Autoportraits De Picasso

des peintures métaphysiques de Giorgio De Chirico, dans lesquelles on retrouve la représentation de scènes irréelles et d'espaces déformées en perspectives. Cet Italien, né 1888, a vécu à Paris entre 1911 et 1915 où il rencontra entre autre Pablo Picasso et Guillaume Apollinaire. Dans ses premières peintures de visions de rêve, les forts contrastes entre lumière et ombres dominent ainsi que la perspective centrale exagérée aboutissant à une image angoissante du monde des rêves. Dans ses œuvres, De

ses "fausses routes", influencé par les mouvements picturaux de l’époque, et en particulier par la peinture cubiste ou surréaliste, Vasarely s’oriente vers les natures mortes, les paysages, les portraits. Les oeuvres réalisées à cette période, "Autoportrait" (1941), "l'Aveugle" (1946), bien que figuratives, sont le reflet d’une évolution vers une simplification et une schématisation de l’objet. Avec la période Noir - Blanc (1954-1960), Vasarely renoue avec ses études graphiques, son travail sur les

arrondissement de Paris est le résultat de l’extension de Paris au 13ème et 14ème siècle. Les plus vieux immeubles datent aujourd’hui du 18ème siècle. C’est un quartier plutôt résidentiel dont une grande partie se trouve dans le Marais. * Le musée Picasso (fermé pour travaux) * Le musée Carnavalet (histoire de Paris depuis le début [Lutèce, …]) * Boutiques tendances et Galeries rue debelleyme, rue des Tournelles, rue Vieille du Temple… créateur, friperie, vintage, … * Marché des Enfants

propose de décomposer les objets en couleurs et éléments géométriques simples comme des cônes, cylindres ou cubes, révolutionnant ainsi l’approche du monde visible), il s'installe à Paris en 1912 où il découvre Paul Cézanne ,Georges Braque et Pablo Picasso. Il se livre à des abstractions( dans la peinture abstraite, ce n'est plus le sujet qui domine, ce n'est plus la peinture pour l'objet. La ligne, la forme, la couleur sont utilisées pour elles-mêmes) et dépasse même l'expérience de l'abstraction pour

grâce à un amateur éclairé, le Cavalier Marin qui lui passe aussi de nombreuses commandes sur des sujets mythologiques (Les métamorphoses d’Ovide, Adonis). Il le recommande au neveu du pape Urbain VIII, le cardinal Barberini, puissant mécène. Autoportrait, 1650,Musée du Louvre, Paris. La consécration Quand il peint Le massacre des Innocents, (non daté avec exactitude), Poussin a entre 25 et 30 ans. Il est en pleine possession de ses moyens et a terminé sa formation. C’est avec ce tableau que

exposition a pour objet de faire (re)découvrir à un large public un ensemble d’artistes renommés au niveau international. Barcelone et Madrid ont donné à l’histoire de l’art du vingtième siècle des noms essentiels tels Joan Miró et Julio Gonzalez. Picasso y reçut sa formation et Dalí, originaire de la petite ville de Figueras, fit à Barcelone quelques-unes de ses plus marquantes interventions contre l’art établi. C'est à la découverte de figures incontournables -et pourtant moins connues du public-

d’images chaque jour, que ce soit à la télévision ou dans les magazines par exemple, il faut donc faire un tri. De plus, la culture de l’image est selon moi propre à chacun, car certaines personnes vont plus être marqués par un Klimt, un Degas ou un Picasso que par les photographies de Nick Brandt. Cependant, même si cette culture de l’image est propre à chacun, elle est quand même gérée par des règles communes et implicites de l’esthétique. Les mouvements artistiques en peinture par exemple, sont

œuvres postérieures mais jamais il n’a été plus avancé que dans cette toile. Quel est donc ce visage bistré, plus roche qu’il n’est homme?  Planté dans un sol d’Onyx avec la même persistance qu’il est une obsession à l’imaginaire du peintre. Un autoportrait, un élément paranoïaque comme Dalí en a tant? Évoluant au sein d’un espace manichéen, simple opposition entre ciel et terre dans ce qu’ils possèdent de plus bleu et désertique, ce roc a l’allure d’un vaisseau fantôme. Il est immobilisé dans le

marqué l’histoire de l’art. Limité et figé par les exigences de la tradition classique, réalisé souvent sur commande, le portrait est cependant devenu un véritable champ d’expérimentation au cours du XXème siècle avec des artistes tels que Pablo Picasso. Celui-ci réalise des portraits cubistes où le modèle est à peine reconnaissable. Dans ce portrait moderne, c’est le regard du peintre, sa sensibilité, ses angoisses face à la vie, et non plus le regard de la personne représentée qui définit les codes

les conventions sociales et culturelles en décrivant des objets et même des questions politiques d'une manière radicale et abstraite. Il a également changé son orientation par rapport aux aspects techniques de la « notion de création pure ». Ses autoportraits ont été décrits par le théoricien Li Xianting comme « une réaction auto-ironique au vide spirituel et à la folie de la Chine moderne. » Les critiques d'art associent souvent Yue au mouvement artistique du « réalisme cynique » dans l'art contemporain