Beauté Laideur

oeuvre belle. On insiste actuellement sur l'originalité: c'est une certaine  manière de voir, nouvelle, accompagnée d'une capacité de réalisation. C'est plus vécu que connu, au point que la beauté est une surprise pour l'artiste lui même, au point qu'il est incapable d'enseigner une règle de production de la beauté. Trois caractéristiques = L'œuvre belle est singulière, originale, la mort d'un artiste est une perte irremplaçable. De ce point de vue, on peut distinguer à juste titre l'artiste et le

3.3 Le beau dans la laideur / la laideur dans le beau 4 Annexes 5 Références Une fascination du féminin[modifier] Les allégories féminines[modifier] Différentes réalités abstraites sont présentées sous les traits d’une femme, le plus souvent par l’utilisation de la majuscule. C’est le cas pour la nature « Du temps que la Nature en sa verve puissante » (XIX), la mort « La Mort nous tient souvent par des liens subtils » (XL), la beauté « Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques »

fois fasciné par le mal, le laid ( C'est le spleen, le côté dépressif ) mais aussi tenté de s'élever vers une beauté transcendante ( C'est l'idéal ). « Une Charogne » présente un couple en promenade qui découvre au détour d'un sentier un cadavre d'animal en décomposition. Il s'agira de voir comment l'auteur parvient à extraire la beauté du mal, comment la beauté peut surgir de la laideur. Nous analyserons dans un premier temps, le contexte propice à une déclaration d'amour, puis, nous nous intéresserons

morale publique » avait en effet un objectif novateur : atteindre la beauté poétique même par le biais du mal comme suggère le titre. Ainsi l'est-il dans le poème « Une charogne », poème de la section « Spleen et Idéal ». Se poème se situe après une série de pièces dans lesquelles il est essentiellement question de la femme _on peut supposer qu'il s'agit de Jeanne Duval, baptisée par Baudelaire comme la Vénus noire_ et la beauté qui exerce sa fascination et répulsion su le poète. Comment Baudelaire

descriptions. Tout ceci nous montre donc une description trop précise et donc plutôt flou du visage de Gwynplaine on comprend simplement qu’il est laid. b)effet comique Par sa laideur, Gwynplaine a un effet comique sur son public. Pour commencer, Hugo nous dit que Gwynplaine faisait rire les gens de par sa laideur comme «il guérissait les hypocondries » (l30), « il était à éviter pour les gens en deuil, confus et forcé » (l31) ou encore « on se tenait les côtes (…) on se roulait à terre » (l32)

de Bergerac est un homme possédant un nez d'une grosseur inimaginable et fait en sorte qu'il se trouve d'une laideur extrême. Pour cacher sa laideur, Cyrano est obliger de présenter une élégance, une noblesse et utiliser son talent à faire des phrase, pour ainsi cacher sa laideur au autre personnage de la pièce. Son nez n'a d'égal qu'a sa beauté spirituelle. Mais il e peut accepter sa laideur et c'est pourquoi il c'est toujours refusé l'amour et la tendresse d'une femme. Personne n'est égal a Cyrano

.....................4 Introduction 6 I La présentation des femmes baudelaireinnes et ses valeurs 9 II Les femmes et leurs beautés 12 2.1 La diversité des figures féminines présentées dans les poèmes 12 2.2 L’évocation de la beauté féminine 15 2.2.1 Le portrait physique et le portrait moral des femmes baudelairiennes 15 2.2.2 Le mal dans la beauté et le beau dans la laideur 18 III Les femmes et l’amour ambivalent 22 3.1 L’amour sensuel et l’amour spiritualisé 22 3.2 La douceur et la douleur de l’amour

campagne », « si plein de coquetteries » Alors que l’enfant pauvre est « sale », « chétif », « fuligineux ». Le terme « fuligineux » contraste avec la blancheur qui frappait le joli château de l’enfant riche.  B associe le luxe à la beauté, avec généralisation de la beauté des enfants riches, qui sont faits « d’une autre pâte ». Joujoux : Les joujoux sont à l’image de leurs maîtres, ainsi on retrouve des termes mélioratifs pour le joujou du riche : « splendide, frais, verni, doré, robe pourpre,

de transformer un objet blâmé en un sujet d’admiration ? Nous nous pencherons d’abord sur l’aspect rejeté de la boue, puis nous nous concentrerons sur l’alchimiste pour enfin traiter de la transfiguration en or. « Beauté! Mon beau souci» s'écrit le poète romantique Malherbe. La « beauté » est dans cette période, l'essence même de la poésie, la source d'inspiration fondamentale qui prend la forme des femmes et de la nature. Baudelaire, dans « La chevelure » se prête au jeu du blason pour faire l'éloge

voyage. De la laideur et de la sottise, il fera naitre un nouveau genre d'enchantements. »écrit Baudelaire dans l'Art romantique ( 182). Partagez-vous cette conception du poète ? Ainsi, Baudelaire propose sa conception de la poésie qui consisterait à descendre dans le monde , au milieu des hommes pour s'inspirer de la laideur, du mal environnant, des pires aspects de la vie pour y puiser la matériau d'une transfiguration, une source d'inspiration dans le but de le tranformer en beauté, en quelque