Arnolphe Est Il Que Comique

écrite par Molière, comportant 5 actes en vers. Dans chaque acte, il y a plusieurs scènes. La comédie appartient au mouvement littéraire du classicisme. Elle parle surtout de l’amour. L’œuvre comprend neuf personnages dont les principales sont Arnolphe, Agnès et Horace. Elle a été jouée pour la première fois à Paris en 1662. Mais elle existe aussi en livre. 2. DEVELOPPEMENT: a) Molière  Sa biographie Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 à l'église

personnel : ainsi Sganarelle, Arnolphe, Tartuffe . D’autres , qui paraissent réussir au dénouement , sont châtiés par l’abandon des leurs, ou par les conséquences prévues de leur folie : ainsi Harpagon, M. Jourdain, Argan, Armande. – Mais on reproche à Molière de ridiculisé l’autorité des pères,des tuteurs et des maris ? A ce reproche on peut répondre : que Molière ne prend point parti pour Cléante, le fils impertinent contre Harpagon , ni pour Agnès contre Arnolphe, ni pour Angélique contre George

L’École des femmes est jouée à la cour quinze jours seulement après sa création parisienne, mais le nom de Molière apparaît à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin 1663 dans la première liste des gratifications royales (l’« excellent poète comique » reçoit alors 1 000 livres). Molière compose en retour son « Remerciement au roi 1 », texte aussi élégant que drôle, où sa Muse est présentée sous les traits de l’un de ces marquis ridicules qui commencent à peupler son théâtre. La création, à une

le pûblic. En effet il eiste de nombreux comiques pour cela,comme le farcesque qui montre le ridicule de certains personnages qui sont pareils a Harpagon dans L'Avare lorsqu'il perd son argent et se met dans des états pathétiques. Il y a aussi le comique de situation avec tous les quiproquos que Molière arrivait très bien a mettre en place; on peut le voir dans L'Ecole des femmes quand Horace prend pour confident Arnolphe, son rival. Ou encore le comique de mots basés sur un language, certains mots

et du hasard, le comique vient d'un jeu de dupe entre Arlequin et Lisette et c'est précisément ce double masque qui tombe à la scène 6 de l'acte III. Pour conserver le comique de la situation, Marivaux utilise différents procédés. On note par exemple les jeux de langue d'Arlequin (rimes, mots, erc.) ou encore la symétrie des dialogues. Lart du discours allusif est également mis en avant, ce qui renforce l'attente de la révélation pour le spectateur, tout en jouant sur le comique de la situation.

fuite et celui qui le poursuit. On comprend que dans un tel cadre le quiproquo présente de véritables possibilités pour enrichir l‘intrigue et créer des situations amusantes. Il ne s’agirait que d’arranger le dramaturge en lui procurant des effets, comiques faciles et des commodités qui l’arrangent en faisant bon marché de la vraisemblance, voire de l’honnêteté artistique. Toutefois ce ressort n’est pas uniquement une facilité pour auteurs en manque d’inspiration mais un outil dramatique universellement

textes. L’extrait de Molière, relate des Maximes écrit à Agnès par son mari Arnolphe qui veut lui apprendre ou lui rappeler les devoirs conjugaux de peur que celle-ci le délaisse pour un autre homme plus jeune. Les relations dans le couple sont alors très tendue, Arnolphe est le personnage dominant qui exerce son autorité sur sa femme il lui est supérieur et lui impose des règles injustes basé sur la légitimité de son rôle

INTRODUCTION L’école des femmes de Molière fut construite sur un scenario de farce. On y retrouve en effet un personnel dramatique réduit, centré sur le noyau du mari, de la femme et de l’amant. Le cocuage fournit des ressources comiques sures au conteur et aux farceurs. C’est dans ce fonds traditionnel que Molière a puisé l’idée de l’école des femmes ou sont associés trois thèmes classiques: * Celui de la précaution inutile qui ne garantit pas du cocuage * Celui du railleur

Ensuite, dans une comédie, l’auteur ne se contente pas seulement d’une situation amusante, il amplifie le comique en imposant à ses personnages des gestes, des mimiques, des actions qui les rendent encore plus drôles. L’aggravation et les retournements de situation, les rebondissements inattendus, les rencontres imprévues, toutes ces intrigues exagérées font rire ainsi que le comique de geste (des conduites incohérentes), les grimaces et les chutes grotesques. En effet, dans Les Fourberies de

................................................................................................…............................................................................................ referment la boucle au moyen d’une pirouette b- Le comique de mots - registres de langue opposés...................................................................................................................... - figures de style......................................................................