But Du Comique

Dans l’extrait, il y a trois formes de comique, le comique de parole, le comique de caractère et le comique de situation. En premier lieu, nous parlerons du comique de caractère qui consiste à faire rire les personnes, déclenché par l’attitude mais aussi grâce au costume et au comportement du personnage. Ainsi, le personnage d’Harpagon joue un rôle de personnage.De plus Harpagon ne ressent aucune émotion. Il renvoie comme image celle d’un père monomane qui n’a qu’un seul sujet “ l’argent “ ; cela

doit tenir un rôle de « diablesse » et paraît bien le jouer puisqu'elle se place en deuxième valeur dominante. Colette et Blaise, femme devant se montrer coquette lors de la scène et son amant ne prennent la parole qu'une fois chacun, l'un dans le but de parler d'appréhension sur la beauté (d'où le rôle de coquette) et l'autre pour dire qu'il aime Dame Colette. *(effet miroir)De plus, dans la scène se trouve un jeu de miroir entre les différentes prises de paroles. La sixième réplique (celle de Lisette)

médiévale. La comédie n'est toujours pas considérée comme un genre littéraire mais comme un spectacle populaire. C'est ainsi, que naquirent les farces aux intrigues rudimentaires et aux personnages typés, exploitant les ressources du quiproquo et du comique de gestes. Cette forme populaire sera par ailleurs, plus tard, stylisée par la «  commedia dell'arte », dont Molière s'est beaucoup inspiré. La Comédie Classique, éclot au XVIIème siècle, et donne enfin au genre, ses lettres de noblesse. Les représentations

Axes de lecture : _Scène comique ou Géronte est déchirer entre son amour pour l’argent et son fils. _Rôle du valet I. Une scène comique : un cruel dilemme pour Géronte A. Le comique de situation Les dérobades successives de Géronte ; il envisage diverses solutions pour ne pas payer : envoyer la justice, proposer une substitution d'otage, la clé qui permet d'obtenir la clé qui permet d'accéder aux hardes. B. Le comique de caractère Élément comique essentiel : l'idée fixe de Géronte

CHIREH Eleyeh Samedi 12 Novembre 2011 1èreS2 Français Commentaire : | Ce corpus est composé de trois textes: le premier est extrait de Dom Juan(1665), œuvre comique écrite par Molière célèbre dramaturge français du XVIIème siècle, quant au deuxième, il est tiré de l’œuvre intitulé On purge bébé(1910) de Georges Feydeau dramaturge français, il est du XIXème et du XXème siècle, enfin le troisième texte appartient à l’œuvre de Jules Romains,

de la pièce. Tout ceci est nuancé, les aspects comiques ne servent-ils qu’à faire rire, à réjouir le public ? Nous verrons cette hypothèse dans une première partie, puis dans un second temps nous y verrons le cas contraire, c’est-à-dire que les aspects comiques ne font pas que rire La comédie est un moment que choisit le spectateur pour s'amuser, se détendre et surtout rire ! En effet Le théâtre est là pour faire rire grâce au registre comique qui est propice à la détente, et à l’amusement.

Séquence 1 : Argumenter sur la condition féminine du 17éme siècle au 20éme siècle Préjugés et débats Séance 1 : Comprendre la fonction persuasive de l'apologue (récit à but argumentatif; dans lequel l'auteur démontre une thèse, une opinion) La fontaine, « Les femmes et le secret » (Fables, 1679) Introduction : La thèse de la fontaine dans cette fable est un lieux commun, un vieux préjugés misogyne (qui se méfie des femmes ou les détestent): les femmes sont bavardes, incapable

que Molière a inventé et mit et scène et cela grâce aux scènes mythiques de ses pièces. En effet la comédie est tout le contraire de l’ennui, du sérieux, de lapensée et même de la réflexion et pourtant l’amusement qu’elle propose n’est pas son seul but, nous nous demanderons alors si la comédie est un pur divertissement. Plus précisément nous nousdemanderons si la comédie a pour unique fonction d’amuser le spectateur ou le lecteur et de le détourner de ses soucis quotidiens et existentiels. Nous verrons

spectacle des passions humaines en lutte contre elles ou contre son destin. Elle emprunte également ses sujets à la mythologie antique. La tragédie est aussi destinée au gens bien nés et/ou savants. Elle s’interdit le recours à des scènes familières ou comiques. La tragédie classique répond à : La règle des trois unités et la règle de bienséances (unités de temps, d’action et de lieu) Elle est composée de cinq actes Il y a une progression dramatique (exposition, nœuds, dénouement) Les plus grands dramaturges

l’œuvre est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges des rôles entre maîtres et valets, aspect comique du personnage d’Arlequin. La fin de la pièce n’est en fait que le retour au début de l’histoire, ce qui est le propre de la comédie. Première représentation : La première représentation a lieu en 1725. Type œuvre : C’est une œuvre isolée ne faisant pas partie d’un ensemble. But : Comme la plupart des écrivains du XVIIIème siècle, Marivaux va condamner les valeurs dominantes de ce siècle