Arnolphe Heros Tragique

préparer à l’entretien oral Support de travail : acte I, scène I. I. Pour guider votre analyse 1. Les personnages a)  uels sont les traits dominants du caractère Q d’Arnolphe d'après cette première scène ? b)  ui est Chrysalde par rapport à Arnolphe ? Q Quel rôle joue-t-il ici ? c)  e quel troisième personnage est-il question D dans cette scène, bien qu’il soit absent ? Quels adjectifs sont employés pour le caractériser ? 2. La situation et l’intrigue a)  ne des répliques de la scène

Molière : Le Misanthrope. Sociabilité et solitude à l'épreuve du théâtre Le Misanthrope peut être lu comme la mise à l'épreuve, sur scène, de la sociabilité classique, de la « diplomatie de l'esprit » chère à Marc Fumaroli. Le héros en est un misanthrope, tenté constamment par le départ, et par la solitude. Solitude et sociabilité, hypocrisie et sincérité sont également ébranlées par le théâtre, dont les situations mettent, pour le plus grand plaisir du public, les personnages face à leurs propres

mourir. Il se rend à l’asile de vieillards en autobus, situé près d’Alger. Veillant la morte toute la nuit, il assiste le lendemain à la mise en bière et aux funérailles, sans prendre l’attitude qu'on est en droit d'attendre d’un fils endeuillé ; le héros ne pleure pas, il ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre sur la plage Marie, une dactylo qui avait travaillé dans la même entreprise que lui. Le soir, ils sortent voir

le père de Valère et de Mariane, jadis perdus lors d’un naufrage ; il n’y a donc plus d’obstacles aux mariages. En échange de Mariane, Cléante remet à Harpagon la cassette que son valet, La Flèche, avait volée. L’Ecole des femmes Arnolphe se vante d’être à l’abri du cocuage ; de fait, se croyant plus malin que ses concitoyens, il se propose d’épouser sa pupille qu’il a fait élever, dès l’âge de quatre ans, dans l’absence de toute instruction : il espère s’être préparé ainsi une femme

Molière publié en 1662, un barbon tente de s’opposer à la relation amoureuse entre deux jeunes innocents. Ce conflit entre les deux héros et la précaution du vieux Arnolphe établies un support de la pièce de tel sorte que les lieux, les personnages et le temps sont basés selon l’intrigue. Agnès, jeune fille innocente, est décrite comme quelqu’un de bête pendant que Arnolphe tombe désespérément amoureux tout en supportant sa théorie sur les femmes en même temps que Horace est dés le début aveuglé par

Manon Lescaut ( pp 141 – 151 (prologue) ; pp171 – 173 ; pp 193-194 ; pp 199-201 ; pp 300-302 ; pp 325-327) Premier élément est la tonalité tragique car l’intrigue nous renseigne sur cette passion amoureuse qui conduit à homme de bonne famille à sa perte et à une courtisane à sa mort. Tous les ingrédients sont réunis pour qu’on qualifie ce texte de tragique ! On observe un vocabulaire qui est emprunté à la tragédie plus particulièrement à celui de Racine, on trouve dans son récit des tournures stylistiques

manifestations de sa colère ou de sa tyrannie. C’est au fond un lâche et un faible. Il se présente, en dépit de sa bonhomie, comme un jaloux aveuglé par une idée fixe : la crainte d’être trompé, obsession qui fait de lui le premier d’une longue lignée de héros monomaniaques à venir, dont certains seront bien plus inquiétants. Comme tous les obsédés, Sganarelle a une vision des choses déformée par son imagination ; il se montre constamment soupçonneux et interprète tout ce qu’il perçoit en fonction de son

connotation. Passion c'est négatif, c'est l'égarement, dévalorisation de la notion. le "de ce genre" disparait. 17e: catharsis = éradication des passions. La catharsis permet de se débarasser de ses passions. A une tragédie, on assiste à une action ou le héros est perturbé par des passions mauvaises. La mise en scène de ses passions particulière doit le conduire à se débarasser de toutes ses passions. Elle prend donc une forte valeure morale. Une grande querelle traverse le 17e sur la moralité du théâtre

sont tirées. C’est pendant le classicisme que les genres comique et tragique ont connu un essor considérable. La bienséance convient à respecter les usages et les convictions de l’époque. Il ne faut donc pas choquer le spectateur. Cela est notamment possible grâce aux agissements et aux sentiments du héros conforment à son rang. Mais il est autant important de ne pas faire mourir. Ceci implique donc que le théâtre tragique est devenu un théâtre de parole puisqu’un autre personnage doit expliquer

construit sa pièce avant même de l’écrire » (J . Scherer) A : les personnages - Le héros : jeune, beau, courageux, noble et malheureux : c’est le cas de Thésée et d’Hyppolite Le héros comique est simplement ridicule, c’est-à-dire victime d’une distorsion entre ce qu’il dit, par exemple : « je suis maître, je parle, allez, obéissez « (Arnolphe), et ce qu’il est, entre ce qu’il veut et ce qu’il fait ; c’est le cas du héros comique classique tel qu’il apparaît chez Molière. Figaro est d’un autre type