Bovary Séduction De Rodolphe

d’André Langevin», mémoire de maîtrise, 1978, v, 114 p. Dir. : François Hébert. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1978 v.003; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1978 v.003; Microfilm; CÉTUQ. Alexandre, Annie, «Le pouvoir comme lecteur : la censure devant Madame Bovary et La Scouine», thèse de doctorat, 1982, viii, 245 p. Dir. : Gilles Marcotte. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1982 v.007; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1982 v.007; Microfilm; CÉTUQ. Allard, Paul-André, «Au bout de soi : scénario de film, suivi d’un essai

celle-ci lui rend visite. 5 Gustave FLAUBERT (1821- 1880) Né en Normandie, il a passé son enfance aux côtés de son père chirurgien. Sa rencontre avec Élisa Schlésinger marquera sa vie. Grand auteur réaliste, il a surtout écrit Madame Bovary et l’Éducation sentimentale. l’Art industriel : le nom du magasin de Monsieur Arnoux. 10 15 20 25 30 Elle avoua qu’elle désirait faire un tour à son bras, dans les rues. Ils sortirent. La lueur des boutiques éclairait, par

veut qu’on vive » (l. 23-24). Par coquetterie, elle se dit âgée, bonne « qu’à faire son salut » (l. 41). Elle assure Jacob qu’elle se plaît « à servir son prochain » (l. 48). Les deux personnages, dans leur comédie de la gourmandise et de la séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe

veut qu’on vive » (l. 23-24). Par coquetterie, elle se dit âgée, bonne « qu’à faire son salut » (l. 41). Elle assure Jacob qu’elle se plaît « à servir son prochain » (l. 48). Les deux personnages, dans leur comédie de la gourmandise et de la séduction, adoptent un discours faussement religieux dont le détachement contraste avec la vitalité et la crudité des instincts (désir, faim). 4. Le conteur emploie le registre satirique pour se moquer du milieu des dévots dans la tradition du Tartuffe

and Duclos (1704–72) were taught a social skill now more important than feats of arms: the art of seduction. In chaste and disembodied narratives, they learn to move in a closed world dominated by language systems and behavioural signifiers where a sigh, a glance and the right words do not so much wake a female heart but open her bedroom door, beyond which, however, the reader does not pass. Seduction was a sophisticated game and its point was style and wit. Its coded preciosity was regularly revisited