Article 1202 Du Code Civil

de distribution et de service. Le droit des affaires s’applique donc à tous les acteurs de la vie économique, il s’applique non seulement aux commerçants amis aussi aux artisans aux agriculteurs, aux professions libérales et aux personnes morales civiles. Le droit des affaires englobe et prolonge le droit commercial. L’appellation « droit des affaires » permet également de rendre compte d’une matière éclatée. En effet en marge du droit commercial se sont développés des disciplines nouvelles qui ont

dans l'hypothèse ou l'une des prestations prévues devient impossible à fournir. Situation prévu par le CC aux article 1189 et suivant. Législateur ce trouve être précis et envisage tout une suite de solutions. Solutions qui dépendent toutes de l'origine de l'impossibilité : → Impossibilité où l'on ne pourrait plus fournir la prestation en cas de force majeure. Dans cette hypothèse, article 1193 du CC nous dit que l'O° devient pure et simple CAD que l'O° sera exécuter sous la forme de l'autre prestation

souhaite. Sur ces bases apparaît le code Napoléonien de 1808 du Commerce. Ce code traduit l’existence de règles de droit privé, mais qui déroge du droit civil, et qui vont s’appliquer à des personnes et des opérations bien précises. Loi chapelier qui a aboli les corporations et la réglementation. 2) Passage du Droit Commercial au Droit des Affaires Ce passage se fait dans un double mouvement : 1°- Un mouvement de diversification A travers le code de 1808 vont apparaître des corps de

- Préambule de la déclaration du Roi Charles IX prend en considération le particularisme de l’activité commerciale et du droit règlementant cette activité. Ce particularisme va être renforcé par l’Ordonnance Royale de 1673 prise par Colbert, dit Code SAVARY, qui va reprendre grands nombres de coutumes déjà existante (perte du caractère international) telle la lettre de change, les dispositions sur les sociétés commerciales, les faillites et banqueroutes, la compétence des juridictions consulaires

créance : elle disparaît alors lorsque la créance s'éteint et ne peut être transmise qu'avec la créance. Le droit des sûretés fait partie du droit du crédit et plus généralement du droit civil. L'ordonnance du 23 mars 2006 relative aux sûretés a réorganisé le droit des sûretés en regroupant dans le livre IV du code civil les différentes dispositions relatives au droit des sûretés. Elle a également modifié en profondeur le droit des sûretés réelles : consécration du gage sans dépossession, légalisation

chaque contribuable. Le même système servait encore au début du 19ème siècle en Angleterre pour certifier le paiement des impôts ou pour comptabiliser les rentrées et sorties d’argent. Curieusement ce système survit, de nos jours, dans un article du code civil (1). Pour compter plus vite, les premières sociétés eurent l’idée du regroupement par paquet de 5 (l’homme des cavernes), ou par 10 (le scribe égyptien), voir par 60 (le babylonien). Dans chacun de ces systèmes des signes différents sont

d’effectuer des saisies) Si le débiteur ne paye pas, on peut envisager une sanction pénale : le délit d’abandon de famille, aussi sanction civile avec sanction de dommages et intérêts. On peut également envisager de retirer au débiteur l’autorité parentale. Sanction penale: delit d'abandon de famille (lorsqu'on ne remplit pas son obligation alimentaire) sanction civile: dommages et intêrets, supprimer l'autorité parentale d) Les caractères de l’obligation alimentaire L’obligation alimentaire est personnelle

Introduction au droit et au droit civil 2ème partie : Les sources du droit Mode d’édiction des règles de droit, de quelles manières sont-elles établies ? Autorité qui créé la règle de droit : -le législateur - autorités qui n’ont pas reçus un tel pouvoir, en l’absence d’un pouvoir officiel : le juge ne créé pas la règle de droit et pourtant il le fait. -> Il existe des sources officieuses du droit (=la jurisprudence) ou sources informelles. Les auteurs ne s’accordent pas

commerce La qualification d’acte de commerce emporte deux conséquences. La première, que nous avons déjà vue, est d’attribuer la qualité de commerçant . La seconde est que ceux-ci sont soumis à un régime juridique spécial en ce qu’ils dérogent au droit civil des obligations et des contrats. L’objectif est en effet d’offrir un régime compatible avec les exigences de la vie des affaires : simplicité, rapidité, sécurité. Cela dit le régime des actes de commerce est composé de règles disparates, sans rapport

INTRODUCTION Avant le Premier janvier 1993, date de l’entrée en vigueur de la réforme des procédures mobilières d’exécution, le droit des procédures d’exécution était régi par l’ancien code de procédure civile de 1806. Il y avait eu certes quelques réformes partielles, mais globalement les textes très anciens, finissaient par révéler les lacunes préjudiciables, tant aux débiteurs qu’aux créanciers. Ces défauts se manifestaient de trois manières. C’était d’abord le vieillissement général des textes