Beauté Intérieur

Durant ce premier jour de stage, la première chose qui m’a été demandée c’était d’être en tenue de travail. A Sephora pour noël un thème et une couleur particuliers, le rouge est la couleur choisie et donc un rouge à lèvre rouge nous a été imposé de mettre, de même qu’une rose rouge qui doit être accrochée à notre « haut ». De plus pour la présentation il faut de même être maquiller pour être toujours bien présentée, il faut attacher les cheveux, et être habillé en noir, sachant que le « haut »

page de La Princesse de Clèves, on ne peut trouver autant de description . Les indications matérielles servir l’analyse psychologique Mais pour une fois, Mme de Lafayette ne se sert ni du dialogue (la scène est entièrement muette) ni du monologue intérieur (si fréquent dans La Princesse de Clèves) qui sont, dans les autres pages du roman, les deux instruments privilégiés de l’analyse psychologique. Pour une fois elle se contente presque de nous donner à voir les faits et gestes des personnages, en

d’Ulysse en une sorte de voyage psychologique. L’utilisation du monologue intérieur renforce cette idée de quête et d’introspection. b. Par le style Les contrastes de style sont forts et saisissants entre l’œuvre d’Homère et celle de Joyce. Là encore, James Joyce avoir voulu adopter une posture inversée. Lorsque l’écrivain antique utilise principalement le discours et le dialogue, l’œuvre moderne choisit le monologue intérieur. Ce monologue est l’occasion pour Joyce de développer l’art de la prose

d’effectuer une « espèce d’autopsie intellectuelle d’un condamné ». Le second but est de transformer » cette histoire en un grand et profond enseignement », en plaidoyer contre la peine de mort. Résumé Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D’abord pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s’agit de condamner quelqu’un à mort

du chapitre I I. L’énonciation  Complétez le tableau : Qui parle? À qui? Où? Quand? De quoi? Dans quel but? II. Un monologue intérieur a) Le narrateur-personnage s’exprime à la 1ère personne du singulier et au présent de l’indicatif. Il s’adresse à lui-même, n’ayant pas d’interlocuteur. C’est le principe du monologue intérieur. b) Par ce choix narratif, le lecteur est, dès les premières lignes, directement en contact avec la conscience du narrateur. III. Une structure close

chronologie, la logique causale, la claire distinction des temps et des lieux3 . Cette déconstruction de l'intrigue romanesque met en place une nouvelle architecture dont le morcellement possède néanmoins un sens. À cet égard, le monologue intérieur devient la figure emblématique de ce type de discours supporté par une subjectivité assaillie par un foisonnement de sensations, d'impressions et de perceptions qui fondent son objet. Plus particulièrement, le monologue remémoratif, illustrant

du narrataire/ du lecteur visuel : Qui entend? * Le narrateur adresse-t-il son récit à un destinataire particulier? Le narrataire visé est-il un personnage de l’histoire? Non, la particularité de la narration est qu’il s’agit d’un monologue intérieur, c’est-à-dire que le narrataire plonge dans les pensées mêmes les plus intimes du narrateur. * Le récit présente-t-il des adresses au lecteur? Si oui, quel(s) effet(s) ces apartés provoquent-ils? Lorsqu’Else tombe évanouie dans le salon alors

LE DISCOURS INDIRECT LIBRE Le discours indirect libre modifie les paroles pour les intégrer au récit mais conserver leur expressivité. Il sert à reproduire soit les paroles qu’un personnage s’adresse à lui-même, comme dans un monologue intérieur, soit les propos qu’il prononce réellement. • Comme dans le discours direct, les paroles sont rapportées sans propositions subordonnées, en conservant le ton, la ponctuation, les marques du langage oral ainsi que le niveau de langue. • Comme

qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu'il a vécu depuis le début de son procès jusqu'au moment de son exécution, soit environ six semaines de sa vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la « vie d’avant ». Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu'il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable

d’expression plus riches que le discours indirect : il peut conserver des apostrophes, des exclamations, des interrogations, des expressions familières. Il permet de reproduire les propos prononcés par un personnage, mais aussi ses pensées par un monologue intérieur inséré dans le récit. Autres exemples : -Elle abandonna la musique. Pourquoi jouer ? Qui l’entendrait ? ce n’était point la peine de s’ennuyer à étudier. (Flaubert, Madame Bovary) - Plantée devant l’Assommoir, Gervaise songeait. Si elle avait