Beauté Subjective

notre société La beauté est injuste, elle est subjective et naturelle. Elle est donc la source d' inégalités entre les individus que ce soit au sein de leur vie privée ou encore sur le marché du travail. Et dans ce monde où les deux reflets de notre apparence physique sont le miroir et l'autre, le jugement d'autrui acquiert alors une place privilégiée sur notre opinion personnelle, jusqu'à déformer parfois notre reflet dans le miroir, lui qui est si concret, si vrai. La beauté ne pouvant être changée

de l’idée de la revolution. Les surréalistes ont voulu transformer le monde. Dans le surréalisme, l’amour a une valeur suprême, et il s’incarne dans la femme. Le surréalisme s’inscrit dans un mouvement ésthetique et s’organise autour de l’idée de beauté, dont la femme est l’incarnation parfaite. Chez Breton, les femmes n’apparaissent pas seulement comme des Muses de la poèsie amoreuse; elles sont vues comme des points de départ, à partir desquels l’écrivain peut (re)définir son propre concept d’amour

éternel. Le texte s’ordonne en deux parties. Pascal précise d’abord qu’aimer le « moi » pour sa beauté n’est pas l’aimer tout entier, il utilise l’exemple de la petit vérole pour montrer la destruction de la beauté et ainsi celle de l’amour du « moi » Il se penche alors sur la recherche du « moi » : où est-il réellement ? En effet, l’amour du « moi » s’arrête quand ses qualités telles que la beauté, la mémoire ou le jugement meurent alors que le « moi » est éternel. Aimons-nous vraiment le « moi » 

convenus tels que «mon âme», «mon ange et ma passion» ou encore «ma beauté». Cependant la notion que veut ici faire ressortir le poète est celle du «Carpe Diem». On peut ainsi faire la comparaison avec le poème de Ronsart «Mignonne, allons voir si la rose...», et supposer que Charles Baudelaire a en fait voulu dire à son aimée de profiter de la vie tant qu'elle était encore jeune et belle, puisque la mort n'épargne pas la beauté et la fait devenir laideur. Cette déclaration amoureuse est d'autant

lui étant étranger, de lui-même. Il faut considérer tout d’abord que le sentiment est divers, contingent et dépend moins de la nature des choses extérieures que de notre sensibilité propre. La sensibilité désigne l'inclination personnelle face à la beauté. Que ce soit un sentiment de plaisir, déplaisir, de satisfaction, de contrariété, il n’est pas nécessaire et ne dur pas dans le temps, comme on ressent une émotion passagère. Kant explique que chaque Homme a une sensibilité différente, qui varie selon

potentiellement déployés par l’objet. B - Un cercle herméneutique est au cœur de la perception esthétique. L’art implique le sujet que nous sommes engagés dans l’être de l’objet au point où l’objet se met à transformer notre vie subjective comme notre vie subjective lui donne de se déployer dans toute ses dimensions. Le sujet se comprend et se ressent en l’objet d’art et l’objet d’art implique dans son être la vie du sujet lui ouvrant de nouveaux horizons d’être. Ce va-et-vient entre sujet et

témoigne d'un savoir-faire et obéissent à des règles de production, de composition. Mais ce qui sépare profondément les conceptions antique et moderne est le statut même du beau. Tandis que pour la philosophie antique il existe des critères de la beauté que l'on pourrait qualifier d'objectifs, l'époque moderne a subjectivisé cette notion en la couplant avec celle de goût. L'usage novateur que fait Baumegarten aux XVIIIème siècle du terme esthétique dans un ouvrage consacré à la formation du goût

“La beauté et la discrimination”  Exemples :  Mimie Mathy Mimie  Mathy,  de  son  vrai  nom  Michèle  Mathy,  est  une  actrice  et humoriste  française,  née  le  8  juillet   1957.  Elle  souffre  d’achondroplasie,  c’est  une  maladie  des  os donnant  lieu  à  un  Nanisme  important.  Cela  explique  donc  sa  petite  taille  de  1,32m.  Mimie  n’a  donc  pas  toujours  eu  la  vie  facile  et  a  donc  du  se  battre  pour  acquérir cette notoriété  actuelle.    Son  physique   étrange  qui 

chaque convié doit faire un éloge de l'amour. Longue nuit, éloge, discussion, multiple incident.Platon a choisi un narrateur, Apollodor, pour rapporter les éloges de la soirée, il retranscrit avec sont pt de vue en donnant du sens : adaptation libre subjective de la soirée mais également reconstruite et élaborée. L'histoire s'est passée en -416 (Apollodor ne se trouvait pas chez Agathon, d'où l'impression de retranscription) ==>La question du beau va rejoindre la question du bien Enjeux: Conception

choses qu’il reproduit ; celui-là aime à rire et se plaît dans les animalités de l’homme. » II/ L’œuvre littéraire reconstruit le réel A/ Qu’est-ce que la réalité ? La réalité, si l’on peut s’accorder sur certains de ses traits, reste subjective et ne peut être rendue intégralement dans une œuvre de fiction (notion à définir par l’étymologie : fingere : feindre, imiter). « Il ne s’agit pas seulement de voir, il faut arranger et fondre ce que l’on a vu. La Réalité, selon moi, ne doit