Big air

Voici quatre designs(conceptions) pour des avions fututre de passagers. Le but de tous les designs(conceptions) est de réduire la traînée (ou la friction de l'aile contre l'air). En conséquence, ils tous consommeront moins de fueln et causeront moins de dégâts à l'environnement. A Concevez des supports de diagonale d'utilisations pour supporter(soutenir) les ailes de l'aricraft's. Sur chaque côté de l'avion, il y a des supports diagonaux de la queue ansfuselage au wingtips. Ceux-ci se renforcent

désespérant. -Si je vous répondais sérieusement, répliquai-je, qu'on ne sait ce qui arrivera, vous vous moqueriez de moi, et je le mériterais sans doute. Cependant je me défendrais assez bien, si je voulais. J'ai une pensée très ridicule, qui a un air de vraisemblance qui me surprend ; je ne sais où elle peut l'avoir pris, étant aussi impertinente qu'elle est. Je gage que je vais vous réduire à avouer, contre toute raison, qu'il pourra y avoir un jour du commerce entre la terre et la lune. Remettez-vous

Les poltergeists Qu'est ce qu'un poltergeist? Le mot allemand poltergeist (de poltern: faire du bruit; Geist: esprit) signifie bruit de fantôme ou esprit frappeur que l'on rencontre dans les maisons hantées. Les poltergeists peuvent se manifester de plusieurs façons en: Bruits divers: Tapage, vacarme, galopades, coups sourds ou au contraire nets, frappés aux portes, dans les murs, dans les meubles, pas, murmures, gémissements, petits cris, hurlements, plaintes sourdes ou déchirantes, craquements

André Breton , Le Verbe Être Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Le désespoir n'a pas d'ailes, il ne se tient pas nécessairement à une table desservie sur une terrasse, le soir, au bord de la mer. C'est le désespoir et ce n'est pas le retour d'une quantité de petits faits comme des graines qui quittent à la nuit tombante un sillon pour un autre. Ce n'est pas la mousse sur une pierre ou le verre à boire. C'est un bateau criblé de neige, si vous voulez, comme les oiseaux qui tombent

Le monde d’aujourd’hui a évolué de telle manière depuis des siècles, que désormais les incohérences n’existent plus. Ce monde se nomme Dagoba. Aucune civilisation n’a encore réussi à aller aussi loin dans l’échelle de l’évolution, les gens vivent heureux, ils sont égaux et chacun aime son prochain. La guerre est un mot qui a été banni de tous les langages depuis des centaines d’années désormais les pays s’entraident et sont tous égaux en droits et richesses. Une des grandes révolutions de ce millénaire

se place dans la lignée du coloriste Delacroix. Il se donne pour devise « pour la couleur, contre la ligne et le dessin. » Il peint des monochromes roses, verts, bleus, orangés; couleurs qui se rapportent à son intérêt pour les éléments : eau , feu, air, lumière et pour la métaphysique. Mais très vite le bleu s'impose à lui. Cette couleur liée a l'immatériel, au vide, à l'espace, à l'infini, au spirituel. « Le bleu, expliquait t-il, n'a pas de dimension , il est hors dimension, tandis que les autres

C’est un homme bien. Mais il est d'un égoïsme insupportable. Il revient de son travail et s'allonge dans le canapé devant la télé. Je rentre aussi de mon travail, mais j'arrive à la maison deux heures plus tard, et, chargée comme une mule avec les courses de l'hypermarché. Je vais à la salle, lui crie dessus, l'insulte, gesticule mes bras en l'air, casse un ongle. Lui, ne bronche même pas. Alors, je m'assois sur une chaise dans la cuisine et me mets à pleurer. Après un certain temps il apparaît,

La peinture française au XVIII ème siècle: Les style Rococo ( milieu 18 ème siècle ). Le terme rocaille est un type de décoration utilisait pour grotte, fontaine, forme de coquille ou de la nature. Roseau = Rocaille. Antoine Wateau ( 1884/1912 ) dans ses peintres le gout pour le thèatre est très présent: fêtes galantes, les divertissements champetre, les concières. Il emprintait un répertoire d'expréssions des personnages. L'amour au théatre françois de Antoine Wateau en 1714: http://www

terribles, et des gouttelettes à son front semblaient une vapeur sur du marbre blanc. Elle ne parlait pas. Ils se regardaient. Un claquement de doigts se fit dans la tribune. Elle y monta, reparut ; et, en zézayant un peu, prononça ces mots, d'un air enfantin : «Je veux que tu me donnes dans un plat, la tête...» Elle avait oublié le nom, mais reprit en souriant : «La tête de Iaokanann !»

Entre les haillons pointe une barbe que parcourent des mouches affairées ; les passants vont et viennent dans la rue, comme des mouches ; le clochard est un fragment de rue. La misère, comme une herbe, recouvre de barbe les rictus et donne un air tranquille. Ce vieux-là qui aurait pu mourir crispé dans son sang a l'air au contraire d'une chose et il vit. Ainsi, à part le sang, chaque chose est un fragment de rue. Et pourtant, les étoiles ont vu du sang dans la rue.   1934. « La lutte