Bouvillon Scarron

grands amateurs de romans, comme de L'Astrée, d'Honoré d'Urfé. - Le burlesque Ce courant est une réaction contre l'idéalisme précieux. Les auteurs dénoncent les illusions héroïques et les grands sentiments (voir Le Roman comique (1651-1657) de Scarron).

s’illustrent grâce à leur esprit libertin comme Tristan L'Hermite, Marc-Antoine Girard de Saint-Amant et Théophile de Viau considérés comme des libres penseurs refusant les dogmes et les principes. De fait, certains de ces poètes, à l'instar de Paul Scarron, s'illustrent dans un registre dit « burlesque » à savoir un répertoire irrévérencieux et parodique qui ridiculise les modèles littéraires dominants (comme l'épopée) et les figures mythologiques de l'antiquité, généralement mises en scène dans des

Paul Scarron, Le roman Comique, 1651 Question : Que représente cet incipit ? Sous quel mode ? * Progression du texte * Encrage dans le temps : cadre spacio–temporelle avec l’arrivée des Comédien L1 à 10 * Description de l’attelage ; description ironique ; charrette avec 4 bœufs fort maigre (hyperbole), charrette pleines de malles (costume L 10 à 14) * Description des personnages ; une demoiselle vêtue moitié ville, moitié campagne ; un jeune homme assez mal habillé. « aussi pauvre

"En effet ! Quel bonheur de sentir la chaleur dévorante du feu tout en se régalant d'un roman de Victor Hugo ou encore de Paul Scarron par exemple, dit Madame Bovary émerveillée. - Connaissez vous vraiment Hugo? Quelle oeuvre préférez-vous? demanda le jeune clerc de notaire. - Evidemment ! Cet auteur est le meilleur de tous les temps, ses oeuvres sont exeptionnelles. Notre-Dame de Paris tout particulièrement. Les personnages sont différents les uns des autres mais cela apporte beaucoup au récit

Le Roman Comique, Scarron Le Roman Comique est un roman écrit par Paul Scarron dont la première partie est publiée en 1651 et la seconde en 1657. Le roman reste inachevé lors de la mort de Paul Scarron en 1660. Considéré comme son plus grand chef-d’œuvre, Le Roman Comique est écrit dans un style satirique et simple. D’ailleurs, Scarron représente le genre burlesque de la comédie au 17ème siècle, il bouleverse la tradition romanesque de l’époque en écrivant un roman à l’opposé des romans sentimentaux

du saint empire, pays scandinaves et France) dans toute l’Europe, et du dépeuplement, favorisé par les déplacements en destination des Amériques. * Ailleurs en Europe, le mouvement est peu suivi, seulement par quelques auteurs français (Paul Scarron et Le Roman comique, L'Histoire comique de Francion de Charles Sorel, le Pédant joué de Savinien Cyrano de Bergerac) ou allemands (Simplicius Simplicissimus de Hans Jakob Christoffel von Grimmelshausen V. Principales œuvres La vie de Lazarillo

le principal démêlé fût entre des personnes qui en portaient, et qu'il y en eût plus de cent dans la compagnie. [Note 314: Don Japhet d'Arménie, comédie de Scarron, représentée pour la première fois en 1652,imprimée en 1653, avait eu un fort grand succès, et avait disputé la vogue à Nicomède. On a remarqué sans doute la réflexion que Scarron ajoute, après avoir nommé sa pièce. C'est un des rares endroits où la douleur semble prendre le dessus sur la bonne humeur et la force d'âme du patient, et elle

grands amateurs de romans, comme de L'Astrée, d'Honoré d'Urfé. - Le burlesque Ce courant est une réaction contre l'idéalisme précieux. Les auteurs dénoncent les illusions héroïques et les grands sentiments (voir Le Roman comique (1651-1657) de Scarron).

cadre antique. A côté de cette veine idéaliste, on trouve une tendance plus réaliste qui, sans renoncer aux invraisemblances, cherche à décrire l’homme avec ses défauts et ses ridicules. Cette tendance est illustrée par : - Le Roman comique de Paul Scarron (1651-1657), dans lequel le lecteur est invité à suivre une troupe de comédiens, - Le Roman bourgeois de Furetière (1666), qui offre un tableau critique de la petite bourgeoisie. b) Le courant classique Influencée par l’esthétique classique, Madame

s’appuie sur un idéal classique, on est sensible à l’évolution des mœurs, des idées… On apprécie les romans pastoraux (L’Astrée, d’Honoré d’Urfé), les romans héroïques (Artamène ou le Grand Cyrus, de Madeleine de Scudéry) mais aussi Le roman Comique (Scarron). Dans ces milieux raffinés, on cultive le beau langage, la galanterie…c’est l’émergence du courant « précieux ». C’est également au XVIIème siècle (1678) qu’est publié un roman majeur de la littérature française : La Princesse de Clèves (Madame