Beau Beauté Voltaire

esthétique regroupant l’ensemble des ouvrages qui prennent comme référence esthétique les chefs-d’œuvre de l’antiquité gréco-latine. En France, l’ « époque classique est la période de création littéraire et artistique correspondant à ce que Voltaire appelait « le siècle de Louis XIV ». Il s’agit essentiellement des années 1960-1980, mais elle s’étend en réalité jusqu’au siècle suivant. Le classicisme en France est un cas singulier : cette période a été appelé classique car elle se donnait comme

façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité3. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), mais aussi entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »)

connaissances (Le Cid, La Princesse de Clèves, Andromaque) c) leur esthétique ( la symbolique des cathédrales, les règles des trois unités au théâtre) 2. Les œuvres contemporaines sont plus en accord avec notre vision du monde et notre conception du beau a) elles sont l’expression d’une réalité qui change vite alors qu’autrefois les modes de vie et de pensée évoluaient peu. (peinture abstraite, poésie surréaliste, nouveau roman de Butor, Robbe-Grillet, musique sérielle de Pierre Boulez) b) elles peuvent

règle des « trois unités » : temps, lieu, action - L'homme et l'univers sont éternels et immuables en dépit de quelques changements peu profonds - les productions humaines - au premier chef l'art sont régies par des lois universelles et éternelles. La beauté est une et absolue - l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter XVIIIème siècle - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée

Commentaire du chapitre I de Candide Introduction : Voltaire est resté à la prospérité comme l’un des plus grands hommes du mouvement des Lumières. Il dénoncera sans relâche et en utilisant différentes formes l’injustice, les inégalités et l’intolérance. Il écrira des contes philosophiques comme Candide et Micromégas, mais aussi des traités, des essais, des lettres, ainsi que des articles de l’Encyclopédie. Candide est donc un conte philosophique, une des formes possibles de l’apologue, qui

premier est un extrait des Aventures de Télémaque, de Fénelon, et marque l’entrée dans ce nouveau siècle. Puis il y a un passage des Lettres Persanes de Montesquieu datant de 1721. Le troisième texte est le dernier chapitre de Candide, écrit par Voltaire en 1759. Nous allons nous demander si ces textes cherchent seulement à nous dépayser ou s’ils ont une autre visée. Tout d’abord, nous présenterons le nouveau paysage qu’ils décrivent puis nous analyserons la critique qui se cache derrière. Ces textes

parfaitement gratuite : « II n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid.». Ainsi découlent de cette conception plusieurs refus : celui de la poésie philosophique (à la manière d’Alfred de Vigny) car l’art n’a pas à transmettre d’idée ou de morale, et celui de la poésie politique (à la manière d’Hugo) car l’art est indifférent au progrès social. L’Art pour l’Art veut essentiellement défendre les valeurs que sont la beauté et la liberté. L’artiste doit être libre

  Epître dédicatoire : C’est une lettre adressée à la personne à qui l’on dédie (=donne, offre) un ouvrage. Ici Voltaire s’amuse à choisir des noms propres orientaux, mais la destinataire (la sultane Sheera) est probablement Mme du Châtelet, une amie de Voltaire qui est également philosophe. Relevez les principales qualités qu’il lui prête. à savoir : le rôle des femmes dans la vie intellectuelle est important à l’époque. elles réunissent artistes et philosophes dans leurs salons, font elles-mêmes

des « trois unités » : temps, lieu, action - L'homme et l'univers sont éternels et immuables en dépit de quelques changements peu profonds - les productions humaines - au premier chef l'art - sont régies par des lois universelles et éternelles. La beauté est une et absolue - l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter Auteurs et œuvres - Marot, L'Adolescence clémentine (1532-1538) - Rabelais, Gargantua, Pantagruel - La Pléiade (Ronsart, Du Bellay) XVIIe

v=R706isyDrqI • un film publicitaire de la marque de cosmétiques Dove, montre les moyens que les publicitaires mettent en œuvre pour créer des canons de beauté assistés par ordinateur — donc totalement irréels — tout en les faisant passer pour naturels. Ces publicités déforment le jugement que chacun d’entre nous porte sur sa propre beauté, et poussent le consommateur à acheter les produits qui permettent soi-disant de ressembler aux icônes affichées dans la rue. La publicité recherche ici une