Beauté Et Laideur Femme Baudelaire

Dissertation – Baudelaire - Les Fleurs du mal :Sujet : La poésie doit-elle, selon vous, décrire la réalité du monde ou la transfigurer ? Vous répondrez en vous appuyant sur votre lecture et votre étude des Fleurs du Mal Plan détaillé – Complétez les parties manquantes en suivant les instructions encadrées I) La poésie de Baudelaire décrit le monde…b) Baudelaire décrit les grands aspects de la vie : Mais pris dans un sens plus large, le monde renvoie

Serpent qui danse » (évoquant le charme de la beauté, l’idéal) et « de profondis clamavi » (évoquant le spleen). Sujet : Le poème décrit une promenade amoureuse interrompue par la découverte d’un cadavre en décomposition. Inspiration de la poésie amoureuse de la Pléiade, et du réalisme macabre de la poésie baroque.

Lecture analytique « Vénus anadyomène » Introduction : Lorsqu'il évoquait sa démarche poétique, Charles Baudelaire expliquait parfois qu'il prenait de la boue pour en faire de l'or, ouvrant ainsi la poésie sur le monde du laid. Dans son sonnet de 1870 intitulé « Vénus anadyomène », extrait du recueil des Cahiers de Douai, Rimbaud s'inscrit dans cette voie et propose un traitement personnel et iconoclaste du motif mythologique de la naissance de Vénus, universellement connu par ses expressions

bien mis en évidence le contraste entre les poèmes , l’auteur montre une sorte de mal être ,du mot spleen de l’anglais qui signifie un mal de vivre ou une angoisse existentielle . Tandis que l’Idéal est un monde d’ordre, de sens et de beauté vers lequel tend Baudelaire, l’idéal a pour but d’embellir les choses donc la poésie a pour but d’embellir la réalité . Dans le dormeur du val d' Arthur Rimbaud , écrit en 1870 quand il avait seize ans , la réalité est très embellie car elle fait passer la scène

Juillet » = mélange entre le sonnet et le journal intime - brouillage du genre. - curieux mais respecte des règles : vers 14 isolé (mise en valeur pointe du sonnet) + l'alternance rimes féminines et masculines + ou - respectée. C° : insistance sur la laideur de la forme poétique : son sonnet boiteux et serait un crapaud (cf sens technique = défaillance dans une pierre précieuse) → le sonnet/pierre avec crapaud. 2. Une syntaxe déroutante : - syntaxe disgracieuse - nombreuses coupures (cf ponctuation : 

Hymne à la beauté, Spleen et Idéa l, Baudelaire Problématique : En quoi cet hymne à la beauté est-il ambivalent ?Plan :I. Le poète s'interroge sur les origines de la beauté (§1 à3)I. Il en propose une vision macabre et séduisante (§4 et 5)III. Baudelaire célèbre cette beauté envoûtante (§6 et 7)Conclusion :- vision originale beauté- // monstrueux/mort + séduction/fascination 2- Une charogne, Spleen et Idéal , Baudelaire Problématique

« Les Petites Vielles », Les Fleurs du mal, Baudelaire (1861) La poésie lyrique classique fait de la « belle nature » le lieu privilégié de la rencontre amoureuse s'inscrivant ainsi dans la lignée de Virgile et de ses Bucoliques. Virgile, poète latin du 1er siècle de notre ère, met en scène les amours de bergers et de bergères en Acadie, contrée grecque riche en légendes. C'est un monde campagnard fictif et idéal qui est décrit. Pour les Romantiques, à l'instar de Jean-Jacques Rousseau, la nature

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Spleen et idéal » Structure de l’édition de 1857 Les Fleurs du mal forment un recueil qui évolue avec la vie de l’auteur. Après le procès et l’interdiction de 6 poèmes en 1857, Baudelaire retouche en profondeur son travail et propose une nouvelle édition dans laquelle certains poèmes sont déplacés et d’autres apparaissent. Cette nouvelle édition paraît en 1861. Dans la section « Spleen et idéal », on peut repérer trois grands ensembles de poèmes (appelés ‘cycles’)

de Charles Baudelaire, recueil publié en 1861. Recueil censuré pour son inadéquation aux bonnes règles de la morale et de la pudeur, il ose s’attaquer à des motifs peu conventionnels, comme celui de cette « charogne ». XXIXe poème de la première partie du recueil, intitulée « Spleen et Idéal », il reflète bien cette double tendance du poète à se diriger à la fois vers la fascination mélancolique pour le mal et le laid (le « spleen » ) et à tenter de s’élever plus haut vers une Beauté transcendante

« Moesta et errabunda ») La boue urbaine : évoquée au sens propre dans le poème «  Les sept vieillards  » (poème XC, section « Tableaux parisiens », vers 26), en lien avec la laideur de la ville, lieu de spleen : «  Dans la neige et la boue, il allait s’empêtrant, / Comme s’il écrasait des morts sous ses savates, / Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent  ». La fange de