Arnolphe Un Personnage Ridicule

Financier » Pb : Comment La Fontaine à travers cette fable parvient-il à expliquer que l’argent ne fait pas le bonheur en mettant en apposition ses personnages ? I/ La Fontaine chercher à plaire à son lecteur à travers un récit vivant : a) Des personnages en opposition : • Titre : « Le Savetier et le financier » : mise en place de 2 personnages aux différents métiers. Savetier = Cordonnier (métier artisanal, revenus modestes) =/= Financier (plus aisé, fonction plus intellectuelle)

etudes chez les jesuites avant d'aller etudier le droit a Orleans. En 1645 il quitte la Paris pour la province, il y restera treize ans. En 1658? il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Depit amoureux devant le roi. C'est la piece Les Precieuses ridicules qui lui apporte la celebrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal où il remporte de nombreux succès en tant qu'auteur, acteur et directeur de troupe. Ces ennemis les plus connus sont la troupe de théâtre rivale

qui est un bourgeois mène une dispute avec Georgette, la servante d Arnolphe et le valet est très fâché envers elle et veut lui mettre une gifle mais par accident cette gifle touche Arnolphe ce qui crée un effet comique - comique de mots vise également faire rire le lecteur: ex. Beaumarchais dans son œuvre Le barbier de Séville ou les personnages présents sur scène mènent un discours incohérent: Bartolo s’adresse a des personnages qui ne sont pas conscients de soi-même, car ils sont sous effet de

(Lettre à d’Alembert). Bossuet écrit : « Il a fait voir à notre siècle le fruit qu’on peut espérer de la morale du théâtre, qui n’attaque que le ridicule du monde, en lui laissant cependant toute sa corruption. » Fénelon et Jean- Jacques l’accusent tous deux , à peu près dans les mêmes termes, « d’avoir donné un tour agréable au vice et une austérité ridicule à la vertu ». 1° Dans cette discussion, il faut tout d’abord « poser la question », et se demander : Quel est le genre de morale qu’on peut

avec le personnage de Georgette, qui fait des fautes de langue : « Les biaux messieurs ». De surcroît, le comique de situation est invoqué à l'aide d'un quiproquo. Effectivement, Arnolphe demande à Agnès si Horace lui a pris quelque chose, en faisant implicitement appel à sa virginité, alors qu'elle, prend les paroles d'Arnolphe au sens propre et lui dit que Horace lui a pris un ruban. Pour finir, nous pouvons constater un comique de caractère sur les personnage d'Arnolphe et d'Agnès : Arnolphe est

1663. Acte I Arnolphe, qui bien que se vantant du contraire, a toujours craint d'être cocu. Il informe son ami Chrysalde de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction : Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi

puis se tourne resolumment vers la comedie a laquel il vas donné ses lettres de noblesse. Elements sur l'oeuvre : L'ecole des femmes fait partie de ce qu'on a appelé les comedies serieuse qui denonce des vises ou de mœurs contanable. Sujet : Arnolphe a pris sous sa protection une jeune fille qui la «  eduqué » en la confinant dans sa maison pour qu'elle devienne une bonne epouse soumise a son autorité. L'extrait = type de texte – Registre(s) : Dans cette extrait nous avons affaire a une

lumineuse]. Comédie de Molière . Mise en scène et réalisation : Raymond Rouleau Arnolphe : Bernard Blier Agnès Isabelle Adjani Chrysale : Marc Rimbaud Alain : Marc Eyraud Georgette : Micheline Lucciani Horace : Gérard Lartigau Oronte : Paul Cambo Enrique : Francis Lemaire Le notaire : Maurice Nazil <!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--> <!--[if !supportEmptyParas]--><!--[endif]--> Arnolphe est un « barbon » de 40 ans. Du temps de Molière, on était à cet âge, un vieillard

Acte I Le baron Arnolphe, qui bien que se vantant du contraire, a toujours craint d'être cocu. Il informe son ami Chrysalide de son intention de se marier. Il envisage d'épouser sa pupille, Agnès, qu'il a fait élever, dès l'âge de 4 ans, dans un couvent en prenant soin de la priver de toute instruction. Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi

égaux aux hommes Cette scène donne une dimension nouvelle au personnage d’Agnès. Son caractère pur et innocent, voire naïf et puéril, se manifeste clairement, mais avec des effets inattendus. Son ingénuité la mène sur la voie d’une conception très « libérée » de l’amour, ce qui donne un caractère mystérieux et ambigu au personnage – au point que certaines interprétations lui attribueront une certaine malice. De toute façon, Arnolphe se retrouve victime de son propre stratagème, qui consistait à