Bardamu Médiocre

commence a avoir des doutes il tue celle ci, des héros deceptifs qui défendent des valeurs mais qui n'en ont pas la capacité comme Don Quichotte qui défend des valeurs chevalresques dans un monde où ces valeurs n'ont plus de sens ou encore l'antihéros Bardamu dans le voyage au bout de la nuit de Céline, qui par les évènements du hasard devient un héros héroique malgrè lui mais défend la lacheté comme valeur. On s'aperçoit qu'il faut faire une différence entre héros et héros romanesque, le héros se

auteurs, certes dénoncent les défauts humains, mais dans le seul et unique but de montrer à la société ce qu'elle est et de crée une forme de prise de conscience, prenons pour exemple Georges Duroy dans Bel-Ami. Georges Duroy est un personnage médiocre, plein de défauts et son ascension sociale n'est due qu'à sa malhonnêteté, il se sert des femmes pour grimper les échelons. Il va se marier, avoir des {text:soft-page-break} maîtresses, se remarier choisissant bien sur des femmes haut placé

ce monde merveilleux de l’espoir ». Cela reflète une vision de la société passive, naïve qui peut être convaincu de quelque chose d’irréel simplement par des mots d’espoir. Texte 4 (1932) : Vision d’un monde misanthropique. Le narrateur Ferdinand Bardamu semble ne trouver sa place nulle part : « Mais ce ne serait autre part ni plus agréable, ni pire… ». Il pense que les gens lui veulent du mal et il fuit tant qu’il peut pour redevenir un inconnu. C’est un rêve d’isolement comme le Texte 1. Cette une

s'affranchissent de tout et Valmont défit même la religion, alors très importante au XVIIIème siècle. De plus, Voyage au Bout de la nuit de Céline, nous fait rencontrer un héros qui apparaît comme un être médiocre, lâche, qui est impuissant face au monde dans lequel il vit, plus proche de l'anti-héros. Bardamu fait alors rêver à sa façon le lecteur, car il représente sa condition réelle et honteuse à la fois. L'Étranger de Camus, nous présente également un héros peu ordinaire: Meursault, il est coupable

réelles. La Princesse de Clèves, le personnage de Madame de Lafayette, ressemble certainement beaucoup aux femmes de la noblesse de l'époque. De la même manière, nous aurions pu connaître, dans la première moitié du XXe siècle, la même existence médiocre que Bardamu, le personnage du Voyage au Bout de la Nuit de Céline. Pourtant, le roman ne représente pas le monde tel qu'il est. • D'une part, vous pouvez facilement constater que le monde du roman est simplifié : même chez Balzac, les descriptions

Commentaire de l'extrait de « Voyage au bout de la nuit » de Céline « Voyage au bout de la nuit » est une biographie romancée de Céline. Dans l'extrait que nous allons présenter, nous retrouverons Céline sous la forme de Ferdinand Bardamu et nous dépeindrons son état d'esprit. Le texte étudié semble être le dernier cri d'une personne qui a l'impression d'avoir raté sa vie. Elle est tellement enfermée dans ce sentiment d'échec qu'elle n'a finalement plus que cette idée en tête. Nous allons dans

bout de ses passions, et parfois notre vie est bien différente de celle qu’on s’etait imaginée. Tandis que certains n’ont pas été jusqu’au bout de leurs désirs, d’autre semblent totalement étrangers à leur sort, ils sont sans volonté, ni envies. Bardamu dans “Voyage au bout de la nuit “de Celine erre à travers le monde entre Europe, Afrique et Amerique. Il subit tout: l’horreur des tranchées, puis la guerre en Afrique, en ce point on peut le rapprocher de Meursault, héros de “l’Etranger” qui subit

chassieux, puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde. Ils ne pouvaient pas aller plus loin à cause de la mer. C’est ça la France et puis c est ça les Français. — Bardamu, qu’il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n’en dis pas de mal !... — T’as raison, Arthur, pour ça t’as raison ! Haineux et dociles, violés, volés, étripés 3 — Le Temps. Ce journal, l’équivalent de l’actuel Monde

chassieux, puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde. Ils ne pouvaient pas aller plus loin à cause de la mer. C’est ça la France et puis c’est ça les Français. – Bardamu, qu’il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n’en dis pas de mal !… – T’as raison, Arthur, pour ça t’as raison ! Haineux et dociles, violés, volés, étripés et couillons toujours, ils nous valaient bien ! Tu peux le

puceux, transis, qui ont échoué ici poursuivis par la faim, la peste, les tumeurs et le froid, venus vaincus des quatre coins du monde. Ils ne pou vaient pas aller plus loin à cause de la mer. C’est ça la France et puis c est ça les Français. — Bardamu, qu’il me fait alors gravement et un peu triste, nos pères nous valaient bien, n’en dis pas de mal !... — T’as raison, Arthur, pour ça t’as raison ! Haineux et dociles, violés, volés, étripés et couillons toujours, ils nous valaient bien ! Tu peux