Beaucoup de bruit pour rien

peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes4; et vous voulez jouter5... On vient... c'est elle... ce n'est personne. — La nuit est noire en diable, et me voilà faisant le sot métier de mari quoique je ne le sois qu'à moitié ! (Il s'assied sur un banc.) — Est-il rien de plus bizarre

commence a évoqué la misère qu'il observe dans le monde. Pauca Meae : Ce livre est consacré a sa fille, morte noyée. En marche : Il parle de son regain d'énergie, de son attirance pour la nature. Au bord de l'infini : Ce livre parle beaucoup de méditation, avec une ambiance “fantastique”, il parle de fantômes, d'esprits, ou encore d'anges. Ces six livres sont découpés en deux partie : les trois premiers livres font partis d' “Autrefois” et les trois derniers font partis d' “Aujourd'hui”

malheureusement la guerre est un fléau destructeur qui à enlever de nombreuses vie, privé des familles d’être cher et cela continue encore dans certains pays. La guerre à énormément marqué l’histoire mais aussi la poésie c’est donc un sujet avec beaucoup de matière. J’ai sélectionnée ces poèmes car je trouve qu’ils montraient bien les ravages causé par la guerre, l’horreur de la guerre, la vie des soldats, les héros que sont les soldats, le manque de la famille mais aussi le courage qu’il devait

troisième livre traite des interactions entre les citadins.Enfin, le dernier livre parle de la sociabilité en ville en expliquant à la fois les liens amicaux qui peuvent se nouer mais aussi le développement des rumeurs et médisances et surtout le bruit et l’environnement sonore qui entoure la ville.L’auteur essaye donc de nous montrer les différents aspects de la vie urbaine médievale au travers d'exemples. Pour résumer cet ouvrage nous allons réutiliser le plan de l’auteur afin de suivre son raisonnement

Descartes est chez lui, dans son fauteuil, au coin du feu, et il va se poser une question très simple : existe-t-il des choses dans le monde qui sont absolument certaines, que l’on ne peut absolument pas remettre en question ou bien au contraire est-ce que rien n’est sûr ? Descartes va réfléchir comme Monsieur Tout-le-monde dans son salon en se posant ce genre de question, et il va se dire, que la première chose qui lui paraît certaine

C'est un 6arçon sans importance collective, c'est tout juste un individu. » L.-F. Céline. L'Église. Extrait de la publication AVERTISSEMENT DES ÉDITEURS Ces cahiers ont été trouvés parmi les papiers d'Antoine Roquentin. Nous les publions sans y rien changer. La première page n'est pas datée, mais nous avons de bonnes raisons pour penser qu'elle est antérieure de quelques semaines au début du journal proprement dit. Elle aurait donc été écrite, au plus tard, vers le commencement de janvier 1932

evoca° du cadre ou ils ont parlé contraste avec 5eme strophe et l'arrivée des bruits « on entendait que » très peu sonore, bruit étouffé, sourd « frappaient en cadence » → rythme respect du poète envers le lac → tout est musique du silence ! 5eme strophe « tout à coup » → brusque ici passé simple ≠ imparfait d'avant → moment précis ds le passé, c s'il était magique, exceptionnel « bruit de la terre » à « des paroles humaines » (perceptibles, compréhensibles) → comme

avant d'être fait comte par le roi Albert en 1932. Et s'il m'interroge encore Sans me reconnaître ? - Parlez-lui comme une sœur Il souffre peut-être Et s'il demande où vous êtes Que faut-il lui répondre ? - Donnez-lui mon anneau d'or Sans rien lui répondre Et s'il veut savoir pourquoi La salle est déserte ? Montrez-lui la lampe éteinte Et la porte ouverte... Et s'il m'interroge alors Sur la dernière heure ? - Dites-lui que j'ai souri De peur qu'il ne pleure... » En 1935, lors

senti des choses Comme si je m'étouffais, des drôles de sensation, mais au début je n'y prêtais pas attention J’emménageais quelque jour plus tard avec Ashley ma femme, et les premières heures passèrent sans problème. Au début se n'étais que des bruit d'enfant qui se fessais entendre un peu partout dans la maison, des broutilles en sommes Je ne me suis pas tout de suite dis qu'il y avait des fantômes, jusque que quelque chose n'allais pas, et puis une nuit La lumière de la chambre s'éteignit soudainement

colère a fait l’effet d’une délivrance. Texte et éléments d’interprétation Lui parti, j’ai retrouvé le calme. J’étais épuisé et je me suis jeté sur ma couchette. Je crois que j’ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. Des bruits de campagne montaient jusqu’à moi. Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes. La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée. À ce moment, et à la limite de la nuit, des sirènes ont hurlé. Elles annonçaient