Beckett Citations

celui à qui revient le maniement direct de la scène". Antonin Artaud Analyse de la citation et rappels d'histoires littéraires La grande théorie d'Antonin Artaud tend à affirmer clairement que ce n'est pas le texte qui fait le théâtre mais que c'est la mise en scène qui est le véritable fondement de la création théâtrale. Cette idée qui se heurte à toute une tradition est exprimée dans cette citation sur un mode polémique puisqu'elle commence par "pour moi". D'autre part Artaud utilise des

sur la citation A partir du caractère polémique de la citation, comment situer historiquement et ce par rapport à quoi se situe Artaud ? Quel apport et quelle influence a eu Artaud après les années 1930 (influence qui sera tardive puisqu'elle ne se fait véritablement sentir que dans les années 1970) ? La citation nous inscite également à poser le problème du rapport au texte pour le dramaturge et pour le metteur en scène. I. Le caractère polémique de la citation A) Une citation ouvertement

textes sacrés , mais aussi beaucoup de citations littéraires. Par exemple on fait référence à l’ « Enfer » de la Divina commedia de Dante, qui était un auteur très aimé de Becket ; on parle de la Summa Theologie de Saint Thomas d’Aquin ; et de certaines œuvres de Calderon Shakespeare, Yeats et Baudelaire. Ces références sont, selon moi, de fondamentale importance car on peut comprendre que la pièce représente une grade innovation par rapport au passé, mais Becket est capable de reconnaître la valeur

« Vite mon souper » mais il le demande comme si il était pressé par le temps ou autre chose, cela montre que Dom juan est un homme pressé et qui n’a pas de temps. Mais on peut aussi voir qu’il peut être généreux comme Molière le montre à travers cette citation, adresser à Sganarelle «  Allons, mets-toi là, et mange ». Il invite Sganarelle à se joindre à lui pour souper. [Il faut refaire la phrase, elle n’est pas juste] Le texte Labiche met en scène des personnages curieux, qui veulent goûter à tous les

mais qui prend le lecteur aux je des personnages. Dans ce livre, Beckett se plaît à bâtir un message qui s’annule constamment, affirme et nie en même temps. La défiance est générale puisque le langage lui-même se néantise dès lors qu'il est prononcé, comme dans les ultimes phrases du texte : « Il est minuit. La pluie fouette les vitres. Il n’était pas minuit. Il ne pleuvait pas. » Dans sa forme narrative, l'écriture de Beckett semble bouleverser les structures et fonctions grammaticales usuelles

œuvres | Exemple de « Phèdre » de Racine, en lisant la pièce, le lecteur comprend le dénouement et peut s’imaginer la représentation car les dialogues sont suffisants pour raconter l’histoire de Phèdre. | Remarque, déduction, référence littéraire, citation… | | Transition | Pas seulement les dialogues, mais aussi les didascalies complètent la compréhension de la pièce. | Deuxième sous-partie | | Argument | Le texte contient des didascalies et remarques qui complètent les dialogues, elles nous

de Samuel Beckett où deux personnages, non pas des héros, mais ordinaires, parlent sur un banc. Seule l’unité de lieu résiste. Ici, il y a deux actes : les choses se répètent et il n’y a pas d’évolution dans la pièce ce qui entrainerait une impression de latitude, une fatigue qui s’installe chez le spectateur, une monotonie. L’idée de la mort est dominante, l’homme l’attend. Les buts de ce théâtre seraient le renouvellement et l’originalité, de « repenser l’idée de théâtre » (Beckett), d’être porteur

écrit Ludovic Janvier, nous n'avons jamais affaire chez Beckett, écrivain rompu aux ambivalences de la condition de l'homme moderne, qu'à un « monologue habité » ou à un « dialogue déserté ». En d'autres termes, au plus extraverti et au plus peuplé des soliloques ». Dans quelle mesure ces propos éclairent-ils votre lecture des deux pièces de Beckett mises au programme ? Introduction - L'oeuvre théâtrale qui a fait connaître Beckett commence là où s'arrêtait la dernière page de L'Innommable

En attendant Godot,Samuel BECKETT Biographie * Auteur de théâtre de l’absurde (dès 1952) * Il est pessimiste * Il déteste les récompenses et les mondanités (il refuse le Prix Nobel en 1969) * Preuve d’humilité * Il se moque des autorités littéraires, il ne veut pas que son œuvre soit analysée par des universitaires/écoliers, il déteste se justifier (à l’inverse de Rousseau dans ses Confessions) => c’est pour cela qu’il refuse le prix Nobel : en effet, celui-ci aurait

existence. Ainsi, Camus délivre ici un message sur l’absurdité du monde, et ce message serait totalement incompréhensible sans paroles. En effet, on peut relever des citations importantes de cette œuvre, telles que « Faire souffrir est la seule façon de se tromper. » Ou encore « Il faut bien que vieillesse se passe. ». Ces citations délivrent des messages forts sur la destinée et la condition humaine, ces messages ne sont transmissibles que par l’intermédiaire du texte de cette œuvre, sans lequel