujourd'hui plus que jamais, le capitalisme financier international détermine les conditions du développement économique dans le monde. Au cours des années soixante-dix, les pressions sur le dollar, les chocs pétroliers, la montée inégale de l'inflation dans les pays de l'OCDE se sont