Banalité du mal

Lecture analytique du poème « Hymne à la beauté ». Questions. La définition que donne Baudelaire de la beauté est-elle conventionnelle ? En quoi ce poème est-il une fleur du mal ? Présentation. Ce poème s’intègre à une série de poèmes de la section « Spleen et Idéal », où Baudelaire cherche à définir l’essence du beau et sa conception du poète et de la poésie (« L’Albatros » et « Correspondance »). Baudelaire présente d’abord la beauté sous un visage

(on sait que Camille se porte mal) « il a étudié » (Camille n’a reçu qu’un enseignement élémentaire). « Il gagne déjà 1.500 francs » (on sait au chapitre III que Camille gagne 100 francs par mois, ce qui représente 1.200 francs par an, alors qu’il est entré aux chemins de fer d’Orléans depuis trois ans). La mention des études de droit et de la peinture en font un homme supérieur, instruit et en quelque sorte auréolé du prestige sulfureux des artistes. Une ébauche mal dégrossie de ce qui pourrait séduire

l’histoire la banalité du mal. Le livre pourrait nous conter la renaissance d’un homme tout droit sorti des camps de la mort, puisque c’est ainsi que l’histoire débute, mais c’est bien justement là que l’histoire nous dévoile que même en ayant subit le pire on peut aussi le faire subir ! Le Rapport de Brodeck nous montre le pire visage des Hommes. Il nous révèle toutes les horreurs dont l’humain est capable et nous dévoile au fil des pages la banalité et l’omniprésence du Mal. Brodeck est un

HYMNE A LA BEAUTE Baudelaire, �crivain et po�te fran�ais du XIXi�me si�cle a publi� en 1857 un recueil de po�me intitul� Les fleurs du mal, dont est extrait le po�me que nous allons �tudier. L'���Hymne � la beaut頻 s'int�gre � une s�rie de po�mes de la section ��Spleen et id�al��, dans laquelle Baudelaire cherche � d�finir l'essence du beau et sa conception du po�te et de la po�sie. Dans le po�me que nous allons �tudier, Baudelaire nous pr�sente d'abord la beaut� sous un visage ambigu et m�me contradictoire

par ; singulier, se singulariser ; étonnant, atypique, particulier, particularité ; différent, différence ; spécial, hors norme ; anormal, anomalie ; d’exception, exceptionnel ; dérouter, déroutant… Ordinaire : commun, commun des mortels ; banal, banalité ; médiocre, médiocrité ; quelconque, insignifiant ; humble ; normal, normalité… > Pour réussir la dissertation : voir guide méthodologique. > Le roman : voir lexique des notions. Le corrigé se présente sous forme d’un plan dont seuls quelques

douleur, et qui cherche à se fuir elle-même. Le passage repose en effet sur une série d’antithèses où s’opposent le bien-être escompté, l. 1 – 3, « une libération », « un rajeunissement », « un grand nettoyage », « bienfaits », « exaltation » et un mal-être permanent, l. 3-4, « lassitude », « malaise », « fatigue accumulée » ; l. 4-5, « tension….qui se venge », qui s’exprime aussi à travers une pathologie physique, l.13-14, « crispation de vos nerfs », « inquiétude qui gêne la circulation de votre

(on sait que Camille se porte mal) « il a étudié » (Camille n’a reçu qu’un enseignement élémentaire). « Il gagne déjà 1.500 francs » (on sait au chapitre III que Camille gagne 100 francs par mois, ce qui représente 1.200 francs par an, alors qu’il est entré aux chemins de fer d’Orléans depuis trois ans). La mention des études de droit et de la peinture en font un homme supérieur, instruit et en quelque sorte auréolé du prestige sulfureux des artistes. Une ébauche mal dégrossie de ce qui pourrait séduire

* Kant :  * « le mal est l’aiguillon de l’activité » (nécessaire à l’homme) * « le monde tend vers l’harmonie » * Ricœur : * « le mal : racine commune du péché et de la souffrance » * Aristote : * « l’homme est un animal politique » * Saint Augustin : * cité dépravé de l’homme / cité divine (harmonieuse) (homme condamné au mal) * « péché originel » (Femme et tentation ex : boite de Pandore) * « le mal est un dérèglement de l’humanité »

le physique d’un athlete, meme son nom suggere la banalite. Il travaille pour le gouvernement d’un regime totalitaire ressemblant le fascisme d’hommes comme Staline, Il n’est qu’une fourmi parmis la multitude qui compose Oceania. Sa vie se compose d’une routine journalière ou il reecrit des textes. Hormis toute cette banalite, Winston semble faire partie de ceux qui n’arrivent simplement pas a suivre tel un mouton, et il a de plus en plus de mal a le cacher. Dans ce cas-ci, comment se fait-il qu’un

on va s'identifier a lui pour sortir de la banalité. 3. Dans de nombreux romans, l'accent est mis sur l'analyse psychologique. L'auteur essaie d'expliquer les réactions du personnage, les sentiments. Le lecteur peut se reconnaître dans ce personnage, dans son mal être. Ça peut être une thérapie pour le lecteur. Ex: Olivia Adams. II) Mais l'identification n'est pas toujours possible, souhaitable ou recherchée. 1. Le lecteur peut avoir du mal a s'identifier au personnage, si il est mauvais