Beauté Laideur

  Les canons de la beauté féminine au Moyen Age : La beauté de la femme au Moyen Age est décrite avant tout par les poètes, non pas dans l'objectif de peindre la réalité, mais dans celui de mettre en valeur ce que la femme doit posséder pour provoquer les sentiments qu'ils veulent inspirer par leurs textes. Chez ces auteurs, les canons de la beauté féminine restent les mêmes du XIIeme au XVeme siècle.   La beauté idéale est celle de la jeunesse, celle de la pucelle. Le corps de la jeune fille

juger ce qu’est le beau car il fait l’objet d’un jugement de goût, avant tout, désintéressé. C’est alors que nous pouvons nous demander si la beauté de l’art dépend du jugement que l’on porte sur une œuvre. Nous verrons que beauté et art sont parfois indissociables mais que l’art, pour certains artistes, n’a rien à voir avec l’esthétique et puis que la beauté étant une notion subjective la perception et la compréhension d’une œuvre d’art est remise en cause. Peu à peu l’idée s’installe selon

enfants sont ainsi prisonniers des rapports sociaux. Baudelaire, non seulement d'employer des termes mélioratifs pour décrire l'enfant riche, utilise un rythme ternaire en crescendo donnant un effet d'importance et de solennité. Le champs lexical de la beauté et du luxe du lieu accueillant : «vaste jardin» (l.1), «blancheur», «joli château»(l.2) s'oppose aux «chardons» et aux «orties» du second lieu, environnement hostile et bien moins attrayant.         B/ Les enfants     Les deux paragraphes concernant

plus, étant donné que ce son nous rappelle les serpents, et leurs sifflement, et qui peut apparentait Germinie à Méduse, cette figure mythologique aux cheveux serpents. Ces allitérations n’ont aucuns sons harmonieux, ce qui décrit encore plus la laideur de Germinie. D’autre allitérations sont présentes en –p, en –b, en –r. Dans la première partie de description, on remarque le champ lexical du visage ; (Cheveux, front, yeux, nez, pommettes, bouche.) Les frères Goncourt nous montre l’insistance qu’il

célébrant la beauté de la femme, divinisée, revêtant presque une présentation ironique. Le poète joue sur le paradoxe de la beauté de la forme, celle du texte et des mots employés, qui contraste avec la laideur des objets évoqués, transformant alors la boue en or. Il y a une sublimation du réel par l’écriture. La nature montrée comme détruite par le réel est en quelque sorte reconstituée par l’art et par le récit poétique de cette dernière. C’est une création de beauté à partir de laideur. Les procédés

Qu'est ce que le beau ? Notions: la raison, la beauté, l’art et le bien, la technique, la vérité, la perception Étude de l’Hippias Majeur de Platon Introduction ( Platon est né en 427 av JC à Athènes // mort à Athènes en 347 av JC. Sa rencontre décisive avec Socrate l’a persuadé de la nécessité de se consacrer à la réflexion philosophique. Platon ne cessa ensuite de mettre en scène Socrate dans ses dialogues. Socrate n’apporta pas à Platon une doctrine toute faite. Par ses incessantes

parler de la beauté du monde, mais pour parler de ce que le monde a de vérités cruelles comme la mort de chacun sans qu'aucun pouvoir alchimique ni poétique ne puisse y faire quoi que ce soit. Voulant fabriquer de l'or par son art, le poète découvre la laideur d'un monde (« fer ») cruel (« enfer »). Rapprochement des antithèses : sépulture/vie ; l'un/l'autre ; or/fer ; paradis/enfer ; célestes/sarcophagesConclusion : Baudelaire parle donc de l'échec de sa poésie à parler de la beauté du monde. Il

on va démontrer l’image figée de la beauté poétique. Puis nous verrons que l’ange de la pureté et de la virginité n’est plus de ce monde. Enfin que le cadre où s’inscrit cette figure féminine est un cadre naturel, une scène au caractère ancien, antique et biblique. Puis dans un second temps on pourra voir à l’aide la thèse 2 que à l’opposée du Romantisme, le Réalisme-Naturalisme refuse l’idéalisation pour ramener la femme à une réalité qui n’exclut aucune laideur. En premier on observera un effet de

qui, malgré tout les efforts, à cause des origines de la nature humaine, viendront toujours de nouveau à la surface : il doit agir ainsi surtout pour ce qui en est des passions, des douleurs de l’âme et des craintes, et faire transparaître, dans la laideur inévitable ou insurmontable, son côté significatif. Après cette tâche de l’art, dont la grandeur va jusqu’à l’énormité, l’art que l’on appelle véritable, l’art des œuvres d’art, n’est qu’accessoire. L’homme qui sent en lui un excédent de ces forces

1. Extérieur d’une huître • Description concise mais complète : description en référence à un galet avec une acumulation de comparatifs et une découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). • Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier. 2. Mode d’emploi pour ouvrir l’huître • => passage de l’extérieur à l’intérieur ; dualité qui se dessine. • Opposition ds le passage externe/interne avec la marche à suivre précise