Armide

alors les « mœurs italiennes ». Aussi quand en 1685, les relations de Lully avec Brunet, un jeune page de la Chapelle, firent scandale, Lully perdit quelque peu de son crédit auprès du roi qui n'assista pas aux représentations de son dernier opéra, Armide, en 1686. Lully composa sa dernière œuvre complète, Acis et Galatée, pastorale en forme d'opéra, pour la cour plus volage du Grand Dauphin, fils de Louis XIV. La cause de sa mort fut particulière puisqu'elle intervint à la suite d'une répétition

XIIIe siècle Mercredi 3 avril à 9 h -17h30 / jusqu’au 29 avril Le tableau du mois Deux Vues de Paris de Jean-Baptiste-Nicolas Raguenet. Mercredi 3 avril à 9 h -17h 30 jusqu’au 1er juin L’objet d’art de la saison L’Histoire de Renaud et Armide, une tenture d’après Simon Vouet. Mercredi 3 avril à 12 h Conférence / L’actualité de la recherche archéologique Bilan des recherches récentes sur les carreaux de pavement médiévaux, par D. Cailleaux. Mercredi 3 avril à 20 h Concert / Musiques

la que Cocteau devient un anticonformiste. Jean Cocteau se mit au théâtre (1936 L'École des veuves. 1937 Oedipe-roi. Les Chevaliers de la Table ronde. 1938 Les Parents terribles. 1940 Les Monstres sacrés. 1941 La Machine à écrire. 1943 Renaud et Armide. ), a la poésie ( 1919 Ode à Picasso. Le Cap de Bonne-Espérance. 1920 Escale. Poésies (1917-1920). 1922 Vocabulaire. 1923 La Rose de François. )et a la critique (1952 Gide vivant. 1953 Journal d'un inconnu. Démarche d'un poète. 1955 Colette ). Mais

amants échafaudant ce plan diabolique d'éliminer la comtesse pour enfin trouver le bonheur sans aucune entrave d'où le titre, « le bonheur dans le crime ». Ces amants diaboliques fascinent. Elle, indompable et magnifique panthère, la grande Isis, Armide et Locuste à la fois. Lui, qui l'adore, qu'elle sublime. On les compare à des créatures supérieures, aux Immortels dans Homère. L'amour qui simplifie tout a fait de leur vie une simplification sublime. Tout à leur passion, il semblent exempts de

véritable passion. Leur haute conception de l'art tranche avec la platitude des Berlinois, qu’ils critiquent. Quelques mois plus tard, les deux hommes se retrouvent par hasard devant un théâtre. Il est joué à ce moment-là l' Armide  de Gluck. Le narrateur, prêt à entrer dans le théâtre, entend soudain une voix qui lui était familière : celle de l’inconnu du Tiergarten, qui est en train de commenter la pièce jouée. L’inconnu conduit alors le narrateur jusque chez

passionnés de la musique de Gluck. L’étranger a auparament une sensibilité très particulière et se présente comme compositeur. Ils sont d’accord qu’à Berlin les oeuvres de Gluck ne sont pas représentés d’une manière qui leur serait digne. Lorsqu’on montre Armide au théâtre, le narrateur fait de nouveau sa rencontre devant une fenêtre, en train de commenter tout seul la représentation. Puis l’étranger emmène le narrateur chez soi pour lui faire participer à sa propre interprétation merveilleuse de l’Armide

(n. 9) verra le jour. Dvorak fut très charmé par les états-Unis (il y composera le quatuor Américain, qui conserve cependant beaucoup du folklore slave). Vers la fin de sa vie, Dvorak se consacre essentiellement à l’opéra : Le Diable et Catherine, Armide et Russalka. D’essence tchèque, ils couronneront son œuvre malgré l’échec d’Armide, son dernier opéra. Dvorak meurt brutalement à Prague le premier mai 1904, suite à une congestion cérébrale. Il est enterré comme Bedrich Smetana au cimetière de

huiles: Premier des Dubois → cynisme qui descend toute chose; appellant les duchesses et les dames d'honneur d'imperatrice “mes petites meres” T.: “c'est moi qui les fais tous!...” charivari: postillon: Torty a vecu ds les frondrières du cotentin Armide – bete (panthère) Locuste – bete (panthère) passé la ligne= passé les quarantes ans Dandy ( irremarquable)→ expression de brummell Homme et femme de bourgeois → homme recemble a un mignon du temps de Henri III → femme ressemble à la

française de son opéra de 1762. Ce fut un triomphe en même temps que le point de départ d'une controverse avec les tenants de la musique italienne, qui se choisirent comme champion le compositeur Niccolò Vito Piccinni. La querelle éclata en 1777 avec Armide, qui faisait suite à la version française d'Alceste (1776) et fut suivie en 1779 par le plus grand succès de Gluck, Iphigénie en Tauride, et son plus grand échec, Echo et Narcisse. Admiré par ses contemporains comme Joseph Martin Kraus, Gluck mit

compositeur expose ses idées dans un texte capital, et Paride ed Elena (1770). Lors des séjours à Paris, Gluck adapte ses opéras en français (Orphée, 1774 ; Alceste, 1776) et en compose spécialement quatre pour Paris : Iphigénie en Aulide (1774), Armide (1777), Iphigénie en Tauride (1779) et Echo et Narcisse (1779). Cette Réforme consistant en la recherche du naturel et à un ton plus authentique, va donner lieu en une nouvelle querelle, cette fois entre les gluckistes et les conservateurs