Capes Créole

l’emprunt, la francisation d’un terme du lexique créole, la traduction littérale d’un terme ou d’une expression du lexique créole, le ton-traduction, dont un est la caractéristique essentielle du créole: l’oralité. • L’emprunt: terme initialement français, emprunté par le créole, mais qui, par la suite sera réintroduit dans le texte français avec son nouveau signifié. • La francisation d’un terme du lexique créole: c’est rendre français un mot créole, donc c’est un créolisme. • La traduction littérale

d'origine, les esclaves de différentes contrées se réunissaient. Ils ne parlaient pas la même langue, n'avaient pas les mêmes coutumes, ni la même musique, mais cela ne les empêchaient pas de communiquer autour de la danse et du chant. Puis la langue créole est apparue, s'est fondue dans la musique et le SEGA est né. Dès 1768, les voyageurs de retour de Maurice parlent du chant des esclaves et de la danse. Bernardin de Saint-Pierre, parle de la passion des esclaves pour la musique, de l'harmonie douce

| |  | |Sous-médiatisation ou hypermédiatisation du créole:
Éléments pour une créolisation des médias guadeloupéens | |  | |par Danik Zandwonis  

de pics. ------------------------------------------------------------------------------------- La langue 2 Les guadeloupéens parlent le français et le créole. Voici quelques mots de créole : An-han : oui Anse : petite baie Bè : beurre Boug : homme En-En : non Fanm : femme Kas : maison, case Kréyol : créole, langue créole Ja : déjà Morne : colline Otécaou : c’est quoi ? Savann : seul Timoun : enfant Tourn : petite Touzi : maison PLAN 1. Carte d’identité

Origines  Des gouts et des saveurs 1. La gastronomie antillaise 2. Une cuisine métissée Origines Gastronomie créole : des routes de l’histoire à celles du monde moderne   Les migrations successives que les Antilles ont connues à partir de 1635 ont entraîné la réunion de traditions culinaires différentes, vers aujourd’hui une expression plus complète et plus riche de la gastronomie créole...  Le creuset d’immigrations où se sont mêlés brutalement des indiens caraïbes, des colons blancs, des esclaves

 Elle mentionne d’ailleurs « Je suis un auteur d’expression  française, mais de culture africaine et afro­américaine. ».    Elle a grandi dans la partie francophone du pays, où l’on parle aussi l’anglais, le pidgin  english, le franglais et encore d’autres langues créoles locales. (​ Étant des parlers issus des  transformations subies par un système linguistique utilisé par une communauté important,  Wikipédia​ ). Ceci arrive souvent dans certains pays d’Afrique où l’éducation scolaire est  limitée, sans oublier l

l’évocation de pratiques religieuses des créoles, qui ont lieu lors de ces élections et de ses propres expériences face à se système de croyance. Ce qui nous permet de mettre en lumière certaines pratiques que l’on retrouve chez bon nombre de créole, pratiques et croyances, venu d’Europe et d’Afrique, qui ont servi a la réinterprétation du christianisme. Nous étudierons donc dans un premier temps la place des pratiques religieuses dans l’imaginaire créole et dans un second temps nous analyserons

phénomène que peut générer le contact des langues. « Les langues approximatives » sont un type de réponse aux problèmes de communication qui se pose dans des sociétés plurilingues. Parmi les langues approximatives on cite le pidgin, le sabir, les créoles…ces formes de langues ont les caractéristiques de n’être les langues d’origine de personne. Cela se produit quand des groupes sociaux de langues différentes sont confrontés à communiquer. Mais ni l’un ni l’autre ne comprend la langue de son

tout le système d’instruction québécois contrôlé par le clergé, et ainsi un symbole de la révolution tranquille. Gerald Godin : le jouale et nous. Parti pris janvier 1965 (1 11-114) Dor : Contre le joual. Il compare le joual à une sorte de créole que les québécois ont adoptée comme langue nationale au fur des années. Le joual est ainsi dire un manque d’éducation des québécois. Il impute la cause de ce phénomène au sentiment d’abandon que les québécois ont vis-à-vis des français, en remontant

subtilement le vieux français à l’argot des anciens esclaves. Théoricien de la créolité et inspiré par l’ethnographie il s’intéresse de près à la culture créole et aux formes culturelles disparaissantes de son île natale (« les djobeurs » du marché de Fort-de-France et « les vieux conteurs »). Il redécouvre le dynamisme de sa première langue, le créole, la langue qu’il a dû abandonner au moment de ses études primaires. Il publie, en 1986, son premier roman « Chroniques des sept misères », œuvre dans