Candide Préoccupations Des Lumières

tragique au théâtre Le théâtre est le lieu de vécu : les comédiens par leur jeu, vivent et font ressortir les émotions. La forme dialoguée du texte confère à la tragédie une grande vie. Le tragique peut être renforcé par les costumes, les jeux de lumières, etc.... SUR LA QUESTION DE L'HOMME DANS LES GENRES DE L'ARGUMENTATION Sujet : Pensez-vous que l'on puisse traiter de sujets graves et sérieux sur le mode humoristique ? On adopte un plan dialectique. I. Oui

et son riches alors qu'ils sont inutiles la société >< Le peuple doit beaucoup travailler pour avoir un peu d'argent. - Valeur du mariage par l'Eglise >< célibat des prêtres (chasteté) --> dépeuplement Voltaire (Candide) - Se moque de la philosophie optimiste. - >< au fatalisme - Candide a un précepteur optimiste : Pangloss (Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes) - 2 maux : naturels (tempêtes) et humains (guerre, fanatisme) - Solution : arrêter les discours et agir (après avoir observé

1ére S1 DOSSIER « Le siècle des Lumières » Mme Wagner 2010-2011 SOMMAIRE Introduction Qu'est-ce que « Le siècle des Lumières » ? Développement I. Les Lumières comme mouvement littéraire français II. Les Lumières comme mouvement littéraire européen III. Les Lumières comme mouvement culturel français IV. Les Lumières comme mouvement culturel européen Conclusion Introduction Les Lumières constituent certainement l'un des moments

Lumières ! Un héritage pour demain Une époque d’intense bouillonnement à l’échelle de l’Europe Le xviiie siècle voit l’épanouissement d’idées apparues au fil des siècles depuis l’Antiquité ; il absorbe les mouvements idéologiques antérieurs, les réexamine, les remet en question et les synthétise. Les philosophes des Lumières sont les héritiers de Galilée, Pascal, Leibniz. Ils se différencient de Descartes en postulant, dans le sillage de Locke, que la connaissance n’est pas innée, mais procède

dans des ouvrages que l’on classe sous la dénomination aussi vague que large de « littérature ». Le petit Robert offre d’ailleurs la définition suivante du mot « littérature » : « les œuvres écrites, dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques ; les connaissances, les activités qui s’y rapportent ». Dans son ouvrage Qu’est-ce que la littérature, Jean-Paul Sartre ne laisse pas de doute possible : la littérature est nécessairement politique dans la mesure où elle est le reflet

écrire au temps des lumières. Lecture analytique 2 : Autorité politique de Diderot Diderot est un grand animateur des lumières, il écrit des romans des comptes et des pièces de théâtre, il initie le genre de la critique d'art novateur, dans tous ces domaines. Exemple Jack le Fataliste (met en cause l'illusion romanesque). Théatre => il a inventé le drame où il introduit le mélange des genres. Mais il est surtout connu pour être le mettre d'œuvre de l'ouvrage phare des lumières : L'encyclopédie

la vie ») * L e rire pour contester Dieu et la création (c’est pour cela qu’il est condamnable par l’Eglise) * Le rire pour remettre en cause la société, ses institutions, ses lois et ses coutumes (les lettres persanes de Montesquieu ; les Lumières). C’est un puissant opérateur de vérité, un agent destructeur des préjugés, des traditions et des tabous. * Le rire par méchanceté et mépris, le rire pour exclure (rire aux dépend de quelqu’un : les guignols de l’info) en exploitant des particularités

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aspect fonde essentiellement l’idéologie voltairienne. Face à cette raison qui est l’apanage du philosophe, au nom de laquelle il mène son combat civilisateur, se déchaînent la déraison, les folies de l’homme qui n’a pas encore été touché par les "lumières" du combat philosophique. Micromégas est d’abord le tableau d’un monde déraisonnable En premier lieu Voltaire s’est amusé à nous dépayser avec un conte fantastique qui nous entraîne loin de nos certitudes habituelles : il nous invite à un voyage

qu’il en manque toujours », dit Bossuet. Mais chacun définit différemment ces « pièces » du bonheur. Ainsi un moraliste philosophe comme Pascal, un fabuliste comme La Fontaine – pratiquement contemporains au XVIIe siècle – ou des philosophes des Lumières aussi différents – et presque « ennemis » – que Voltaire et Rousseau font tous dépendre le bonheur d’éléments différents. • Pour Pascal, être heureux c’est combler un « gouffre », un manque et remédier à une « impuissance », celle de l’homme.