Article Egalité Voltaire

homme-femme. Cette militante meure guillotinée en 1793 pour avoir dénoncé les massacres menés au nom de la révolution. Dans les DDFC, il y’a un préambule, des articles et un postambule. Aujourd’hui nous nous intéressons au préambule et aux 6 premiers articles. LectureOn revient alors à se demander, en quoi ce préambule et ces articles justifient-ils l’importance d’une constitution affirmant l’égalité homme-femme ?Ce texte est composé de 2 mouvements : le préambule et les articles.Mouvement

tout le royaume» (Jaubert). Un Code Civil est une «mise en œuvre des principes révolutionnaires dans les rapports privés entre les individus». Les principes de la Révolution se caractérisent surtout par notre devise d’aujourd’hui, à savoir «liberté, égalité, fraternité». Cette devise devait donner lieu à une démocratie, or cette dernière a eu des difficultés à se mettre en place. Selon une formule d’Abraham Lincoln, la démocratie c’est «le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple». L’Ancien

Les idées défendues par les philosophes des Lumières. LA LIBERTE :  « Les hommes naissent tous libres. C'est le plus précieux de tout les biens que l'homme puisse posséder. Il ne peut ni se vendre ni se perdre. »  (d'après un article dans l'encyclopédie). Ils sont aussi pour la liberté d'expression, car il y a la censure qui l'interdit (aucune critique n'est permise à ce temps...). Pour plus de détails, cliquez sur la rubrique des extraits de l'Encyclopédie, dans l'article "autorité politique"

culture grecque et latine (Pangloss est un nom appartenant au grec ancien). Les genres littéraires sont plutôt des tragédies, du théâtre, ce sont ces genres là qui sont les plus reconnus au XVIIIème. Le conte, le roman sont méprisés au siècle de Voltaire. LE SIÈCLE DES LUMIÈRES • le culte de la raison, de l’esprit scientifique développé par l’expérience • les philosophes affirment la supériorité de la raison sur la superstition, du savoir sur l’ignorance, de la connaissance sur le préjugé

absolument d’un homme qui, par libertinage d’esprit, se met au-dessus des devoirs et des obligations ordinaires de la vie civile chrétienne. » (libertinage = libre pensée ; la définition traduit l’hostilité aux libres-penseurs) 2) Article « Philosophe » de l’Encyclopédie (article non signé, écrit par César Dumarsais, d’abord oratorien, puis avocat et ensuite précepteur et grammairien, né en 1676, mort en 1756) a) le philosophe : un homme guidé par la raison Son savoir est fondé sur la raison et l’observation

1765, Diderot achève le travail de rédaction. II- L’esprit encyclopédique En ce siècle des Lumières, l’évolution de la pensée est liée à l’évolution des mœurs. Les récits de voyages comme celui de Bougainville, ou des comtes comme Candide de voltaire par exemple incitent à la comparaison entre les différentes civilisations. De nouvelles valeurs s’imposent : la nature qui détermine le devenir de l’homme, le bonheur terrestre qui devient un but, le progrès par lequel chaque époque s’efforce de

de la société (religieux) consomment beaucoup et son riches alors qu'ils sont inutiles la société >< Le peuple doit beaucoup travailler pour avoir un peu d'argent. - Valeur du mariage par l'Eglise >< célibat des prêtres (chasteté) --> dépeuplement Voltaire (Candide) - Se moque de la philosophie optimiste. - >< au fatalisme - Candide a un précepteur optimiste : Pangloss (Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes) - 2 maux : naturels (tempêtes) et humains (guerre, fanatisme) - Solution : arrêter

d’Holbach, Marmontel, Voltaire...). Acteur clé du projet est Diderot : crée l’Encyclopédie, travaillait sur des centaines d’articles sur comment sont fabriqués les produits. Ecrivain, philosophe, encyclopédiste français. Il s’est fait emprisonné pour condamner ses pensées. Censure de l’Encyclopédie. Jean le Rond D’Alembert : chargé de rédiger les articles portants sur les mathématiques et les sciences. Philosophe, mathématicien. Plusieurs collaborateurs : Rousseau, Voltaire. La plupart sont déistes

fondée sur les droits de l’homme et qu’elle les protège ; il faut connaître les droits que la justice naturelle accorde à tous les individus, il faut rappeler tous les principes qui doivent former la base de toute espèce de société, et que chaque article de la Constitution puisse être la conséquence d’un principe ». En 1789, durant la Révolution française, Jean Joseph Mounier, député du Dauphiné, obtient du comité rédactionnel chargé de rédiger une future constitution pour la France, de faire précéder

livres), une censure ourdie dans les coulisses du parti dévot, représenté par Palissot et Fréron, sous l'égide de grands seigneurs comme Choiseul, s'acharne contre les philosophes Montesquieu, Diderot, Voltaire, Rousseau. Les théologiens, ces « arlequins anthropophages », comme les désignait Voltaire, multiplient les saisies, les refus d'impression, les blâmes, les condamnations par la Sorbonne, les autodafés, les emprisonnements arbitraires... renouvelant ainsi les pratiques inquisitoriales du XVIIème