Bouvard Et Pécuchet

voyage en Tunisie lui inspire Salammbô (1862), roman de l’Antiquité, tandis que L’éducation Sentimentale (1869) retrace les échecs de sa génération. Il écrit encore La tentation de Saint-Antoine (1874) et les Trois contes. Sa dernière œuvre, Bouvard et Pécuchet, est un recueil d’exemples de la bêtise humaine. II- Plan du texte Problématiques : Quel est l’intérêt du portrait de Charles ? Comment le narrateur joue-t-il avec les attentes du lecteur ? Comment le

George Sand, il se met à l’écriture de nouvelles.  Épuisé par la vie, harcelé par les traites à payer, Flaubert commence le chapitre X quand il est foudroyé le 8 mai 1880 à sa table de travail par une hémorragie cérébrale. Il laisse inachevé Bouvard et Pécuchet, satire féroce de la bêtise humaine. Son enterrement, au cimetière de Rouen, trois jours plus tard, se déroule en présence de nombreux écrivains de renom. Émile Zola, Alphonse Daudet, Edmond de Goncourt, Théodore de Banville ou son filleul Guy

1844, il doit les interrompre prématurément ce qui lui donne l'occasion de se consacrer exclusivement à la littérature. Il s'adonne alors à des œuvrés se classant entre romantisme et réalisme telles que: L'Éducation sentimentale (1869) ou même Bouvard et Pécuchet (1881), inachevé. -> Mme de la Fayette: Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, plus connue sous le nom de Madame de La Fayette, est une femme de lettres française née le 1634 à & morte en 1693 faisant parti du courant

strictement parler, sa première phrase. L'analyse littéraire s'est plu à étudier comment le roman tout entier s'engendre à partir de cette première phrase et modèle un horizon d'attente. • Voici par exemple l'incipit du roman de Flaubert Bouvard et Pécuchet : « Comme il faisait une chaleur de trente-trois degrés, le Boulevard Bourdon était absolument désert. » La mention « trente-trois degrés » annonce le thème de la science, le nom « Bourdon » évoque d'emblée le climat de tristesse qui sera celui

romantisme Le réalisme et le naturalisme Le symbolisme Romans La comédie humaines : « le père Goriot » « les illusions perdues » Les rougon-Macquart : « la Bêtes humaines » « l’assommoir » « madame Bovary » « l’éducation sentimentale » « Bouvard et Pécuchet » Zola Romans Flaubert Romans Le romantisme :  Exprimer une sensibilité nouvelle du Moi dans son rapport à Dieu, à la nature et aux aspirations du peuple  S’ouvrir au charme d’époques révolues (Moyen-âge), de lieux éloignés

(1821-1880) Après des études de droit, Flaubert consacre sa vie exclusivement à l’écriture. L’évocation incisive de la bêtise humaine est un thème essentiel de ses romans. Madame Bovary (1857) peut être lu comme un roman de la médiocrité, et Bouvard et Pécuchet (1881) présente deux héros a la fois grotesques et pathétiques. D’autres œuvres comme Salammbô (1862, roman inspiré par un voyage en Orient) ou la Tentation de saint Antoine (1874) sont au contraire des œuvres sensuelles, hautes en couleurs

quelques problèmes personnels qui ont interrompu son travail, Flaubert publie les trois contes en 1877. Ces contes lui permettent d’apaiser sa période de doute et d’écrire une œuvre moins fastidieuse et difficile que son roman déjà entamé, Bouvard et Pécuchet. Flaubert se livre a un puissant jeu de mémoire et de nostalgie pour son enfance a Trouville, ses rêves romantiques et moyenâgeux, la cathédrale de Rouen et d’autres voyages lointains. Son intérêt pour la religion qui a eu une certaine importance

publication en 1869 de L’Éducation sentimentale ne remporte pas un grand succès. Flaubert connaît alors des soucis d’ordre financier et sa maladie nerveuse l’épuise. En mai 1880, Flaubert meurt d’une hémorragie cérébrale, laissant inachevé son roman Bouvard et Pécuchet. Œuvres principales de Flaubert 1857 : Madame Bovary 1862 : Salammbô est un roman historique. Il prend pour sujet la Guerre des Mercenaires, IIIe siècle av. J.-C., qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait employés

n’a d’autre contenu que l’acte par lequel elle se profère, elle n’a d’autre origine que le langage lui-même. Le texte est un espace à dimensions multiples. Il est un tissu de citations issues de mille foyers de la culture. Pareil à Bouvard et Pécuchet (de Flaubert) l’écrivain ne peut qu’imiter un geste toujours antérieur, jamais originel. Son seul pouvoir est de mêler les écritures, voudrait-il s’exprimer, du moins devrait-il savoir que la « chose » intérieure qu’il a l’intention de « traduire »

visionnaire et poète. Gustave Flaubert Est né en 1821, il y mène une vie laborieuse consacrée à l’écriture : paraissent successivement Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L’éducation sentimentale(1869), Trois Contes (1877). Son dernier roman, Bouvard et Pécuchet, reste inachevé et sera publié après sa mort en 1881. Son œuvre entretient des rapports ambigus avec le romantisme qui a marqué son adolescence : elle révèle parfois, comme dans la fresque historique de Salammbô, un gout romantique pour l’envolée