Balzac Incipit Progressif

espaces, change avec Ivanhoé. Le début d’Ivanhoé consiste en une description très précise du lieu géographique qui sera l’unique théâtre de la narration et donne des informations sur l’époque historique dans laquelle elle se déroule. Après cet incipit qui répond à deux des questions fondamentales des débuts qu’Andrea Del Lungo résume par les deux adverbes : « où ?, quand ? »2, ce n’est qu’au deuxième chapitre que le lecteur connaît les protagonistes et les enjeux du roman et il doit attendre le

justifier ses actes =>> auto justification finaleAnnonce son suicide p326Suicide =>> empêcher la possibilité que qqn crée à nouveau une créature pareilleProblématique : Comment la créature justifie-t-elle son glissement progressif vers le mal ? I. Une scène théâtrale (une scène dramatique)La mort est la seule issue Dispositif tragique II. Une créature poussée peu à peu au mal Inversion des valeurs bien en malLe diable =>> elle est dans une pire situation que

il prend réellement conscience qu’à la fin du roman. INCIPIT S. Il commence en plein milieu de la vie du personnage IN MEDIAS RES. Evènement appréhendé comme une fatalité, Céleste dira « on n’a qu’une mère », le personnage choque par rapport à nos mœurs. I. Écriture particulière qui renvoie à une réalité humaine (mort) mais les pensées du personnage dérangent le lecteur/ I/ Caractéristiques d’un incipit traditionnel - In medias res. « Aujourd’hui », jour bien précis mais on ne

Entreprend l’histoire de ses idées + de ses idées. Chez chateaubriand => envie d’écrire sa mort => finit son oeuvre avant de mourir => mort mise en scène très théâtrale => voit l’arrivée d’un nouveau monde. Georges Sand => incipit => pr elle pas besoin d’avoir honte d’écrire sur soi, pr elle c un devoir et un devoir même pénible . Rapport à la religion de G.Sand => reprend à travers son livre une relation avec dieu. Stendhal => se

(Michel Butor a signé son dernier roman, Degrés , en 1960), soit qu'ils aient expérimenté, tel Robbe-Grillet, les chassés-croisés du langage romanesque et du langage cinématographique (L'Immortelle , 1963 ; L'Éden et après , 1971 ; Glissements progressifs du plaisir , 1974), soit qu'ils aient obliqué vers l'autobiographie. Cette dernière tentation s'interprétera comme un effet de l'âge (la fiction paraît souvent vaine à l'heure des bilans), mais aussi comme un désir de jouer avec les limites du vrai

| Problématique : en quoi ce roman définit-il les bases de l’esthétique naturaliste ? 1) Biographie de l’auteur et mouvement littéraire. 2) Lectures analytiques. Incipit : du début jusqu’à « couturée de cicatrices » Chapitre V : la rencontre des deux héros : du début jusqu’à « Elle souffrait » (pp. 68-70) Chapitre IX : le projet du meurtre de Camille, de « Maintenant, plus calme…un plan d’assassinat. » (pp.72-

leurs élèves du lycée René Char, à Avignon. Présentation générale de la séquence Problématique : en quoi ce roman définit-il les bases de l’esthétique naturaliste ? 1) Biographie de l’auteur et mouvement littéraire. 2) Lectures analytiques. Incipit : du début jusqu’à « couturée de cicatrices » Chapitre V : la rencontre des deux héros : du début jusqu’à « Elle souffrait » (pp. 68-70) Chapitre IX : le projet du meurtre de Camille, de « Maintenant, plus calme…un plan d’assassinat. » (pp.72- 73)

leurs élèves du lycée René Char, à Avignon. Présentation générale de la séquence Problématique : en quoi ce roman définit-il les bases de l’esthétique naturaliste ? 1) Biographie de l’auteur et mouvement littéraire. 2) Lectures analytiques. Incipit : du début jusqu’à « couturée de cicatrices » Chapitre V : la rencontre des deux héros : du début jusqu’à « Elle souffrait » (pp. 68-70) Chapitre IX : le projet du meurtre de Camille, de « Maintenant, plus calme…un plan d’assassinat. » (pp.72-

peut-être l’histoire du portrait, qu’il raconte, est-elle totalement inventée ! rien n’atteste la mort du modèle à part ce petit livre, qui ressemble plus à un conte qu’à un livre d’histoire de l’art. En effet, le début de l’histoire rappelle les incipits des contes traditionnels (« c’était une jeune fille d’une très rare beauté, etc. » ligne 94), et Poe utilise des termes qui renvoient au registre merveilleux (« une puissante merveille », ligne 124 ; « miraculeusement », ligne 127). Si toute l’histoire

dans sa famille avant d’aller « faire son droit ». C’est sur ce bateau qu’il va rencontrer M. Arnoux, qui l’introduira ensuite dans le monde de l’art, et surtout Mme Arnoux, qui va devenir son grand amour. Nous sommes ici au point de passage entre incipit et diégèse, c'est-à-dire entre l’ouverture du roman et le roman proprement dit (=l’histoire). Ce passage oriente ainsi le déroulement du roman. Il s’agira donc de voir en quoi ce passage est programmatique dans l’économie romanesque. Nous verrons