Banalité du mal

termine p. 81 - p. 95, titre de la liasse : « Raisons des effets » qu’est-ce qui pose pb dans ces citations ? - le caractère lapidaire de certaines, très étendu de certaines autres - l’obscurité de certaines formulations dont on a du mal à deviner le thème, voire le sens - la langue (« respects » employé au pluriel, la forme masculine de l’adjectif « vieil ») - les numéros qui renvoient à des notes en fin de volume - les crochets qui encadrent certaines parties -

érieure La vie antérieure Intro : poète symboliste, vision platonicienne prenant l’existence d’une vrai vie en dehors de la vie que l’on connait Baudelaire évoque dans le repère les fleurs u mal la lute de l’artiste accablé par la banalité de la vie alors que son esprit aspire à l’idéale. Le poète selon Baudelaire est un être d’exception « le prince des nuages ». Habité par une vision insaisissable de l’idéale qu’il essaye de cerné dans le poème de la vie antérieur Comment ce pose la dualité

5 ; l.28 ; l.35-36. * Typographie poétique : Versets+ vers blancs non rimés. * Répétitions syntaxiques : Anaphore « Il + V + C ». Cadence/refrain * Lexique lyrique : « Joie »l.9+12 ; « Bonne volonté » (l.20-21-22), « beau » (l.15) * Banalité des termes= plénitude : « Grands pas» l.6 ; « Grand vent » l.29 * Rythmes variés * Syntaxe inhabituelle, créative. Poète en grec= créateur Giono crée son univers avec ses mots Association surprenante « embaumé de sa joie » l.9 Il veut

la trace de ces tumultes sentimentaux. Le titre place l’ouvrage dans la lumière de saint Augustin et de Rousseau. Il s’agit d’avouer ses fautes, mais surtout de dévoiler, au-delà de la «maladie morale abominable» d’un auteur de vingt-cinq ans, le mal du siècle et d’en analyser les causes. Le projet autobiographique se trouve d’ailleurs faussé par le double souci de disculper George Sand et de modeler l’histoire des deux amants sur les exemples prestigieux d’Héloïse et Abélard, de Roméo et Juliette

(marchands, avocats…), peuple des villes et surtout les paysans (85% de la population). Le tiers état paie les impôts royaux (taille, gabelle, aides, traites) et les paysans doivent en plus s’acquitter des droits seigneuriaux (cens, champart, corvées, banalités) et de la dîme. Certains bourgeois, désireux de s’élever dans la société, achètent une charge anoblissante. Dîme : impôt dû par les paysans au clergé représentant un dixième des récoltes. Gabelle : taxe royale sur le sel. Aides : taxe royale

Dissertation “ De la laideur et de la sottise [le poète] fera naître un nouveau genre d'enchantement ". Théodore de Banville réagit après le récit Les Fleurs du Mal , récit qui fait état de l’âme et de la conquête du Beau. Baudelaire, l’auteur, devient l’alchimiste qui transforma la boue en or. Le XIXe siècle est la voix d’un renouvellement poétique et de bouleversement littéraire. Nombreux sont les auteurs qui

la littérature, reconnu pour ses romans vraisemblables, réalistes. C’est ce que nous retrouvons dans Madame Bovary, œuvre écrite en 5 ans et publié en 1856. Ce roman brave les interdits de l’époque, nous montrant comment Emma Bovary, lassée de la banalité de sa vie, va prendre les mauvaises décisions et commettre l’adultère. Elle va ainsi faire la rencontre de Léon, personnage qui va partir durant trois ans à Rouen. C’est dans la troisième partie du livre que se situe l’extrait étudié, durant la retrouvaille

médiocrité de l’existence. Ce roman prend la forme d’un roman d’apprentissage, cf la déclaration de Flaubert : « Je trouve moi que je suis très moral car il découle de ce roman un enseignement clair et […] je crois bien que des maris me feraient pas mal d’en permettre la lecture à leur épouse. »* Idée générale : Extrait I.6 (résumé) Emma Rouault a accepté d’épouser Charles, un officier de santé bon garçon et amoureux sincère mais après quelques temps de vie commune, elle constate que Amour, Passion

et du monde l'emporte et la nausée le poursuit. Tout en effet est de trop, les hommes comme les choses ; d'obscures menaces pèsent sur la ville, et des proliférations monstrueuses surgissent des campagnes environnantes. Il se sent de plus en plus mal à l'aise devant l'existence des choses puis devant sa propre existence soumise au regard des autres et il la ressent progressivement comme «une mollesse, une faiblesse de l'être». S’il pense à se tuer, il découvre que son suicide lui-même serait dépourvu

s'attaque tout particulièrement au pédantisme littéraire du XVII e siècle. Deux de ses oeuvres surtout, les Précieuses Ridicules, les Femmes Savantes, ridiculisent malicieusement ce défaut chez les femmes. Ce n'est pas tout cependant de signaler le mal, il faut y remédier; Molière énonce donc sa théorie sur l'éducation des femmes. L'auteur consent qu'une femme ait des clartés de tout. Il lui veut un esprit ouvert, sur les différentes questions de nature à l'intéresser. Les sciences, les lettres cultivent