Belle Et La Bête Morale

Littérature 2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « La descente » Documents complémentaires :

5 = la couronne, le sceptre il est comparé à des animaux : « chat sauvage » l.27 ; « lion » l.28 Egalement au renard, suggéré par ses « cheveux rouge brique » l.21 puis par sa « ruse mêlée avec la force » l.21-22 Les yeux de Vautrin sont ceux de bête sauvage l.26 Tempérament sanguin, colérique, « rage » l.34 ; il est appelé le « volcan humain » l.40 ; Métaphore filée l.32 = présente un paradoxe scientifique, conditionnel du présent montre qu’il a du potentiel -Visage pâlit puis rougit -Maitrise

rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne-Frank Irving Fletcher - Quand le destin de quelqu'un s'accomplit, il faut sourire- Amélie Nothomb - Si un homme commet une sottise, les hommes diront : "Qu'il est bête !" Mais si c'est une femme : "Que les femmes sont bêtes !" - L'erreur est humaine, le pardon divin- Alexander Pope - Le plus grand effort de l'amitié n'est pas de montrer nos défauts à un ami, c'est de lui faire voir les siens- François de La Rochefoucauld

prince ennemi de la fraude » — Molière, Tartuffe l’anadiplose reprise d'un même mot en fin de phrase et en début de phrase suivante; proche de la concaténation. L'épanadiplose et l'anadiplose sont des formes particulières d'épanalepses « Il est bête. Bête il restera. » l'autocatégorème répétition d'une accusation envers soi, délibérée ou feinte, afin de susciter une dénégation de l'interlocuteur « Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable » — Molière, Tartuffe l'autocorrection reprise

autre idée à sa place |— Molière, Tartuffe | | |l’anadiplose |reprise d'un même mot en fin de phrase et en |« Il est bête. Bête il restera. » | | | |début de phrase suivante; proche de |

se foutre de la gueule des bras cassés quand ils viennent lécher les bottes de ceux qui ont bossé. Jean de Lafontaine Alors je vous demanderais une seule chose : Le narrateur Quoi donc ??? Jean de Lafontaine Gardez lui sa morale. Le narrateur Et c’est quoi sa morale ? Jean de Lafontaine Quand on ne travaille pas, on est puni. Et, que l’on n’est jamais bien servi que par soi même. Le narrateur Et vous croyez que ça marche encore ces trucs ??? Même les animaux suivent aujourd’hui l’exemple

boutique elle-même. Coupeau retrouve Nana, et, avec Gervaise, la violente. Comme il boit de nouveau, il fait plusieurs crises de folie, et d'autres séjours à l’hôpital psychiatrique. Nana quitte définitivement les Coupeau, et est aperçue dans une belle voiture. Gervaise reste alors «grise» pendant trois jours ! Chapitre XII On ne veut plus de Gervaise nulle part. Coupeau et elle ont vendu leur lit. Ils doivent deux mois de loyer, et souffrent de la faim. Même plongée dans cette épaisse misère

avoir des pouvoirs magiques. On peut alors se permettre un instant de rêver d’un mode au delà des frontières du réel qui n’est pas loin, tout est fait pour que l’on s’identifie au personnage et que l’on admette un lieu où les règles universelles morales et physiques ne sont pas les mêmes que dans notre société on rêve d’un monde meilleur ou bien on tremble à l’idée d’un enfer où il n’y a pas de limite à la terreur. Il y a alors une évasion au côté d’un héros hors du commun. Mais le personnage peut

sentiment de désillusion et de fragilité, elle est pleine de nuances et de retenue. Malheureusement, à cause des infidélités de son mari, elle n'est pas une femme heureuse.        Elle est un personnage diamétralement opposé à son mari. "Noble et belle mais imposante"(I,7) selon Chérubin, elle est consciente des défauts du Comte et en souffre. "Il ne m'aime plus" (II,1) confie-t-elle à Suzanne et la solitude à laquelle elle est contrainte lui pèse : "je ne suis plus la Rosine que vous avez tant poursuivie

pour lui si important que Baudelaire cherchera ses traces pendant toute sa vie. En 1857, il s’émeut de découvrir un de ses tableaux, en vente chez un brocanteur: « Mon père était un détestable artiste, mais toutes ces vieilleries-là ont une valeur morale. »[4] Apparemment la mère du poète ne réservait pas à la mémoire de son premier époux la même dévotion que son fils. A la naissance de celui-ci, elle avait vingt-huit ans tandis que son époux soixante-deux.  Baudelaire fait très rarement allusion