Autrui Est Il Notre Ennemi

indispensables à notre vie quotidienne peuvent nous nuire, puis nous analyserons quand est-ce qu’il est possible de désobéir. Tout d’abord, obéir aux lois est un devoir pour chaque citoyen car elle nous permet de mieux vivre en société sans nuire autrui, en organisant la vie en commun. En effet, la violence de l’Etat fait naître le besoin de règles qui fixent des limites aux caprices de chacun et ouvre la voie à une coexistence pacifique au sein de la communauté humaine. Dans un conflit, la vengeance

reconstruire et se détruire pour construire l'être humain qui'il est maintenant grâce à la peur de l'inconnu quand par exemple il a du emménager tout seul pour suivre ses études, aux autres et à travers autrui. La présence de l'autre est essentiel pour un individu mais peut aussi devenir un ennemi pour l'individu également, en effet le regard d'autrui sur l'handicapé le remet dans sa catégorie d "anormal". Le Métier d'homme est donc un engagement constant avec acharnement pour vaincre les obstacles

Ainsi c’est l’évolution de notre espèce qui nous a poussés à nous regrouper, à vivre et s’épanouir en société, en présence d’autrui. Autrui ne désigne pas tel ou tel autre mais l’autre en général. Par ailleurs lorsqu’on fait l’expérience d’autrui on ne fait pas l’expérience de l’autre en général, mais de l’autre en temps qu’être humain, qu’être singulier. Autrui est mon semblable, en ce sens nous appartenons à la même espèce, avons une morphologie commune, un être doué de pensée et de raison, la

responsabilité pour autrui. …………………………………..8 4 La gratuité de la responsabilité pour Autrui ……………………………………………..10 III- L’entre –deux : une nouvelle manière de penser l’altérité………………………. ….10 CONLUSION ………………………………………………………………………………..12 BIBLIOGRAPHIE …………………………………………………..……………………….14 INTRODUCTION « L’interdit permet de dire ». En d’autres termes, le fait de défendre ou d’agir de telle ou telle manière est un moyen pour faire comprendre comment il faudra agir en réalité envers autrui. L’interdit

A t'on tord d'avoir confiance en Autrui ? Dans une célèbre histoire juive, un père demande à son fils de sauter pas la fenêtre. Au départ, l'enfant effrayé hésite. « Tu n'as pas confiance en ton prope père ? », dit ce dernier pour rassurer son fils. Celui ci se décide enfin à sauter. En tombant par terre il se blesse. « Désormais tu le sais , dit le père devant l'enfant en larmes. Tu ne dois avoir confiance en personne, et même pas en ton propre père ». Cette courte histoire

sujet et objet. BERKELEY (philosophe anglais de la fin du 17eme siecle , immatérialiste) disait : «  être c'est être percu ou percevoir ». Etre percu : c'est être objet et percevoir : c'est le propre du sujet. Une chose percu résiste à cette analyse. Autrui est à la fois sujet et objet CAD il est un objet que je ne peux pas reduire à son statut d'objet. Il est à la fois un alter ego ( un autre moi) et en meme temps un ego alter ( un moi autre que moi). D'où l'ambyvalence des relations humaines. D'un

AUTRUI ET LE DEVOIR I – les 2 valeurs de la sphère de l'égo Le moi est gouverné par 2 valeurs : principe d'identité ( moi = moi ) principe de contradiction ( moi = non moi ) Ces 2 valeurs se déclinent de la façon suivante : acceptation de la ressemblance rejet de la différence => relation problématique avec la différence Le moi fonctionne sur le principe de narcissisme. Il se pose dans la toute puissance et dans le même mouvement, rejette tout ce qui n'est pas

L’État est il l'ennemi de la liberté ? L’État est il l'ennemi de la liberté ? Cette question mêle à la fois la notion d’État et de liberté en les opposants avec le terme « ennemi » c'est à dire hostile. Un État peut être définie comme l'ensemble des structures ( législative, exécutive, judiciaire ) du pouvoir politique chargées d'organiser une société et incarnant la souveraineté. L’État est le fondement de toute les grandes sociétés. La liberté, notion difficile à résumer semble cependant

relations entre les Hommes et donc entre les Etats ? A l’inverse, la violence qui résulte la plupart du temps par des guerres, où l’on impose sa position sans écarter autrui et où l’on prend sans donner. La violence naît d’un effort pour compenser un sentiment d’infériorité par exemple d’où la nécessité ou non d’échanger avec autrui pour éviter cette violence ? Il convient donc de se demander si les échanges favorisent-ils la non-violence entre les individus ? Pour cela, il nous faudra analyser dans

connaissant et son objet d’étude semble être une condition d’objectivité. Aussi on peut se demander si la conscience de soi ne supposerait pas finalement autrui. C’est donc du problème des conditions de la prise de conscience de soi et de ses limites dont nous allons traiter. Se poser cette question, c’est présupposer que derrière l’anonymat du mot autrui, se cachent des autres tous identiques, tous aussi inessentiels ou fondamentaux pour la connaissance de de moi-même. Nous nous demanderons donc si la