Beaucoup de bruit pour rien

marchand de tissus. Ce qui lui inspira quelques romans. Plus tard, il devint assistant d’enseignement, jusqu’à ce qu’il obtienne une bourse d’étude dans une école de sciences où il étudiera la biologie. Ses cours marqueront ses récits puisqu’il puisera beaucoup dans la biologie. Ces années inscriront le début de son intérêt pour une réforme possible de la société. L’année scolaire 1886-1887 fut sa dernière année d’étude. Il réussit les examens de biologie et de physique, et ratât l’examen de géologie

ne sait rien de sa famille ou de sa maison. Il est simplement arrive dans la ville, peut-être dans la soute d’un cargo (Laderaum eines Dampfschiffes) ou avec un train de merchandise qui avait roulé lentement. Il a immédiatement trouvé du travail; il travail pour des camionnette parce que les maraîchers ont toujours besoin d’aide. Mondo a un ami mais il ne parle jamais avec lui. C’est un arroseur public, un grand home maigre. Mais ils ne parlent jamais parce que l’arroseur fait un bruit d’orage

corps. Il avait les cheveux en bataille châtain et un regard profond marron. Il avait d'incroyables talents. Il était capable de sauter de murs en murs, d'arbres en arbres, d'escalader les facades des immeubles et d'apparaître sans faire le moindre bruit. Il était rusé, confiant et compétant. Il s'appelait Philippe. Il avait 16 ans. Il passait son temps libre à recueillir des informations des Templiers et de les revendre à des groupes de rebelles qui attendaient une bonne occasion pour contre-attaquer

représentation patriotique. Le poème de Marianne Cohn, « Je trahirai demain, pas aujourd’hui », qui lui est plus synonyme d’engagement. Et enfin un extrait du film de Steven Spielberg, « Il faut sauver le soldat Ryan », la séquence que j’ai étudié se porte beaucoup sur l’horreur, la douleur physique et morale qu’on put subir les soldats. Joe Rosenthal, Raising the Flag on Iwo Jima, Prise le 23 février 1945, Photographie, Reprise par les timbres et de nombreux artistes. (Exemple ci-contre de reprise de “ Raising

SENS DE L ŒUVRE Le propre de cette pièce c’est qu’il n’y a pas de sens : La pièce n’est pas explicable, l’absurde c’est l’incompréhensible. Toutes les idées sont données dès le début : « On est dans la merdecluse » (p.104) « Rien à faire (leitmotiv) », « rien à voir » (p.15). Tout pousse à meubler le temps. Godot pourrait désigner «God », Dieu, mais Beckett a toujours refusé cette explication. Attendre Godot, c’est espérer que cela va changer, tout en ayant conscience que cet espoir

" Poèmes Saturniens, Verlaine.  Dim Avr 15, 2012 6:16 am Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,  Je me suis promené dans le petit jardin  Qu'éclairait doucement le soleil du matin,  Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.  Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle  De vigne folle avec les chaises de rotin...  Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin  Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.  Les roses comme avant palpitent ; comme avant,  Les

des jeunes gens. Une simple étude des gens dans un lycée nous permet de voir toute la noirceur cachée dans l'Homme. Ils vont,viennent,se moquent,crient,se disputent,travaillent,mangent,s'embrassent. La vie se résume-t-elle à ces gestes ? N'y a-t-il rien d'autre dans la vie ? Ne vois-tu pas,pauvre peuple de ce monde,que les chaînes invisibles se resserrent au fil du temps qui passe ? Bien qu'elles soient invisibles,immatérielles,je les sens,tout ce poids sur nos frêles épaules d'adolescents. Une difficulté

luis parler car elle l’impressionner .Charles était de taille moyenne ,assez beau avec une certaine élégance et une distinction que peut de gens ont ,mais il manquait de confiance en luis ,assez solitaire il aimait rester seul et ’n’apprécia pas beaucoup la compagnie des gens .Soucieux du moindre détails ,il se leva regarde au fond du tunnel s’impatientant de ne pas voire le train arrivé a l’heure il tapas du pied comme l’air agaçait .Marcha de long en large du tunnel ,la femme le voyant ainsi énervé

poussés aux jambes et aux joues ; il barrissait ». Une souffrance est reconnue par Sainte Colombe dans une formule frappante à la fin du chapitre X : « Cependant votre voix brisée m’a ému. Je vous garde pour votre douleur, non pour votre art. » Beaucoup de scènes montrent une communion profonde entre les personnages au-delà du langage, par les sentiments qu’ils éprouvent. Comme la scène de la petite viole, dans laquelle Toinette enfant étreint son père qui reste muet au chapitre III. Les sentiments

transmis par la sensorialité. Vision globale : ‘‘clarté’’, ‘‘fraîcheur’’ "pailletant", "humide étincelle", cela fait ressortir la flore et la beauté du cadre "lys", "rose" le bruit des plantes ou du jet d'eau. Les allitérations en "p" du premier quatrain suggèrent les bruits de pas de la promenade. La permanence des choses : " rien n'a changé ", " fait toujours " cela est accentué par les répétitions " comme avant ". Personnification du décor Le monde est en mouvement et le caractère merveilleux du jardin