Banalité du mal

situation la plus banale à des situations inattendues, voire totalement absurdes. Elles caricaturent la société a Cuba : dans un premier temps : jouir, lors d’une fête de jeunes gens se proposent de faire l’amour, mais cela est dit de façon a montrer la banalité et la moindre importance que cela leur apporte. Manger, lors d’un repas plusieurs femmes parlent de nourriture, ont déjà prévu les repas pour la semaine, se donnent des conseils pour cuisiner, puis lorsque une dame âgée commence a manger un verre

plainte, d'une mélancolie pour l'élégie. Beaucoup de thèmes sont ainsi traités : l'amour, la passion, la mort... La mort est d'ailleurs un thème récurrent chez certains poètes tels que Baudelaire, atteint du spleen, le "mal du siècle". Elle peut d'ailleurs apparaître comme une banalité pour certains, ou susciter un plus ou moins grand intérêt chez les poètes. Dans les trois religions monothéistes, soient le christianisme, l'Islam et le judaïsme, la mort est le renouveau de l'âme, la délivrance de l'esprit

issues de son imagination et de son vécu. Par exemple, Baudelaire dans Les Fleurs du Mal, écrit de nombreux poèmes nommés Spleen ( qui vient du mot anglais désignant le mal-être) qui renvoient également au titre du recueil, les fleurs étant le fruit de son imagination : la retranscription de sa souffrance en poèmes. On observe ainsi un paradoxe dès le titre de l’œuvre baudelairienne, entre les fleurs et le Mal, qui donne une dimension imaginaire et irréaliste, puisque on oppose d’une part la Nature

variété des supports numériques facilite l’expression des points de vue publics des amateurs mêlant émotion et compétences personnelles Doc. 2 Les internautes mettent de plus en plus d’informations personnelles en ligne mais on de plus en plus de mal à contrôler l’usage qui est fait de leur intimité L’ « extimité » a toujours existé mais prend une dimension nouvelle sur les réseaux sociaux Les jeunes prennent conscience des conséquences parfois graves d’une trop grande exposition de leur intimité

variété des supports numériques facilite l’expression des points de vue publics des amateurs mêlant émotion et compétences personnelles Doc. 2 Les internautes mettent de plus en plus d’informations personnelles en ligne mais on de plus en plus de mal à contrôler l’usage qui est fait de leur intimité L’ « extimité » a toujours existé mais prend une dimension nouvelle sur les réseaux sociaux Les jeunes prennent conscience des conséquences parfois graves d’une trop grande exposition de leur intimité

issues de son imagination, de son vécu, de ses maux. Baudelaire dans les Fleurs du Mal, écrit de nombreux poèmes nommés Spleen, mot anglais désignant le mal-être, qui renvoie également au titre du recueil, les fleurs étant le fruit de son imagination : la retranscription de sa souffrance en poèmes. On observe ainsi un paradoxe, une confrontation, dès le titre de l’œuvre baudelairienne, entre les fleurs et le Mal, qui donne une dimension imaginaire et irréaliste, puisque on oppose d’une part la Nature

l’on peut toutefois qualifier de « logique » entre les mots (babouche, puis mouche, puis escarmouche, puis scaramouche, sainte-Nitouche, couche, cartouche,etc.). On a des confusions homophoniques qui amènent les non-sens de ces « proverbes ». Des banalités sont donc devenues des proverbes, grâce au présent de vérité générale. La suite de la scène ne se manifeste alors plus que par des mots, des noms : Sully, Prudhomme et autres, les personnages lient ensuite les noms qu’ils énoncent. Un semblant d’esprit

dégradation -Nombreux objets décrits après une présentation de l’atmosphère générale  l.6 triste description des meubles, fauteuils, table (avec cabaret) St Anne ( Fonction explicative ; que l’on rencontre partout : banalité – effet de mode  fonction didactique), chaises. Description du sol : « mal planchéiée » l.11 Description du mur : L.11-12 (papier verni)  décalage motif mythologique/pauvreté des pensionnaires  burlesque Description de la cheminée avec deux vases : « toujours propre : froid, atmosphère

Flaubert Objectif : comment refléter la banalité du quotidien dans les récits réalistes ? ……………………………………………………………………………………………………….. Texte 1 : Le personnage de la servante Félicité Analyse faite en classe : quelle vie mène Félicité ? I. Vie monotone, répétitive, sans surprise, rythmée par le travail et la prière. - personnage de la servante présenté dans le 1er paragraphe par le lieu où elle habite : une chambre de bonne, à l’étage. Pièce mal éclairée. La servante vit à l’écart, est isolée

de ce roman, Flaubert introduit un personnage important du récit : M.Bovary, lors de sa rentrée en cours, c'est un personnage important du roman sans pour autant en être le personnage principal. Comment cet incipit illustre-t-il le réalisme et la banalité d'un anti-héros? Autrement dit, qu'est-ce qui fait de ce roman un roman réaliste avec des personnages tout à fait ordinaires ? Nous verrons dans un premier temps que cet extrait est un incipit moderne mais un incipit malgré tout. Dans un second temps