Bancarisation

MALI SENEGAL NIGER BURKINA FASO GUINEE BISSAU COTE D'IVOIRE TOGO BENIN UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL 2010 UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE RAPPORT ANNUEL 2010 Siège du Secrétariat Général de la Commission Bancaire à Abidjan (Côte d’Ivoire) Rapport Annuel de la Commission Bancaire - 2010 3 UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE COMMISSION BANCAIRE Abidjan, le 20 octobre 2011 Le Président A la faveur

1 L’ACTIVITÉ BANCAIRE Section 1 Section 2 ■ ■ La banque et la monnaie Les métiers bancaires Section 1 © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. LA BANQUE ET LA MONNAIE 1 L’origine de la monnaie L’histoire de la banque est indissociable de l’histoire de la monnaie. La Grèce antique constitue le berceau de développements importants de l’activité bancaire. Jusqu’au Ve siècle avant J.-C., chaque ville commerçante frappe sa propre monnaie. Dans un premier temps

Devoir de commerce international. La Bancarisation internationale et les moyens de paiement mettent t’ils l’opérateur de commerce à l’abri des risques ? Dans les relations commerciales internationales, il y a 3 parties importantes l’acheteur, le vendeur et le transporteur. Chacune des parties a des objectifs à réaliser. Par exemple, le vendeur doit s’assurer de la sécurité du paiement, il devra donc trouver le moyen de paiement qui lui assurera de se faire payer. D’autre part, l’acheteur

Comparaison des niveaux de bancarisation Le niveau de bancarisation est globalement fonction du niveau de développement économique. Plus un pays est développé, plus son niveau de bancarisation estélevé et inversement. Ainsi la France, l’Allemagne et les Etats-Unis par exemple, sont à des taux de bancarisation de plus de 90% tandis que le Yémen, la Centrafrique et le Niger ont des tauxinférieurs à 10% en 2007. Cependant, en dépit d’une situation économique peu favorable, des pays comme la Tunisie

moment où tout le landerneau financier réfléchit à l’extension de la bancarisation, le cabinet Altime Charles Riley, en collaboration avec Economie|Entreprises, livre une étude édifiante sur le phénomène de la non bancarisation et les raisons de l’exclusion d’une grande partie de la population du circuit bancaire. Détails exclusifs. Par sanae raqui Economie|Entreprises Mai 2010 Les «exclus» de la banque DossiEr|Bancarisation Près de 85% des marocains non bancarisés n’ont jamais essayé d’ouvrir

sera à l’origine de la naissance de politique visant à restituer les nombreuses failles constatées au sein du système bancaire. Définie comme étant la proportion de la population titulaire d’un compte en banque, la bancarisation se mesure par un indice appelé taux de bancarisation ;cet indice traduit le niveau de pénétration des services bancaires financiers dans le pays ou la région concerné .IL arrive que le banquier effectue des opérations lui permettant de prendre des participations dans

1-Définition de Bancarisation - Lexique de finance Bancarisation Se dit de la pénétration des services bancaires dans une population. Une population bancarisée à 80 % veut dire que 20 % de cette population n'a pas (encore) accès à des services bancaires, soit de son propre fait (refus) ou parce que sa situation financière n'en fait pas un client attractif pour les banques. 2-Bancarisation et définition de la bancarisation? La bancarisation est le taux de pénétration des produits financiers

Introductif…………………………………………………………………………. Chapitres1 : Bancarisation……………………………………............................................. A. Les disparités entre les zones demeurent ……………………………………………… B. Perspectives d’avenir ……………………………………………………………………… Chapitre 2 : Comportement des particuliers vis-à-vis des banques marocaines………. A. Approche théorique du comportement du consommateur bancaire……………….. .. B. Comportement du client marocain vis-à-vis les banques marocaines……………… 1- Le Phénomène de la multi Bancarisation…………………………………… .. 2- Les

Maroc - La bancarisation point faible du secteur financier Écrit par Boualem Alami Mercredi, 23 Juin 2010 10:53 Au Maroc, la bancarisation reste à la traîne dans un secteur financier pourtant doté de tous les atouts pour apporter le plus à l’économie du pays. Le «bas de laine» -  ou la thésaurisation - est toujours de mise dans un Maroc qui veut s’intégrer dans les grands marchés financiers mondiaux. Le constat est fait par le gouverneur de la banque centrale du Maroc, Bank Al-Maghrib (BAM)

LA 1erPARTIE : Présentation d’AL BARID BANK Barid AL Maghrib, à travers le pôle Grand Public traverse une mutation profonde qui lui permettra d’asseoir et confirmer un positionnement d’acteur de référence en termes de bancarisation au sein du paysage financier marocain. C’est un tournant décisif qui vise la modernisation des services financiers de Barid AI Maghrib pour être aux meilleurs standards bancaires et qui déclenchera une nouvelle dynamique de compétitivité et de