Beaumarchais Le Monologue De Figaro Le Mariage De Figaro

l’on voit apparaître des disputes entre les deux personnages. L’ascendant statutaire d’Argan ne l’immunise pas face à la rhétorique de Toinette. Bien qu’elle essaye de le raisonner, le maître montre des tendances capricieuses et puériles quant au mariage de sa fille. Par manque d’argument, il répliquera par des injures “Chienne!”, “Pendarde!”, “Carogne!” I, 5. L’avare, de Molière, se moque également de la folie d’Harpagon, qui préfère son or et ses richesses au bonheur de ses enfants. Lorsqu’il s’aperçoit

théâtre au XVIIIème  Au tout début du XVIII siècle, très peu de dramaturges s’imposent dans le théâtre français (Régnier).  Il existe deux genres nobles et officiels: l’opéra et la comédie française.  Deux grands dramaturges: Marivaux puis Beaumarchais.  Cependant, dans les foires de Saint Germain et de Saint Laurent, le théâtre de la foire est très populaire (et concurrentiel) et ouvre des portes à un nouveau théâtre de divertissement. Le théâtre de la foire  La foire: lieu de spectacles

et de la citoyenne, 1791 explication n° 1 Préambule (page 2) : explication n° 2 Postambule – extrait 1 (page 9) explication n° 3 Postambule – extrait 2 (page 16) Parcours associé : Ecrire et combattre pour l’égalité explication n° 4 Le mariage de Figaro (page 21) 2 I. Préambule Introduction : [AMORCE ET PRÉSENTATION] Olympe de Gouges, femme de lettres qui s’inscrit dans le mouvement des Lumières par ses œuvres progressistes, réécrit en 1793 Déclaration des droits de l’Homme et du

impliquant ses idées dans la tirade d'un de ses personnages. Les monologues notamment permettent une réflexion plus profonde sur la société, puisque le personnage est face à lui-même (et au spectateur). C'est le cas dans Hernani, drame romantique de Victor Hugo. Don Carlos - roi d'Espagne-, seul devant le tombeau de Charlemagne, dans l'acte IV, scène 2, réfléchit et exprime son ambition de devenir empereur. À travers ce monologue, il peut critiquer les différents régimes politiques, comparer. Hugo

pièces. D'autre part la censure entravé fréquemment la liberté au théàtre. Celle-ci avait pour but de protéger l'état, la religion, les moeurs . Par exemple dans Le mariage de Figaro de Beaumarchais, le monolgue de Figaro connut une censure en raison de la critique implicite de la censure que fait Beaumarchais à travers le monologue de Firgaro qui médite sur sa destinée et évoque les carrières d'auteurs menaçées par les interdits et la censure. De plus celle-ci n'est pas tout le temps provoqué par

acteurs, se parlent => la parole construit l'action. • Apartés : monologue, petite réplique, qui n'est pas entendu par les autres personnages de la scène mais uniquement par les spectateurs. Ajoute souvent une pointe d'humour. LA FLECHE, à part : La peste soit de l'avarice et des avaricieux ! HARPAGON : Comment ? que dis-tu? (L'Avare).   Très utilisé en comédie, ressort comique mais très artificiel. • Idem pour les monologues : artifice théâtral invraisemblable ; c'est rare de s'arrêter dans

Dissertation C’est aux XVIIème et XVIIIème siècles, avec la commedia dell’arte, genre théâtral populaire italien ainsi que dans les pièces écrites par les grands dramaturges tels que Molière, Marivaux et Beaumarchais que les personnages de maitre et valet sont révélés. Le personnage du valet qui dans la société occupe un rang hiérarchiquement inferieur par rapport a son maitre et qui vit dans l’ombre de ce dernier va occuper une place prépondérante dans la comédie tout comme dans la tragédie

philosophiques et bien d’autres. A ses débuts, il utilisait énormément cette arme qui relève dans le Portatif de l’ironie dite « progressive ». Elle consiste à leurrer le lecteur avant de le désabuser. Beaumarchais quand à lui, utilisa cette forme de critique pour le monologue du Mariage de Figaro tandis que Montesquieu dans Lettres persanes avance ses critiques par le biais des railleries de Rica, un héros vif, joyeux et perspicace. L’ironie étant une forme polémique réprimée au XVIII°siècle, seuls

et III, 4, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.206-208. 3/ Molière, Dom juan (1665), V, 5 et 6, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.205. 4/ Diderot, Le père de famille (1758), I, 7, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.220. 5/ Beaumarchais, La mère coupable (1792), IV, 13, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.221. 6/ Hugo, Hernani (1830), III, 6, Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.223. 7/ Phèdre mise en scène par Jean-Louis Barrault, Bordas, Textes et Perspectives 1ère

mises en scène récentes de certaines pièces : dans la série Maîtriser le discours, Bérénice et Electre de Sophocle (cassette n°8), Dom Juan (cassette n°9) ; dans la série Les textes ont la parole, Le Misanthrope (cassette n°2), Tartuffe et Le Mariage de Figaro (cassette n°4) I. Comédie et comique 1. La comédie comme genre a) Les conventions théâtrales comiques : lire L’Illusion comique de Corneille Cette comédie permet de travailler dès l’analyse du titre sur la définition de la théâtralité