Article 11 Ddhc

l’UE proclamée le 7 décembre 2000 avant d’être adoptée officiellement le 12 décembre 2007. Mais le texte européen le plus sollicité est sans aucun doute la Convention européenne des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Le nombre des articles concernant la famille ou les rapports de l'individu dans sa famille et servant de points d'ancrage à la jurisprudence est, sans commune mesure avec le succès de la Convention, aujourd'hui très souvent sollicitée. D’ailleurs, deux idéologies fondamentales

droits naturels. L'idée de droits naturels provient de l'image que l'être humain a de lui, lequel a la prétention d'être au dessus de l'animal. Les droits de l'homme ne peuvent donc être imaginés sans l'idée de droits naturels. Les rédacteurs de la DDHC ont constaté les droits dont l'homme est titulaire en raison de son caractère particulier d'être humain. Aujourd'hui, le mot « droits de l'Homme » a un sens contemporain, différent de celui de 1789, lequel est utilisé dans un autre contexte. En

des conventions internationales, qui peuvent ou ont une autorité supérieure à la loi. Cela implique une soumission du droit national au droit international et surtout au droit européen. Ex. arrêt de la CEDH du 28 juillet 1999, Selmouni c/ France : article 3 de la CEDH de 1950, « nul ne peut être soumis à la torture ou à des traitements inhumains ». Selmouni avait été arrêté par la police, maltraité et tabassé. Il a intenté un recours devant la CEDH : elle a accédé à sa requête, la France a été condamnée

objectif : * la garantie d’une bonne justice * la garantie des droits des parties Ces règles fondamentales étaient affirmées et consacrées dans des normes supra-législatives, dans le Pacte international des droits civils et politiques en son article 14§1, dans la CESDH à l’article 6 relatif au droit au procès équitable ainsi que dans la jurisprudence du Conseil constitutionnel (ex : DC 2 décembre 1976 à propos des droits de la défense, DC 22 juillet 1980 à propos de l’indépendance de l’autorité

des citoyens ? Comment les citoyens participent-ils à la vie politique ? Ces questions sont centrales car elles permettent de mesurer la démocratie. 2ème question majeure : l’organisation des pouvoirs. Il y a un principe, posé et admis dès 1789 (DDHC), qui est celui de la séparation des pouvoirs. Mais cela s’envisage et s’organise de multiples manières. Doit-il y avoir égalité entre les pouvoirs, et donc possibilité pour ces pouvoirs de se neutraliser ? Un pouvoir ne doit-il pas dominer l’autre

DES LIBERTES FONDAMENTALES I- LES SOURCES NATIONALES: 1) Les sources nationales des libertés se trouvent dans le bloc de constitutionnalité. Il comprend:  la Constitution: qui reprend le libertés comme le droit de vote (article 3) Préambule de 1958 (la DDHC + le Préambule de 1946): Contient l’essentiel des libertés mais sa valeur juridique était contestée. Elle a d’abord été admise par les Tribunaux internes ( CE,1950, Dehaene: les fonctionnaires disposent d‘un droit de grève car il

deuxième chambre du parlement était constituée de grands patrons : ce sont des Etats corporatistes. En France, on a toujours privé les représentants du monde économique de pouvoir législatif. 2 - Le conseil économique, social et environnemental (Titre 11 / modifié en 2008) Ce conseil a une existence garantie par la Constitution et un titre lui est consacré. Comment est-il composé ? Quels sont ses pouvoirs ? a) Sa composition L’article 71 de la constitution dit que les membres du CES ont un nombre

dans la Déclaration de 1789, ont systématiquement opéré un renvoi à la loi pour délimiter les libertés et pour les mettre en œuvre (article 4, 5, 7 et 8), celle-ci ne saurait les méconnaître. Au contraire, elle « est à leurs yeux un gage nécessaire et suffisant de leur protection, et non un danger » (Favoreu et ali). _ En tant qu’expression de la volonté générale (Article 6 DDH), la loi est située de fait au sommet de la hiérarchie des normes et bénéficie donc d’une supériorité à l’égard de toutes les

alors les 17 articles de la DDHC ce qui marque la révolution juridique. La DDHC constitue le texte fondateur de la Révolution française. Elle rappelle les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme quelle que soit sa race, sa nationalité ou sa condition (Article 2). Les droits étaient différent selon la catégorie social. La DDHC proclame : 1er DROIT : liberté d’aller et venir (Article 4) liberté d’opinion notamment religieuse (Article 10) liberté d’expression (Article 11) liberté politique

N-13- Olympe De Gouge, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791)« Avant-propos, Préambule, Article Premier »Ecrire et combattre pour l’égalitéAccroche : Auteure :Olympe de Gouge (1748-1793) est la femme qui incarne l’esprit de la Révolution française. Femme de lettres, dramaturge, pamphlétaire, elle défend de nobles causes comme l’abolition de l’esclavage et plus particulièrement la reconnaissance des droits de femmes. Cependant, c’est cette vision du monde audacieuse, visionnaire